De nombreuses marques horlogères, au cours des dernières décennies, ont été partenaires à un moment ou à un autre, avec la Marine Nationale ; ce qui leur a permis de pouvoir afficher à l’époque, sur les fonds de boitiers, l’abréviation tant recherchée par les collectionneurs : M.N.
Parmi les grands noms ayant arboré les initiales M.N. ? Tudor bien évidemment, mais également Breguet, Longines, ZRC, Bianchi, Auricoste, Le Forban et bien d’autres. Il y a six mois, on apprenait que Tudor et Yema devenaient partenaire de la Marine Nationale. Après la Yema c’est donc au tour de Tudor de présenter sa montre M.N.
Pour tous ceux qui s’imaginaient que Tudor allait présenter une référence M.N. en version Black Bay… Eh bien, c’est raté ! En effet, c’est la très contemporaine Pelagos qui remporte la mise. Fort logiquement d’ailleurs, compte tenu de ses caractéristiques techniques de base qui en font une plongeuse hors pair.
Parmi les grands noms ayant arboré les initiales M.N. ? Tudor bien évidemment, mais également Breguet, Longines, ZRC, Bianchi, Auricoste, Le Forban et bien d’autres. Il y a six mois, on apprenait que Tudor et Yema devenaient partenaire de la Marine Nationale. Après la Yema c’est donc au tour de Tudor de présenter sa montre M.N.
Pour tous ceux qui s’imaginaient que Tudor allait présenter une référence M.N. en version Black Bay… Eh bien, c’est raté ! En effet, c’est la très contemporaine Pelagos qui remporte la mise. Fort logiquement d’ailleurs, compte tenu de ses caractéristiques techniques de base qui en font une plongeuse hors pair.
Avec le modèle Pelagos FXD, où FXD fait référence aux barrettes fixes très robustes du boîtier de montre, l’horloger suisse renoue avec cette collaboration historique. Elle présente une montre issue d’un cahier de spécifications unique, élaboré avec le concours des nageurs de combat de la Marine nationale : ceux du prestigieux commando Hubert (qui a travaillé avec bien d’autres marques d’ailleurs).
Tudor et la marque « Marine nationale » (sous licence de nos jours) ont choisi de s’associer en 2021 afin de prolonger une relation qui remonte à 1956… À cette date, le Groupe d’Étude et de Recherches Sous-Marines (G.E.R.S.), une entité scientifique dépendant de la Marine nationale et basée à Toulon, reçoit des montres Oyster Prince Submariner pour leur évaluation en situation réelle.
Il s’agit d’exemplaires des références 7922 et 7923, toutes deux étanches à 100 mètres et équipées respectivement de mouvements à remontage automatiques et manuels. L’étanchéité de ces montres est alors jugée « parfaite » et leur comportement « tout à fait correct » par le commandant du G.E.R.S. de l’époque.
Tudor et la marque « Marine nationale » (sous licence de nos jours) ont choisi de s’associer en 2021 afin de prolonger une relation qui remonte à 1956… À cette date, le Groupe d’Étude et de Recherches Sous-Marines (G.E.R.S.), une entité scientifique dépendant de la Marine nationale et basée à Toulon, reçoit des montres Oyster Prince Submariner pour leur évaluation en situation réelle.
Il s’agit d’exemplaires des références 7922 et 7923, toutes deux étanches à 100 mètres et équipées respectivement de mouvements à remontage automatiques et manuels. L’étanchéité de ces montres est alors jugée « parfaite » et leur comportement « tout à fait correct » par le commandant du G.E.R.S. de l’époque.
Convaincu du potentiel des instruments que la marque genevoise propose, celui-ci passe rapidement de nouvelles commandes permettant à Tudor d’accéder au statut de « fournisseur officiel de la Marine nationale » en 1961.
Les montres de plongée Tudor ne cesseront alors d’évoluer et la Marine nationale utilisera au cours des décennies suivantes de nombreux instruments de la marque et de quelques autres comme indiqué précédemment.
Aujourd’hui, la plus célèbre montre de plongée Tudor utilisée par la Marine nationale reste la référence 9401, reconnaissable à sa combinaison cadran et lunette bleus. Lancée au milieu des années 1970, gravée sur le fond de boîte des initiales « M.N. » suivies de l’année de dotation et livrée dans deux configurations, index « Snowflake » et plus tard index triangulaires, ce modèle restera en production et sera livré à la Marine nationale jusque dans les années 1980.
Les montres de plongée Tudor ne cesseront alors d’évoluer et la Marine nationale utilisera au cours des décennies suivantes de nombreux instruments de la marque et de quelques autres comme indiqué précédemment.
