Ouvertement inspiré d’un bateau à voile, ce modèle de 44 mm affiche le temps de façon inédite et originale grâce à un calibre imaginé par Christophe Claret. En effet, en lieu et place des habituelles aiguilles, une « bôme » -cette pièce horizontale qui permet d'orienter la grand-voile– indique les minutes sur un bandeau gradué.
Pilotée par un fil rappelant la « drisse » d’un voilier (cordage servant à hisser la voile), la bôme effectue un mouvement rétrograde lors du passage de l’heure. Ce retour s’effectue en 3 à 4 secondes, grâce à un mécanisme de ralentissement visible côté fond spécialement conçu pour en réguler la vitesse et ainsi permettre d’en admirer le ballet. Le nano-fil qui tracte la bôme ne mesure que 0.0357 mm de diamètre et il est capable de supporter 1,41 kg en traction sans s’allonger.
Composé de fibre Dyneema en polyéthylène (utilisée pour les cordages des voiliers), il s’avère beaucoup plus résistant que l’acier. Le dispositif de transmission par des fils bouclés avec tendeur -deux brins sont visibles, un brin caché ferme la boucle- est une première en horlogerie. Breveté et exclusif à UN, ce système est composé d’un pignon pour l’entrainement, d’un spiral tendeur et de deux goupilles anti-déraillement du fil.
Visibles côté cadran, ces quatre « poulies » rappellent les « winchs » des voiliers (sur le pont, ces derniers permettent de renforcer la traction exercée sur les cordages de la voilure). L’heure sautante s’affiche quant à elle à travers un double guichet, animé par deux grands disques concentriques à passage instantané. En outre, un correcteur positionné à 2h permet l’ajustement rapide de l’heure.
Pilotée par un fil rappelant la « drisse » d’un voilier (cordage servant à hisser la voile), la bôme effectue un mouvement rétrograde lors du passage de l’heure. Ce retour s’effectue en 3 à 4 secondes, grâce à un mécanisme de ralentissement visible côté fond spécialement conçu pour en réguler la vitesse et ainsi permettre d’en admirer le ballet. Le nano-fil qui tracte la bôme ne mesure que 0.0357 mm de diamètre et il est capable de supporter 1,41 kg en traction sans s’allonger.
Composé de fibre Dyneema en polyéthylène (utilisée pour les cordages des voiliers), il s’avère beaucoup plus résistant que l’acier. Le dispositif de transmission par des fils bouclés avec tendeur -deux brins sont visibles, un brin caché ferme la boucle- est une première en horlogerie. Breveté et exclusif à UN, ce système est composé d’un pignon pour l’entrainement, d’un spiral tendeur et de deux goupilles anti-déraillement du fil.
Visibles côté cadran, ces quatre « poulies » rappellent les « winchs » des voiliers (sur le pont, ces derniers permettent de renforcer la traction exercée sur les cordages de la voilure). L’heure sautante s’affiche quant à elle à travers un double guichet, animé par deux grands disques concentriques à passage instantané. En outre, un correcteur positionné à 2h permet l’ajustement rapide de l’heure.
Animé de 469 composants, ce calibre UN 630, mouvement tourbillon volant 60 secondes à remontage manuel, oscille à une fréquence de 3 Hz. Malgré un affichage bôme gourmand en énergie, il présente dispose d’une généreuse réserve de marche de plus de 48 heures. Un premier barillet est dédié au rouage temps, tandis qu’un second barillet fournit l’énergie nécessaire à la complication, soit à l’affichage des heures et des minutes. Ce dernier dispositif est régulé par un échappement particulier qui vient chercher l’information sur le rouage temps.
Cette conception intégrant deux barillets –l’un pour le mouvement, l’autre pour l’affichage- permet d’éviter les perturbations due à la complication sur la marche de la montre. Au dos du mouvement, les barillets squelettés permettent de visualiser l’armage ou le désarmage du ressort de barillet, offrant ainsi une indication aussi utile que captivante. Lorsque la montre est remontée, le ressort s’enroule au centre du barillet. À l’inverse lorsqu’elle n’a plus suffisamment d’autonomie, il se déroule vers le bord extérieur du barillet.
