L’indépendance d’esprit et la créativité du Français Thomas Roussel, sa faculté à sortir des sentiers battus, a séduit la marque Richard Mille qui fêtera l’année prochaine, son 20ème anniversaire.
« La rigueur et l’imagination nécessaires à la composition orchestrale entrent en résonnance avec l’exigence et l’inventivité qui caractérisent les montres Mille, observe Thomas Roussel. Mais plus encore, nous partageons la même idée de transmission de la passion et de l’émotion et l’envie d’évoluer sur de nouveaux chemins créatifs ».
L’arrivée du musicien au sein de la famille Richard Mille prolonge l’engagement de la maison horlogère en faveur de la création contemporaine : de l’acquisition des Éditions Cercle d’Art nées de l’initiative de Pablo Picasso, aux partenariats avec Frieze Art Fair, foire d’art contemporain de référence, ou encore avec le Palais de Tokyo à Paris.
Lorsque Thomas Roussel (né à Dijon en janvier 1979) apprend dès trois ans à lire et à écrire la musique, avant même d’être initié à la lecture de livres, rien ne laisse bien sûr présager ce destin singulier qui le fera voyager dans les contrées du classique et de la musique électronique, composer pour le cinéma et orchestrer les plus grands évènements de la mode et de l’art de New York à Pékin.
« La rigueur et l’imagination nécessaires à la composition orchestrale entrent en résonnance avec l’exigence et l’inventivité qui caractérisent les montres Mille, observe Thomas Roussel. Mais plus encore, nous partageons la même idée de transmission de la passion et de l’émotion et l’envie d’évoluer sur de nouveaux chemins créatifs ».
L’arrivée du musicien au sein de la famille Richard Mille prolonge l’engagement de la maison horlogère en faveur de la création contemporaine : de l’acquisition des Éditions Cercle d’Art nées de l’initiative de Pablo Picasso, aux partenariats avec Frieze Art Fair, foire d’art contemporain de référence, ou encore avec le Palais de Tokyo à Paris.
Lorsque Thomas Roussel (né à Dijon en janvier 1979) apprend dès trois ans à lire et à écrire la musique, avant même d’être initié à la lecture de livres, rien ne laisse bien sûr présager ce destin singulier qui le fera voyager dans les contrées du classique et de la musique électronique, composer pour le cinéma et orchestrer les plus grands évènements de la mode et de l’art de New York à Pékin.
Sa solide formation au conservatoire, dès l’âge de 5 ans pour le piano, de 6 ans pour le violon, le prédestinait à une grande carrière classique mais le jeune homme s’enthousiasme aussi pour la musique électronique. Dès la fin des cours d’écriture et d’orchestration, il se précipite écouter les plus grands DJs.
Adolescent, il a déjà rencontré les Daft Punk et Laurent Garnier. Ce sera le début d’une longue histoire.
Tandis que Thomas poursuit ses études à Paris, aux côtés du prestigieux compositeur Guillaume Connesson, il collabore simultanément avec le pionnier de la musique techno Jeff Mills. L’examen final auprès de Connesson aura été formateur : composer pour un orchestre symphonique en douze heures, enfermé dans une salle, sans aucun instrument.
Il remporte cette ultime étape avec les félicitations du jury. Expérience mise à profit aujourd’hui encore lorsqu’il écrit et orchestre en seulement huit jours la partition qu’il jouera avec 80 musiciens sur la Seine, face à la tour Eiffel, pour célébrer la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024.
Auparavant, il aura composé pour le cinéma et multiplié les projets avec d’autres musiciens. Ses talents de chef d’orchestre, musicien et compositeur séduisent rapidement les plus grandes maisons de mode qui l’invitent à concevoir la musique de leurs défilés. Du Grand Palais de Paris jusqu’en Chine, Thomas Roussel renouvelle les codes du genre et collabore aux mises en scène toujours plus originales et spectaculaires.
Adolescent, il a déjà rencontré les Daft Punk et Laurent Garnier. Ce sera le début d’une longue histoire.
Tandis que Thomas poursuit ses études à Paris, aux côtés du prestigieux compositeur Guillaume Connesson, il collabore simultanément avec le pionnier de la musique techno Jeff Mills. L’examen final auprès de Connesson aura été formateur : composer pour un orchestre symphonique en douze heures, enfermé dans une salle, sans aucun instrument.
Il remporte cette ultime étape avec les félicitations du jury. Expérience mise à profit aujourd’hui encore lorsqu’il écrit et orchestre en seulement huit jours la partition qu’il jouera avec 80 musiciens sur la Seine, face à la tour Eiffel, pour célébrer la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024.
Auparavant, il aura composé pour le cinéma et multiplié les projets avec d’autres musiciens. Ses talents de chef d’orchestre, musicien et compositeur séduisent rapidement les plus grandes maisons de mode qui l’invitent à concevoir la musique de leurs défilés. Du Grand Palais de Paris jusqu’en Chine, Thomas Roussel renouvelle les codes du genre et collabore aux mises en scène toujours plus originales et spectaculaires.
Sous sa direction, l’orchestre joue disposé en ligne droite à Paris et en cercle à Guangzhou, et même suspendu dans les airs à l’occasion d’un défilé inoubliable en début d’année.
Depuis plus de quinze ans, Thomas Roussel reste fidèle à ses deux amours, naviguant entre deux mondes qui s’ignorent trop souvent. En 2018, au Grand Rex à Paris, il réorchestre avec des dizaines de musiciens les morceaux du label électro Ed Banger (Justice, Busy P, SebastiAn) qui célèbre ses
quinze ans.
Sa musique est pourtant loin de se réduire à une simple hybridation des deux genres. Il en donne d’ailleurs toute la dimension lors de la sortie de son premier album, The Future Comes Before, en 2017. Sous le nom de Prequell, le musicien se révèle un grand auteur pop.
Thomas Roussel compose à coups d’orchestres, de grands ensembles de cordes majestueux, de percussions, mais aussi, évidemment, de synthétiseurs et machines. Et toujours sa musique demeure singulière, s’affranchissant des clivages. Ses morceaux prennent des allures de comètes sillonnant
les galaxies, guerrières, paisibles, furieuses ou sereines. Chacune est émotion pure.
Cette vision sensible que le musicien partage avec Richard Mille porte déjà la promesse de projets communs. Affaire à suivre.
Depuis plus de quinze ans, Thomas Roussel reste fidèle à ses deux amours, naviguant entre deux mondes qui s’ignorent trop souvent. En 2018, au Grand Rex à Paris, il réorchestre avec des dizaines de musiciens les morceaux du label électro Ed Banger (Justice, Busy P, SebastiAn) qui célèbre ses
quinze ans.
Sa musique est pourtant loin de se réduire à une simple hybridation des deux genres. Il en donne d’ailleurs toute la dimension lors de la sortie de son premier album, The Future Comes Before, en 2017. Sous le nom de Prequell, le musicien se révèle un grand auteur pop.
Thomas Roussel compose à coups d’orchestres, de grands ensembles de cordes majestueux, de percussions, mais aussi, évidemment, de synthétiseurs et machines. Et toujours sa musique demeure singulière, s’affranchissant des clivages. Ses morceaux prennent des allures de comètes sillonnant
les galaxies, guerrières, paisibles, furieuses ou sereines. Chacune est émotion pure.
Cette vision sensible que le musicien partage avec Richard Mille porte déjà la promesse de projets communs. Affaire à suivre.