Aujourd’hui, la plus célèbre montre de plongée Tudor utilisée par la Marine nationale reste la référence 9401, reconnaissable à sa combinaison cadran et lunette bleus. Lancée au milieu des années 1970, gravée sur le fond de boîte des initiales « M.N. » suivies de l’année de dotation et livrée dans deux configurations, index « Snowflake » et plus tard index triangulaires, ce modèle restera en production et sera livré à la Marine nationale jusque dans les années 1980.
Son utilisation, elle, s’étendra jusqu’aux années 2000, à l’école de plongée de la Marine nationale notamment, et chez les nageurs de combat. Bien qu’officiellement retirée des carnets de commande de la Marine nationale depuis une quinzaine d’années, on peut encore l’apercevoir aujourd’hui au poignet d’anciens marins. C’est dans l’esprit de cette référence emblématique que s’inscrit le modèle Pelagos FXD (même si bien différent esthétiquement).
Élaboré avec le concours des nageurs de combat de la Marine nationale, le modèle Pelagos FXD repose sur un cahier de spécifications aussi particulier qu’exigeant.
Raison pour laquelle il comprend de nombreux éléments fonctionnels inédits chez TUDOR, à commencer par ses barrettes de bracelet fixes, usinées dans la masse de la boîte en titane de 42 mm de diamètre, pour une robustesse et une fiabilité accrues (impossible que la pompe casse, et pour cause, il n’y en a pas ! ).
Profilées dans le prolongement des cornes, elles participent grandement à la silhouette caractéristique du modèle mais impose un poignet assez large…
Élaboré avec le concours des nageurs de combat de la Marine nationale, le modèle Pelagos FXD repose sur un cahier de spécifications aussi particulier qu’exigeant.
Raison pour laquelle il comprend de nombreux éléments fonctionnels inédits chez TUDOR, à commencer par ses barrettes de bracelet fixes, usinées dans la masse de la boîte en titane de 42 mm de diamètre, pour une robustesse et une fiabilité accrues (impossible que la pompe casse, et pour cause, il n’y en a pas ! ).
Profilées dans le prolongement des cornes, elles participent grandement à la silhouette caractéristique du modèle mais impose un poignet assez large…
Un autre élément spécifique de ce modèle est sa lunette tournante à 120 crans. Bidirectionnelle (et non unidirectionnelle) et graduée de manière rétrograde de 60 à 0, elle ne correspond pas au standard ISO 6425:2018 des montres de plongée mais répond au besoin spécifique de la technique dite de « navigation par caps successifs » ; l’une des spécialités des nageurs de combat.
La « navigation par caps successifs » consiste à atteindre, depuis la mer et sans faire surface, un objectif précis, en exécutant une navigation sous-marine qui aura été planifiée au préalable. Les plongeurs pratiquent cette navigation sous-marine en binôme, reliés l’un à l’autre par une lanière appelée « ligne de vie », et exécutent une série de tronçons rectilignes dont l’orientation est donnée par un compas magnétique.
Ils nagent à vitesse constante et pendant un temps déterminé sur chaque tronçon, exécutant autant de tronçons que nécessaire tout en chronométrant chacun d’eux précisément. Une navigation qui implique de relancer un compte à rebours à chaque changement de cap, ce que la graduation antihoraire et la luminosité de la lunette de ce modèle permettent de réaliser avec une grande aisance et d’un seul geste, en alignant le temps prévu pour le tronçon à parcourir sur la lunette avec l’aiguille des minutes.
Lorsque cette dernière arrive en face du triangle, le binôme change de cap et le plongeur en charge du chronométrage lance le compte à rebours suivant. Ce modèle a par ailleurs été équipé d’une bague de lunette de grande taille, qui dépasse le diamètre de la boîte pour une préhension optimale, même avec des gants en néoprène et des mains engourdies par de longues plongées en eaux froides.
De couleur bleu marine, ce modèle présente les index carrés et des aiguilles angulaires caractéristiques, introduits par la marque en 1969 pour augmenter l’intensité de la luminescence de ses montres en conditions de faible luminosité. Il possède en outre une lunette avec un insert en céramique sablé dont la graduation est, elle aussi, remplie de matière lumineuse.
Sa boîte en titane de 42 mm est étanche à 200 mètres et présente des finitions entièrement satinées pour un effet mat, limitant ainsi les reflets lumineux (discrétion militaire oblige). Pour souligner le caractère officiel de cette montre, son fond porte le logo de la marque « Marine nationale », composé d’une ancre surmontée d’un bachi, ainsi qu’un gravage d’inspiration historique « M.N.21 » pour « Marine nationale 2021 ».
