Depuis la création du Trophée Rolex en 2006, Rolex n’a cessé de valoriser les voiliers classiques, que ce soient les Grand Tradition, Goélettes, Ketchs, Yawls, Gréement Marconi, Epoque Aurique ou Architectes.
Tous ont eu droit à une mise en avant. Un cycle s’est achevé en 2023 avec les Yawls et la victoire de Varuna 1939 de Jens Kellinghusen.
Pour ce nouveau millésime, le Trophée Rolex revient aux sources avec une compétition qui se déroulera entre les Époque Aurique.
Une classe qui comprend d’incroyables unités, toutes centenaires et parfois lancées à la fin du XIXème siècle à l’image du cotre aurique Lulu, vieux de 127 ans. Classé monument historique en 2013, Lulu a été dessiné selon les plans de Gustave Caillebotte.
Tous ont eu droit à une mise en avant. Un cycle s’est achevé en 2023 avec les Yawls et la victoire de Varuna 1939 de Jens Kellinghusen.
Pour ce nouveau millésime, le Trophée Rolex revient aux sources avec une compétition qui se déroulera entre les Époque Aurique.
Une classe qui comprend d’incroyables unités, toutes centenaires et parfois lancées à la fin du XIXème siècle à l’image du cotre aurique Lulu, vieux de 127 ans. Classé monument historique en 2013, Lulu a été dessiné selon les plans de Gustave Caillebotte.
Lancé en 1897, il a longtemps tiré des bords dans les méandres de la Seine avant de connaitre la Méditerranée, les eaux bretonnes et de nouveau le sud de la France où il participe aux nombreux rassemblements de voiliers classiques dont le célèbre Trophée Rolex.
Il fera face à un redoutable régatier en la personne de Rowdy qui a retrouvé sa silhouette d’antan. Ce bateau de 1916 a remporté deux fois le Trophée Rolex en 2008 et 2009.
Dans cette classe hétéroclite, quatre P class vont venir défier leurs concurrents directs : Chips, Olympian ou Coronthian qui ont déjà pu régater pour le Trophée Rolex et Joyant. Enfin, Marga et son incroyable garde-robe de six voiles, portées simultanément au vent arrière, pourrait également venir jouer les trouble-fêtes.
Si ces voiliers ont des caractéristiques bien différentes les uns des autres, l’obtention des résultats par course repose sur le temps compensé.
En fonction d’un handicap de temps attribué à chaque concurrent, tous sont sur le même pied d’égalité mais les temps de course dépendent souvent des conditions météorologiques.
Il fera face à un redoutable régatier en la personne de Rowdy qui a retrouvé sa silhouette d’antan. Ce bateau de 1916 a remporté deux fois le Trophée Rolex en 2008 et 2009.
Dans cette classe hétéroclite, quatre P class vont venir défier leurs concurrents directs : Chips, Olympian ou Coronthian qui ont déjà pu régater pour le Trophée Rolex et Joyant. Enfin, Marga et son incroyable garde-robe de six voiles, portées simultanément au vent arrière, pourrait également venir jouer les trouble-fêtes.
Si ces voiliers ont des caractéristiques bien différentes les uns des autres, l’obtention des résultats par course repose sur le temps compensé.
En fonction d’un handicap de temps attribué à chaque concurrent, tous sont sur le même pied d’égalité mais les temps de course dépendent souvent des conditions météorologiques.
Elles peuvent favoriser ou pénaliser un concurrent en fonction des aptitudes de sa carène et de son plan de voilure. Avec quatre journées de régates, les équipages devront faire montre de leurs capacités à composer avec un plan d’eau tropézien qui s’avère souvent piégeux.
Mistral, vent d’est ou bulle anticyclonique, les régates en Méditerranée début octobre peuvent souvent réserver de très belles journées pour un spectacle toujours aussi grandiose. Les dix-huit précédentes éditions en sont la plus belle preuve.
Si les années défilent, la passion des propriétaires de ces magnifiques unités ne faiblit pas et ces bateaux qui prennent de l’âge semblent toujours rajeunir. Rendez-vous début octobre pour un spectacle vélique qui s’annonce une nouvelle fois spectaculaire.
Palmarès du Trophée Rolex
So Fong (2006), Agneta (2007), Rowdy (2008 et 2009), Ikra (2010 et 2013), Avel (2011 et 2012), Partridge (2014), Maria Giovanna II (2015), Monnbeam IV (2016), Mariska (2017), Viola (2018), Cippino II (2019), Eva (2020), Scud (2021), Shenandoah of Sark (2022) et Varuna (2023)
Les 14 inscrits au Trophée Rolex 2024
Chips (1913 – 16 m 25)
Corinthian (1911 – 16 m 70)
Gaudeamus (1914 – 13 m)
Joyant (1911 – 17 m 24)
Lulu (1897 – 11 m 47)
Marga (1910 – 15 m 56)
Nin (1913 – 11 m 20)
Mistral, vent d’est ou bulle anticyclonique, les régates en Méditerranée début octobre peuvent souvent réserver de très belles journées pour un spectacle toujours aussi grandiose. Les dix-huit précédentes éditions en sont la plus belle preuve.
Si les années défilent, la passion des propriétaires de ces magnifiques unités ne faiblit pas et ces bateaux qui prennent de l’âge semblent toujours rajeunir. Rendez-vous début octobre pour un spectacle vélique qui s’annonce une nouvelle fois spectaculaire.
Palmarès du Trophée Rolex
So Fong (2006), Agneta (2007), Rowdy (2008 et 2009), Ikra (2010 et 2013), Avel (2011 et 2012), Partridge (2014), Maria Giovanna II (2015), Monnbeam IV (2016), Mariska (2017), Viola (2018), Cippino II (2019), Eva (2020), Scud (2021), Shenandoah of Sark (2022) et Varuna (2023)
Les 14 inscrits au Trophée Rolex 2024
Chips (1913 – 16 m 25)
Corinthian (1911 – 16 m 70)
Gaudeamus (1914 – 13 m)
Joyant (1911 – 17 m 24)
Lulu (1897 – 11 m 47)
Marga (1910 – 15 m 56)
Nin (1913 – 11 m 20)
Rolex et la voile
Dès 1958, Rolex établit des liens étroits avec l’une des institutions sportives les plus anciennes et les plus réputées, le New York Yacht Club. La marque s’est ensuite associée à d’autres clubs de voile de premier plan et avec les courses qu’ils organisent dans le monde entier.
Parmi ces clubs figurent le Royal Yacht Squadron, le Yacht Club Costa Smeralda, le Royal Malta Yacht Club, le Yacht Club Italiano, le Yacht Club de Monaco, le Royal Hong Kong Yacht Club et la Société Nautique de Saint-Tropez.
Aujourd’hui, la marque compte une vingtaine de partenariats étroits dans le monde de la voile de compétition, dont deux des plus importantes courses au large : la Rolex Sydney Hobart Yacht Race, qui a lieu chaque année, et la Rolex Fastnet Race, organisée tous les deux ans.
Rolex soutient également la Maxi Yacht Rolex Cup et la Rolex Swan Cup, et est Montre Officielle de deux circuits de voile à la pointe de la technologie nautique : SailGP et le Rolex TP52 World Championship.
Enfin, Rolex contribue à l’essor de la voile par ses liens avec World Sailing, l’organisation dirigeante de ce sport, et avec le trophée annuel ISAF Rolex World Sailor of the Year.
La marque est aussi associée à certains des navigateurs les plus complets et les plus qualifiés, dont sir Ben Ainslie, Paul Cayard Robert Scheidt, Hannah Mills et Tom Slingsby.