On le sait, depuis son lancement en 2018 avec son modèle « Les Matinaux », Trilobe (jeune pousse horlogère française) n’a jamais rien fait comme les autres.
De ses montres se dégagent toujours une certaine poésie -la marque fait d’ailleurs souvent référence à la littérature ; cela change du sport, de l’espace, des exploits en tous genres, etc.- avec de surcroit, des lectures du temps décalées mais toujours intuitives.
Après avoir développé différents modèles depuis cinq ans, globalement et pour faire simple, des évolutions de la montre Les Matinaux, puis ensuite, une première vraie « rupture » avec Nuits Fantastiques, Trilobe lançait l’an passé son modèle Une folle journée, en référence non pas à Ferris Bueller, mais à Beaumarchais !
De ses montres se dégagent toujours une certaine poésie -la marque fait d’ailleurs souvent référence à la littérature ; cela change du sport, de l’espace, des exploits en tous genres, etc.- avec de surcroit, des lectures du temps décalées mais toujours intuitives.
Après avoir développé différents modèles depuis cinq ans, globalement et pour faire simple, des évolutions de la montre Les Matinaux, puis ensuite, une première vraie « rupture » avec Nuits Fantastiques, Trilobe lançait l’an passé son modèle Une folle journée, en référence non pas à Ferris Bueller, mais à Beaumarchais !
En ce printemps 2023, c’est donc ce modèle Une folle journée qui est réinterprété dans une version haute joaillerie. Un nouveau territoire d’expression pour Trilobe qui parvient, une fois encore, à nous étonner par la beauté autant esthétique que technique de cette nouvelle création qui s’inspire du plafond de l’Opéra de Paris.
Cette montre ronde est dotée d’un boitier de 40,5 mm (étanche à 30 mètres) non plus en titane mais en or rose ou en platine avec cornes rapportées. On retrouve bien évidemment l’affichage de l’heure en 3D s’effectuant par le biais des trois anneaux rotatif placés à différents niveaux qui sont cette fois-ci, parés de diamants ! Explications.
Si la montre reste globalement Une folle journée, deux ans de recherche & développement furent nécessaires pour relever cette véritable prouesse, à la croisée des chemins entre la Haute Horlogerie et la Haute Joaillerie.
Cette montre ronde est dotée d’un boitier de 40,5 mm (étanche à 30 mètres) non plus en titane mais en or rose ou en platine avec cornes rapportées. On retrouve bien évidemment l’affichage de l’heure en 3D s’effectuant par le biais des trois anneaux rotatif placés à différents niveaux qui sont cette fois-ci, parés de diamants ! Explications.
Si la montre reste globalement Une folle journée, deux ans de recherche & développement furent nécessaires pour relever cette véritable prouesse, à la croisée des chemins entre la Haute Horlogerie et la Haute Joaillerie.
En effet, la maison parisienne a choisi de sertir ses anneaux mobiles de 150 diamants. Un réel défi technique qui aurait été impossible à relever sans une refonte architecturale complète de la pièce.
Ainsi, la construction des bagues a été entièrement repensée afin de pouvoir y accueillir les 150 diamants baguette, chacun retaillé pour s’adapter aux anneaux. Une évolution de matériau a également été indispensable pour garantir la performance et la fiabilité du mouvement « maison ».
De fait, cette nouvelle édition abandonne le titane (pour les anneaux) pour un alliage aluminium-silicium-magnésium dont la légèreté compense le poids des pierres. Chaque bague a dû être façonnée sur-mesure et à la main par un constructeur en mécanique d’art, garantissant ainsi la qualité des finitions.
Ainsi, la construction des bagues a été entièrement repensée afin de pouvoir y accueillir les 150 diamants baguette, chacun retaillé pour s’adapter aux anneaux. Une évolution de matériau a également été indispensable pour garantir la performance et la fiabilité du mouvement « maison ».
De fait, cette nouvelle édition abandonne le titane (pour les anneaux) pour un alliage aluminium-silicium-magnésium dont la légèreté compense le poids des pierres. Chaque bague a dû être façonnée sur-mesure et à la main par un constructeur en mécanique d’art, garantissant ainsi la qualité des finitions.
Le matériau ainsi que la finesse des anneaux, offrant une assise restreinte aux pierres précieuses ont obligé la maison parisienne à mettre au point un procédé de sertissage inédit réalisé en collaboration avec des sertisseurs experts de la rue de la Paix, certifiés RJC.
Ainsi, les 150 diamants* qui animent les heures, les minutes et les secondes s’enchâssent par une ouverture invisible puis glissent le long de la bague grâce à un système unique, développé exclusivement par Trilobe.
La complexité du sertissage a exigé une extrême minutie lors de la pose des pierres, ce, afin de préserver l’intégrité des anneaux ! Dans ce contexte, la conception sur-mesure d’un système de posage fut nécessaire afin de sertir chaque pierre dans une position adéquate, en préservant la délicatesse des bagues.