Ce condensé de mécanique se loge dans un boîtier en or blanc étanche à 100 mètres ! Surmonté d’une lunette cannelée et d’une couronne vissée surmoulée de caoutchouc bleu, le cadran réinterprète l’esthétique d’un voilier. Façonnée en marqueterie véritable, sa finition artisanale évoque un pont en teck baigné de soleil, tandis que la bôme en aluminium bleui survole un bandeau des minutes réalisé en spinelle bleu, dessinant une passerelle translucide entre 3h et 9h.
Le fil pilotant la bôme s’articule sur quatre poulies fixées par des vis-étoiles bleuies auxquelles fait écho le tourbillon paré de l’ancre Ulysse Nardin. Le réhaut orné de petites barrières et les fils décoratifs tendus sur le haut du cadran parachèvent ces références à l’univers nautique. Le logo placé entre deux signaux maritimes correspondant aux lettres U et N ; il reprend le design qui figurait sur les chronomètres de bord réalisés autrefois par la manufacture.
Ce garde-temps Ulysse Nardin est proposé en une édition limitée à 18 exemplaires sur un bracelet en alligator associé à une boucle déployante en or blanc.
Cette conception intégrant deux barillets –l’un pour le mouvement, l’autre pour l’affichage- permet d’éviter les perturbations due à la complication sur la marche de la montre. Au dos du mouvement, les barillets squelettés permettent de visualiser l’armage ou le désarmage du ressort de barillet, offrant ainsi une indication aussi utile que captivante. Lorsque la montre est remontée, le ressort s’enroule au centre du barillet. À l’inverse lorsqu’elle n’a plus suffisamment d’autonomie, il se déroule vers le bord extérieur du barillet.
Ce condensé de mécanique se loge dans un boîtier en or blanc étanche à 100 mètres ! Surmonté d’une lunette cannelée et d’une couronne vissée surmoulée de caoutchouc bleu, le cadran réinterprète l’esthétique d’un voilier. Façonnée en marqueterie véritable, sa finition artisanale évoque un pont en teck baigné de soleil, tandis que la bôme en aluminium bleui survole un bandeau des minutes réalisé en spinelle bleu, dessinant une passerelle translucide entre 3h et 9h.
Le fil pilotant la bôme s’articule sur quatre poulies fixées par des vis-étoiles bleuies auxquelles fait écho le tourbillon paré de l’ancre Ulysse Nardin. Le réhaut orné de petites barrières et les fils décoratifs tendus sur le haut du cadran parachèvent ces références à l’univers nautique. Le logo placé entre deux signaux maritimes correspondant aux lettres U et N ; il reprend le design qui figurait sur les chronomètres de bord réalisés autrefois par la manufacture.
Ce garde-temps Ulysse Nardin est proposé en une édition limitée à 18 exemplaires sur un bracelet en alligator associé à une boucle déployante en or blanc.
Spécificités techniques
Boîte 44 mm en or blanc 18 ct, lunette cannelée
Couronne vissée, surmoulée de caoutchouc bleu
Etanchéité 100 m
Cadran marqueterie en bois véritable
Bandeau des minutes en spinelle bleu
Bôme en aluminium bleui indiquant les minutes
Glace saphir traité antireflet
Glace de fond saphir
Calibre UN-630 à remontage manuel
21'600 Alt/h
Tourbillon avec affichage bôme exclusif
Réserve de marche env. 48 h
Fonctions heure sautante dans un double guichet minutes sur un bandeau gradué tourbillon volant 60 secondes
Correcteur ajustement rapide de l’heure
Bracelet cuir avec fermoir déployant
Référence 6300-300/GD or blanc 18 ct
Edition limitée : 18 pièces
Couronne vissée, surmoulée de caoutchouc bleu
Etanchéité 100 m
Cadran marqueterie en bois véritable
Bandeau des minutes en spinelle bleu
Bôme en aluminium bleui indiquant les minutes
Glace saphir traité antireflet
Glace de fond saphir
Calibre UN-630 à remontage manuel
21'600 Alt/h
Tourbillon avec affichage bôme exclusif
Réserve de marche env. 48 h
Fonctions heure sautante dans un double guichet minutes sur un bandeau gradué tourbillon volant 60 secondes
Correcteur ajustement rapide de l’heure
Bracelet cuir avec fermoir déployant
Référence 6300-300/GD or blanc 18 ct
Edition limitée : 18 pièces