Historiquement, la Marine nationale se faisait livrer des montres de plongée Tudor sans bracelet et les équipait ensuite de ses propres attaches ; plus ou moins, disons, artisanales. Deux types de bracelets semblent avoir été particulièrement utilisés au fil des années : des bracelets noirs, d’une seule pièce en nylon tressé et plus rarement, des bracelets artisanaux réalisés à partir d’élastiques de parachutes, reconnaissables à leur couleur verte et leur bande centrale jaune ou rouge.
C’est à ces derniers, reliques ultra fonctionnelles et immanquablement associées aux plongeurs militaires français, que le bracelet en tissu de la Pelagos FXD rend hommage. Ce dernier est constitué d’une seule pièce. C’est l’une des signatures de Tudor depuis 2010 (Omega se fournit auprès du même fabricant).
Tissé de manière artisanale sur des métiers Jacquard à navette du XIXe siècle par l’entreprise Julien Faure dans la région de Saint Étienne, en France, sa qualité, sa robustesse et son confort au porté sont uniques. Pour le modèle Pelagos FXD, une nouvelle construction très technique de bracelet a été développée par Tudor et Julien Faure, ici aussi adaptée au travail rustique des plongeurs de la Marine nationale.
Composé d’un ruban bleu marine en polyéthylène tissé de 22 mm avec bande centrale argentée, d’une boucle « D » en titane et d’un système d’attache auto grippant, il s’adapte à différentes tailles de poignet tout en offrant un grand confort d’utilisation.
Coïncidence notable, Julien Faure, entreprise familiale créée en 1864, a longtemps tissé en exclusivité dans ses ateliers les rubans décoratifs au nom des bâtiments de la Marine nationale, qui font partie intégrante du légendaire bachi, le couvre-chef à pompon rouge des matelots et quartiers maîtres français !
Un bracelet supplémentaire en caoutchouc d’une seule pièce avec motif tissu et boucle ardillon est également offert avec la Pelagos FXD. Très souple et très confortable, c’est la première fois qu’il est proposé par la marque horlogère
Le Calibre Manufacture MT5602 qui équipe le modèle Pelagos FXD affiche les fonctions heures, minutes et secondes. Il présente les finitions typiques des calibres Manufacture de Tudor : son rotor en tungstène monobloc est ajouré et satiné avec des détails sablés, tandis que ses ponts et sa platine exposent une alternance de surfaces sablées, polies et de décorations faites au laser. Pas « beau », mais efficace.
Sa construction est pensée pour la robustesse, la longévité, la fiabilité et la précision, à l’image de son balancier à inertie variable maintenu par un solide pont traversant à double point d’ancrage. Couplé à un spiral amagnétique en silicium, il permet au Calibre MT5602 d’être certifié chronomètre par le COSC avec des performances allant au-delà des standards de cette institution indépendante.
En effet, là où le COSC tolère une variation moyenne de marche journalière de –4 à +6 secondes par rapport au temps absolu sur un mouvement seul, Tudor s’impose –2 / +4 secondes de variation sur la marche de la montre entièrement assemblée.
Autre élément notable, la réserve de marche est dite « weekend proof », soit de 70h environ, ce qui permet au porteur de poser sa montre le vendredi soir et de la reprendre le lundi matin sans devoir la remonter.
L’histoire de la montre de plongée TUDOR remonte à 1954 et au lancement de la référence 7922.
Tudor propose une garantie de cinq ans pour tous ses produits. Cette garantie ne nécessite pas l’enregistrement de la montre ni de contrôles intermédiaires et est transférable. TUDOR recommande par ailleurs de faire entretenir une montre tous les 10 ans environ, en fonction du modèle et de l’utilisation qui en est faite au quotidien.
La « navigation par caps successifs » consiste à atteindre, depuis la mer et sans faire surface, un objectif précis, en exécutant une navigation sous-marine qui aura été planifiée au préalable. Les plongeurs pratiquent cette navigation sous-marine en binôme, reliés l’un à l’autre par une lanière appelée « ligne de vie », et exécutent une série de tronçons rectilignes dont l’orientation est donnée par un compas magnétique.
Ils nagent à vitesse constante et pendant un temps déterminé sur chaque tronçon, exécutant autant de tronçons que nécessaire tout en chronométrant chacun d’eux précisément. Une navigation qui implique de relancer un compte à rebours à chaque changement de cap, ce que la graduation antihoraire et la luminosité de la lunette de ce modèle permettent de réaliser avec une grande aisance et d’un seul geste, en alignant le temps prévu pour le tronçon à parcourir sur la lunette avec l’aiguille des minutes.