Ainsi, les 150 diamants* qui animent les heures, les minutes et les secondes s’enchâssent par une ouverture invisible puis glissent le long de la bague grâce à un système unique, développé exclusivement par Trilobe.
La complexité du sertissage a exigé une extrême minutie lors de la pose des pierres, ce, afin de préserver l’intégrité des anneaux ! Dans ce contexte, la conception sur-mesure d’un système de posage fut nécessaire afin de sertir chaque pierre dans une position adéquate, en préservant la délicatesse des bagues.
Au-delà d’une évolution architecturale et structurelle de la montre, la création de cette édition est également l’œuvre d’une dextérité quasi chirurgicale du sertisseur et de jours de travail pour permettre aux bagues serties de s’élancer librement sous le dôme en verre saphir qui protège le cadran. Puisqu’il s’agit du concept même de cette montre, rappelons-le !
Le savoir-faire du sertisseur s’est allié à l’expertise d’un diamantaire reconnu de la place Vendôme, certifié RJC : soigneusement sélectionnées selon des standards de qualité et de traçabilité élevés, les 150 pierres ont été méticuleusement taillées sur-mesure. De taille baguette, elles épousent parfaitement le galbe des trois bagues de la maison.
Si le plus grand anneau (celui des heures) émet une des plus vives lumières, c’est la roue des secondes, la plus petite, qui s’est avérée être la pièce la plus difficile à sertir ! A ce titre, pour permettre la lecture de l’heure, Trilobe a du faire appel à un peintre miniaturiste français qui a peint les douze indicateurs à la main.
Le savoir-faire du sertisseur s’est allié à l’expertise d’un diamantaire reconnu de la place Vendôme, certifié RJC : soigneusement sélectionnées selon des standards de qualité et de traçabilité élevés, les 150 pierres ont été méticuleusement taillées sur-mesure. De taille baguette, elles épousent parfaitement le galbe des trois bagues de la maison.
Si le plus grand anneau (celui des heures) émet une des plus vives lumières, c’est la roue des secondes, la plus petite, qui s’est avérée être la pièce la plus difficile à sertir ! A ce titre, pour permettre la lecture de l’heure, Trilobe a du faire appel à un peintre miniaturiste français qui a peint les douze indicateurs à la main.
Un travail d’orfèvre qui demande rigueur et précision extrême, pour réaliser des chiffres à la proportion et la finesse identiques. Le résultat sans pareil laisse aisément imaginer la patience et le dévouement dont l’artiste a su faire preuve.
Côté « moteur », on conserve bien évidemment le calibre in-house X-Centric (automatique avec micro-rotor, 4 Hz) qui prend forme autour de ponts et platines architecturés en volume. Leurs arêtes saillantes ont été patiemment polies et diamantées, afin de mettre en valeur le travail de grainage réalisé sur leurs surfaces planes.
Chaque bague sertie est ensuite reliée au mécanisme de la montre qui offre une réserve de marche de 48h. Ce dernier est bien évidemment visible à travers le fond saphir de la montre qui se porte sur un beau bracelet en alligator.
Côté « moteur », on conserve bien évidemment le calibre in-house X-Centric (automatique avec micro-rotor, 4 Hz) qui prend forme autour de ponts et platines architecturés en volume. Leurs arêtes saillantes ont été patiemment polies et diamantées, afin de mettre en valeur le travail de grainage réalisé sur leurs surfaces planes.
Chaque bague sertie est ensuite reliée au mécanisme de la montre qui offre une réserve de marche de 48h. Ce dernier est bien évidemment visible à travers le fond saphir de la montre qui se porte sur un beau bracelet en alligator.
Lieu emblématique des 7 formes d’art, l’Opéra Garnier est un symbole fort pour la Maison, qui ne cesse de refléter son affinité pour les arts au travers de ses créations. Levez les yeux au ciel pour admirer un lustre de 8 mètres de hauteur dont la splendeur est indéniable.
Les 314 lumières, surnommées la ceinture de diamants, ornent l’œuvre de l’artiste contemporain Marc Chagall. La fresque est découpée en 12 triangles et forme un cercle dont la lecture doit se faire par une rotation à 360°.
*150 diamants taille baguette (D,E,F - VVS+) dont 70 sur l’anneau des heures, 50 sur l’anneau des minutes et 30 sur l’anneau des secondes (~ 3,1 carats).
Les 314 lumières, surnommées la ceinture de diamants, ornent l’œuvre de l’artiste contemporain Marc Chagall. La fresque est découpée en 12 triangles et forme un cercle dont la lecture doit se faire par une rotation à 360°.
*150 diamants taille baguette (D,E,F - VVS+) dont 70 sur l’anneau des heures, 50 sur l’anneau des minutes et 30 sur l’anneau des secondes (~ 3,1 carats).