Saint-Nicolas d’Aliermont doit sa vocation à deux hommes de talent : Charles-Antoine Croutte, fils d’un horloger dieppois qui s’y installa en 1725 et fit très vite la réputation de la ville avec les fameuses horloges Saint-Nicolas et Honoré Pons en 1807 qui transforma l’activité artisanale en véritable industrie.
Depuis, l’activité horlogère de Saint-Nicolas d’Aliermont n’a cessé d’évoluer s’adaptant au temps, aux modes et aux techniques…
Un musée se devait de retracer cette épopée. Les collections installées depuis 20 ans dans le château communal méritaient un lieu adapté, moderne, à la hauteur des ambitions de la ville. C’est chose faite avec un vrai musée de 340 m2, équipé de cinq salles d’expositions permanentes, d’une salle d’exposition temporaire, d’un atelier pour voir travailler les horlogers en direct, une salle de projections de films et d’une boutique sur le thème du temps.
Sont exposés 280 objets (sur les 800 objets inventoriés sous le label « Musée de France ») : objets d’horlogerie domestique (horloges et réveils), d’horlogerie de précision (chronomètre de marine, régulateur), d’horlogerie de gestion du temps (horodateur, pointeuse), sans oublier plans, dessins, outillages et machines.
Aux murs, des photos, des documents d’archives et des cartes postales anciennes retracent l’histoire des familles d’horlogers qui souvent travaillaient à domicile, des ateliers en plein travail, des sorties d’usine à vélo, sans oublier les photos officielles où l’on reconnaît le patron, à son melon et l’ouvrier, à sa casquette.
Depuis, l’activité horlogère de Saint-Nicolas d’Aliermont n’a cessé d’évoluer s’adaptant au temps, aux modes et aux techniques…
Un musée se devait de retracer cette épopée. Les collections installées depuis 20 ans dans le château communal méritaient un lieu adapté, moderne, à la hauteur des ambitions de la ville. C’est chose faite avec un vrai musée de 340 m2, équipé de cinq salles d’expositions permanentes, d’une salle d’exposition temporaire, d’un atelier pour voir travailler les horlogers en direct, une salle de projections de films et d’une boutique sur le thème du temps.
Sont exposés 280 objets (sur les 800 objets inventoriés sous le label « Musée de France ») : objets d’horlogerie domestique (horloges et réveils), d’horlogerie de précision (chronomètre de marine, régulateur), d’horlogerie de gestion du temps (horodateur, pointeuse), sans oublier plans, dessins, outillages et machines.
Aux murs, des photos, des documents d’archives et des cartes postales anciennes retracent l’histoire des familles d’horlogers qui souvent travaillaient à domicile, des ateliers en plein travail, des sorties d’usine à vélo, sans oublier les photos officielles où l’on reconnaît le patron, à son melon et l’ouvrier, à sa casquette.
A découvrir au fil de la visite :
• une douzaine de pendules Saint-Nicolas au garde à vous, reconnaissables à leur corps étroit, leur balancier court et leur « tête » épanouie souvent couronnée de sculptures de bois : feuilles de chêne, lauriers, épis de maïs, corbeille de fruits ou colombes « bec à bec » pour les jeunes mariés.
• Raffinées et élégantes avec leurs fines aiguilles, une belle collection de pendules « de cheminées » équipées du fameux mouvement « de Paris », pièce maîtresse des appartements bourgeois du 19ème siècle.
• Quelques superbes réveils de voyage signés Armand Couaillet, certains ayant conservé leur précieux coffret ouatiné indispensable pour traverser les océans.
• Les réveils Bayard (en hommage au preux chevalier) fabriqués à Saint-Nicolas d’Aliermont entre les années 20 et les années 50, célèbres dans le monde entier et qui s’exportaient en Europe, aux USA, en Russie et jusqu’aux Indes. A l’époque où la publicité s’appelait encore « la réclame », ces réveils tout ronds, solides et bon-enfants avaient pour nom : Le Sonnfort, Le Bijou, le Viking, le Stentor, le Tapageur ou La Mignonnette …Ils furent détrônés par le réveil à quartz.
• Raffinées et élégantes avec leurs fines aiguilles, une belle collection de pendules « de cheminées » équipées du fameux mouvement « de Paris », pièce maîtresse des appartements bourgeois du 19ème siècle.
• Quelques superbes réveils de voyage signés Armand Couaillet, certains ayant conservé leur précieux coffret ouatiné indispensable pour traverser les océans.
• Les réveils Bayard (en hommage au preux chevalier) fabriqués à Saint-Nicolas d’Aliermont entre les années 20 et les années 50, célèbres dans le monde entier et qui s’exportaient en Europe, aux USA, en Russie et jusqu’aux Indes. A l’époque où la publicité s’appelait encore « la réclame », ces réveils tout ronds, solides et bon-enfants avaient pour nom : Le Sonnfort, Le Bijou, le Viking, le Stentor, le Tapageur ou La Mignonnette …Ils furent détrônés par le réveil à quartz.
Infos pratiques
Horaires d’ouverture :
Du 1er juin au 30 septembre : du mardi au dimanche, de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Du 1er octobre au 31 décembre et du 1er avril au 31 mai : du mercredi au dimanche, de 14h30 à 18h.
Le musée est fermé de janvier à septembre pour le public individuel.
Toute l’année et sur réservation pour les groupes d’enfants et d’adultes.
Prix d’entrée :
Tarif : 3,50 € ; réduit (12-18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, bénéficiaire du RMI, handicapés) : 1,50 € ; gratuit pour les – 12 ans ; groupe : 2,50 € ; carte « Passe Temps » : 5 € et donne droit à l’entrée gratuite pendant un an.
Coordonnées :
Musée de l’horlogerie
48 rue Edouard Cannevel
76 510 Saint-Nicolas d’Aliermont
02 35 04 53 98
Animations tout au long de l’année : exposition temporaire, atelier du patrimoine, conférences…
Du 1er juin au 30 septembre : du mardi au dimanche, de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Du 1er octobre au 31 décembre et du 1er avril au 31 mai : du mercredi au dimanche, de 14h30 à 18h.
Le musée est fermé de janvier à septembre pour le public individuel.
Toute l’année et sur réservation pour les groupes d’enfants et d’adultes.
Prix d’entrée :
Tarif : 3,50 € ; réduit (12-18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, bénéficiaire du RMI, handicapés) : 1,50 € ; gratuit pour les – 12 ans ; groupe : 2,50 € ; carte « Passe Temps » : 5 € et donne droit à l’entrée gratuite pendant un an.
Coordonnées :
Musée de l’horlogerie
48 rue Edouard Cannevel
76 510 Saint-Nicolas d’Aliermont
02 35 04 53 98
Animations tout au long de l’année : exposition temporaire, atelier du patrimoine, conférences…