Lorsque cette dernière arrive en face du triangle, le binôme change de cap et le plongeur en charge du chronométrage lance le compte à rebours suivant. Ce modèle a par ailleurs été équipé d’une bague de lunette de grande taille, qui dépasse le diamètre de la boîte pour une préhension optimale, même avec des gants en néoprène et des mains engourdies par de longues plongées en eaux froides.
De couleur bleu marine, ce modèle présente les index carrés et des aiguilles angulaires caractéristiques, introduits par la marque en 1969 pour augmenter l’intensité de la luminescence de ses montres en conditions de faible luminosité. Il possède en outre une lunette avec un insert en céramique sablé dont la graduation est, elle aussi, remplie de matière lumineuse.
Sa boîte en titane de 42 mm est étanche à 200 mètres et présente des finitions entièrement satinées pour un effet mat, limitant ainsi les reflets lumineux (discrétion militaire oblige). Pour souligner le caractère officiel de cette montre, son fond porte le logo de la marque « Marine nationale », composé d’une ancre surmontée d’un bachi, ainsi qu’un gravage d’inspiration historique « M.N.21 » pour « Marine nationale 2021 ».
Historiquement, la Marine nationale se faisait livrer des montres de plongée Tudor sans bracelet et les équipait ensuite de ses propres attaches ; plus ou moins, disons, artisanales. Deux types de bracelets semblent avoir été particulièrement utilisés au fil des années : des bracelets noirs, d’une seule pièce en nylon tressé et plus rarement, des bracelets artisanaux réalisés à partir d’élastiques de parachutes, reconnaissables à leur couleur verte et leur bande centrale jaune ou rouge.
C’est à ces derniers, reliques ultra fonctionnelles et immanquablement associées aux plongeurs militaires français, que le bracelet en tissu de la Pelagos FXD rend hommage. Ce dernier est constitué d’une seule pièce. C’est l’une des signatures de Tudor depuis 2010 (Omega se fournit auprès du même fabricant).
Tissé de manière artisanale sur des métiers Jacquard à navette du XIXe siècle par l’entreprise Julien Faure dans la région de Saint Étienne, en France, sa qualité, sa robustesse et son confort au porté sont uniques. Pour le modèle Pelagos FXD, une nouvelle construction très technique de bracelet a été développée par Tudor et Julien Faure, ici aussi adaptée au travail rustique des plongeurs de la Marine nationale.
Composé d’un ruban bleu marine en polyéthylène tissé de 22 mm avec bande centrale argentée, d’une boucle « D » en titane et d’un système d’attache auto grippant, il s’adapte à différentes tailles de poignet tout en offrant un grand confort d’utilisation.
Coïncidence notable, Julien Faure, entreprise familiale créée en 1864, a longtemps tissé en exclusivité dans ses ateliers les rubans décoratifs au nom des bâtiments de la Marine nationale, qui font partie intégrante du légendaire bachi, le couvre-chef à pompon rouge des matelots et quartiers maîtres français !
Un bracelet supplémentaire en caoutchouc d’une seule pièce avec motif tissu et boucle ardillon est également offert avec la Pelagos FXD. Très souple et très confortable, c’est la première fois qu’il est proposé par la marque horlogère
Le Calibre Manufacture MT5602 qui équipe le modèle Pelagos FXD affiche les fonctions heures, minutes et secondes. Il présente les finitions typiques des calibres Manufacture de Tudor : son rotor en tungstène monobloc est ajouré et satiné avec des détails sablés, tandis que ses ponts et sa platine exposent une alternance de surfaces sablées, polies et de décorations faites au laser. Pas « beau », mais efficace.
Sa construction est pensée pour la robustesse, la longévité, la fiabilité et la précision, à l’image de son balancier à inertie variable maintenu par un solide pont traversant à double point d’ancrage. Couplé à un spiral amagnétique en silicium, il permet au Calibre MT5602 d’être certifié chronomètre par le COSC avec des performances allant au-delà des standards de cette institution indépendante.
En effet, là où le COSC tolère une variation moyenne de marche journalière de –4 à +6 secondes par rapport au temps absolu sur un mouvement seul, Tudor s’impose –2 / +4 secondes de variation sur la marche de la montre entièrement assemblée.
Autre élément notable, la réserve de marche est dite « weekend proof », soit de 70h environ, ce qui permet au porteur de poser sa montre le vendredi soir et de la reprendre le lundi matin sans devoir la remonter.
L’histoire de la montre de plongée TUDOR remonte à 1954 et au lancement de la référence 7922.
Tudor propose une garantie de cinq ans pour tous ses produits. Cette garantie ne nécessite pas l’enregistrement de la montre ni de contrôles intermédiaires et est transférable. TUDOR recommande par ailleurs de faire entretenir une montre tous les 10 ans environ, en fonction du modèle et de l’utilisation qui en est faite au quotidien.