Aujourd’hui, Tudor poursuit donc le développement de sa collection Heritage initiée en 2010 avec l’arrivée de ce nouveau modèle particulièrement séduisant… Rappelons que cette ligne a pour vocation de réinterpréter quelques-uns des garde-temps les plus emblématiques de chez Tudor. Attention, il ne s’agit pas de rééditions à l’identique, mais de réinterprétations contemporaines.
Comme le souligne d’ailleurs la marque, ces montres « sont le résultat de véritables collisions temporelles entre passé, présent et futur, dans lequel les codes esthétiques qui ont contribué à la notoriété des modèles historiques sont préservés au profit de nouvelles touches de modernité ». Dont acte.
D’ailleurs, cette approche est devenue l’une des signatures de Tudor -que d’aucuns aimeraient voir appliquée par Rolex mais ce n’est même pas la peine d’y penser ! Aujourd’hui, la collection Heritage Black Bay s’agrandit. Dans tous les sens du terme d’ailleurs, puisqu’effectivement un nouveau modèle arrive dans la gamme, mais qu’en plus, le boitier gagne 2 mm, passant de 41 mm pour les versions précédentes à 43 mm pour cette « bronzo ». Mais au-delà de la taille, c’est surtout le matériau du boitier qui fait sensation !
En effet, Tudor équipe cette année sa « plongeuse » d’un splendide boitier en bronze. La marque ne cesse de nous étonner en bien au fil des années. Prenant de plus en plus de place dans le paysage horloger. D’une manière générale, le bronze présente une teinte initiale évoquant les nuances de l’or rose ou de l’or rouge, puis il acquiert avec le temps une patine qui lui confère un incomparable look « hors d’âge » : du vert-de-gris à l’ardoise en passant par toutes les étapes intermédiaires. Tout cela dépend du climat, de l’humidité, de l’endroit où vous vivez, etc. Bref, chaque boitier vieillit différemment et donc, chaque boitier est unique.
Comme le souligne d’ailleurs la marque, ces montres « sont le résultat de véritables collisions temporelles entre passé, présent et futur, dans lequel les codes esthétiques qui ont contribué à la notoriété des modèles historiques sont préservés au profit de nouvelles touches de modernité ». Dont acte.
D’ailleurs, cette approche est devenue l’une des signatures de Tudor -que d’aucuns aimeraient voir appliquée par Rolex mais ce n’est même pas la peine d’y penser ! Aujourd’hui, la collection Heritage Black Bay s’agrandit. Dans tous les sens du terme d’ailleurs, puisqu’effectivement un nouveau modèle arrive dans la gamme, mais qu’en plus, le boitier gagne 2 mm, passant de 41 mm pour les versions précédentes à 43 mm pour cette « bronzo ». Mais au-delà de la taille, c’est surtout le matériau du boitier qui fait sensation !
En effet, Tudor équipe cette année sa « plongeuse » d’un splendide boitier en bronze. La marque ne cesse de nous étonner en bien au fil des années. Prenant de plus en plus de place dans le paysage horloger. D’une manière générale, le bronze présente une teinte initiale évoquant les nuances de l’or rose ou de l’or rouge, puis il acquiert avec le temps une patine qui lui confère un incomparable look « hors d’âge » : du vert-de-gris à l’ardoise en passant par toutes les étapes intermédiaires. Tout cela dépend du climat, de l’humidité, de l’endroit où vous vivez, etc. Bref, chaque boitier vieillit différemment et donc, chaque boitier est unique.
Pour sa « bronzo », Tudor a choisi un alliage cupro-aluminium bien spécifique. La marque promet « l’apparition d’une patine subtile et unique liée aux habitudes de son porteur. Cette dernière prendre son aspect définitif au bout d'un mois. Patinée mais pas de vert-de-gris. Outre un aspect très fonctionnel en ligne avec l’univers auquel elle rend hommage, l’Heritage Black Bay Bronze arbore des finitions entièrement satinées, qui garantissent une évolution homogène de la patine ».
A noter également la présence d’un beau cadran chocolat bombé (avec chiffres 3, 6 et 9, une première dans la collection) qui se marie à merveille avec une lunette de la même couleur en aluminium éloxé, ce qui renforce l’aspect vintage de la pièce (vs la céramique par exemple). Le boitier, étanche 200 mètres, se pare d’un proéminente couronne de remontoir en bronze également, qui évoque la fameuse référence 7924 de 1958, surnommée Big Crown. A noter que le fond est en acier (pour éviter les allergies) mais traité PVD couleur bronze afin de parfaire l’aspect général de cette « plongeuse ».
Quant aux aiguilles, Tudor conserve bien évidemment ses fameuses « snowflakes », si seventies, qui rappellent celles présentes sur les montres livrées à la Marine Nationale française. A noter enfin la présence de trous de barrettes apparents sur le côté des cornes ainsi que le biseau particulièrement prononcé de ces dernières.
A noter également la présence d’un beau cadran chocolat bombé (avec chiffres 3, 6 et 9, une première dans la collection) qui se marie à merveille avec une lunette de la même couleur en aluminium éloxé, ce qui renforce l’aspect vintage de la pièce (vs la céramique par exemple). Le boitier, étanche 200 mètres, se pare d’un proéminente couronne de remontoir en bronze également, qui évoque la fameuse référence 7924 de 1958, surnommée Big Crown. A noter que le fond est en acier (pour éviter les allergies) mais traité PVD couleur bronze afin de parfaire l’aspect général de cette « plongeuse ».
Quant aux aiguilles, Tudor conserve bien évidemment ses fameuses « snowflakes », si seventies, qui rappellent celles présentes sur les montres livrées à la Marine Nationale française. A noter enfin la présence de trous de barrettes apparents sur le côté des cornes ainsi que le biseau particulièrement prononcé de ces dernières.
Côté moteur, Tudor a doté cette nouvelle montre d’un calibre « manuf ». Une première pour cette collection. Il s’agit d’une variante du mouvement Tudor qui a été développée spécifiquement pour équiper ce modèle. Légèrement plus large en diamètre et affichant les fonctions heures, minutes et secondes, il porte la référence MT5601, « MT » signifiant « Manufacture TUDOR ».
Ce calibre « maison » offre une très confortable réserve de marche de 70 heures, ce qui permet par exemple, de poser sa montre le vendredi soir et de la reprendre le lundi matin sans avoir à la remonter. Mais aura-t-on envie de la laisser sur la table de nuit durant toute la fin de semaine ? Surement pas… Battant à une fréquence de 28’800 Alt/H (4 Hz), il est régulé par un oscillateur à inertie variable avec spiral en silicium et maintenu par un pont traversant, un gage de robustesse. Il est en outre certifié par le COSC.
Pour le bracelet, Tudor a réinterprété des pratiques propres aux utilisateurs historiques de ses montres. Par exemple la Marine Nationale française, qui se faisait livrer des « plongeuses » sans bracelets et les équipait ensuite de ses propres attaches, plus ou moins artisanales. L’une d’elles, retrouvée sur une montre d’époque, était constituée… d’élastiques récupérés sur des parachutes ventraux français. La marque s’est donc inspirée de ce concept pour créer ce bracelet tissé jacquard beige et brun. Comme toujours chez Tudor, il est accompagné d’un bracelet en cuir brun vieilli dont la découpe droite accentue l’effet rustique.
Ce calibre « maison » offre une très confortable réserve de marche de 70 heures, ce qui permet par exemple, de poser sa montre le vendredi soir et de la reprendre le lundi matin sans avoir à la remonter. Mais aura-t-on envie de la laisser sur la table de nuit durant toute la fin de semaine ? Surement pas… Battant à une fréquence de 28’800 Alt/H (4 Hz), il est régulé par un oscillateur à inertie variable avec spiral en silicium et maintenu par un pont traversant, un gage de robustesse. Il est en outre certifié par le COSC.
Pour le bracelet, Tudor a réinterprété des pratiques propres aux utilisateurs historiques de ses montres. Par exemple la Marine Nationale française, qui se faisait livrer des « plongeuses » sans bracelets et les équipait ensuite de ses propres attaches, plus ou moins artisanales. L’une d’elles, retrouvée sur une montre d’époque, était constituée… d’élastiques récupérés sur des parachutes ventraux français. La marque s’est donc inspirée de ce concept pour créer ce bracelet tissé jacquard beige et brun. Comme toujours chez Tudor, il est accompagné d’un bracelet en cuir brun vieilli dont la découpe droite accentue l’effet rustique.
Spécificités techniques
Boîtier en bronze, fond en acier traité PVD couleur bronze, 43 mm, finition satinée
Lunette tournante unidirectionnelle en bronze avec disque en aluminium éloxé marron mat
Couronne en bronze vissée, ornée de la rose Tudor gravée
Glace saphir bombée
Mouvement MT5601, Manufacture TUDOR (COSC)
Mouvement mécanique à remontage automatique bidirectionnel par rotor
Spiral amagnétique en silicium
Réserve de marche d’environ 70 heures
Cadran marron, bombé
Étanche jusqu’à 200 m
Bracelet en cuir vieilli avec boucle ardillon en bronze
Bracelet additionnel en tissu avec boucle ardillon en bronze inclus dans l’écrin
Prix de vente : dans les 3800 euros environ (prix indicatif)
Réf 79250BM
Lunette tournante unidirectionnelle en bronze avec disque en aluminium éloxé marron mat
Couronne en bronze vissée, ornée de la rose Tudor gravée
Glace saphir bombée
Mouvement MT5601, Manufacture TUDOR (COSC)
Mouvement mécanique à remontage automatique bidirectionnel par rotor
Spiral amagnétique en silicium
Réserve de marche d’environ 70 heures
Cadran marron, bombé
Étanche jusqu’à 200 m
Bracelet en cuir vieilli avec boucle ardillon en bronze
Bracelet additionnel en tissu avec boucle ardillon en bronze inclus dans l’écrin
Prix de vente : dans les 3800 euros environ (prix indicatif)
Réf 79250BM