Rappelons que la maison crée des montres qui sont aussi uniques que l'ADN des femmes qui les arborent. Elles ne portent qu'un numéro, le n°1. Chacune, dans une famille créée autour d'une forme ou d'un mouvement, a sa particularité.
Pas une des Invisibles, des Magnolias ou des Angel Heart, par exemple, n'a de jumelle parfaite. Ce que toutes ces pièces ont en commun, par contre, c'est d'être la somme de trésors de savoir-faire tels que l'émaillage, le sertissage ou la haute mécanique horlogère.
Une pièce unique ne saurait être valorisée autrement que dans un environnement exclusivement dédié. A l'instar de la haute couture, DeLaneau accueille donc ses clientes dans une boutique dont l'esprit est celui d'un salon privé.
Le parti pris architectural et esthétique se signale dès l'entrée des 180 m2 de la boutique. L'esprit et la décoration des deux étages sont d'inspiration Art déco, en écho avec les familles horlogères DeLaneau. Le contraste entre le noir et le blanc cassé est omniprésent. Il revient aux fauteuils de jouer les trouble-fêtes élégants en apportant une touche rouge et rose fuchsia emblématique de l'époque.
Le sol en pierre de Tavel et quartzite dessine de grands losanges crème et anthracite, qui répondent aux caissons carrés coquille d'œuf du plafond. D'imposants panneaux en bois wengé sombres habillent les murs en stucco vénitien. Les meubles ventrus en ébène de Macassar et marbre noir poursuivent la déclinaison du thème tout comme la table basse et la console dont les plaques s'habillent de noir du Zimbabwe. Deux taureaux stylisés noir absolu de Belgique supportent une console murale rehaussée d'un miroir travaillé.
La scénographie des vitrines a été confiée à une styliste parisienne qui les animera régulièrement dans l'année, au gré des événements et des saisons. La première expression printanière met en scène un univers onirique dans lequel des mammifères, oiseaux et insectes sont posés dans de luxueuses balancelles. Cette féerie crée un monde animé à mi-chemin entre Lewis Carroll et un musée d'histoire naturelle qui met parfaitement en valeur les garde-temps hautement colorés de la marque.
Créée en 1949, l'entreprise DeLaneau Watches est dirigée par Cristina Thévenaz-Wendt, qui en est aussi la directrice artistique. Fabriquant exclusivement des montres pour femmes en pièces uniques, elle ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et développer rapidement son propre réseau de boutiques, d'abord à Moscou puis à New York. S'y ajouteront des shops in shop dans quelques temples du luxe, ainsi que des corners dédiés chez des détaillants spécialisés.
Pas une des Invisibles, des Magnolias ou des Angel Heart, par exemple, n'a de jumelle parfaite. Ce que toutes ces pièces ont en commun, par contre, c'est d'être la somme de trésors de savoir-faire tels que l'émaillage, le sertissage ou la haute mécanique horlogère.
Une pièce unique ne saurait être valorisée autrement que dans un environnement exclusivement dédié. A l'instar de la haute couture, DeLaneau accueille donc ses clientes dans une boutique dont l'esprit est celui d'un salon privé.
Le parti pris architectural et esthétique se signale dès l'entrée des 180 m2 de la boutique. L'esprit et la décoration des deux étages sont d'inspiration Art déco, en écho avec les familles horlogères DeLaneau. Le contraste entre le noir et le blanc cassé est omniprésent. Il revient aux fauteuils de jouer les trouble-fêtes élégants en apportant une touche rouge et rose fuchsia emblématique de l'époque.
Le sol en pierre de Tavel et quartzite dessine de grands losanges crème et anthracite, qui répondent aux caissons carrés coquille d'œuf du plafond. D'imposants panneaux en bois wengé sombres habillent les murs en stucco vénitien. Les meubles ventrus en ébène de Macassar et marbre noir poursuivent la déclinaison du thème tout comme la table basse et la console dont les plaques s'habillent de noir du Zimbabwe. Deux taureaux stylisés noir absolu de Belgique supportent une console murale rehaussée d'un miroir travaillé.
La scénographie des vitrines a été confiée à une styliste parisienne qui les animera régulièrement dans l'année, au gré des événements et des saisons. La première expression printanière met en scène un univers onirique dans lequel des mammifères, oiseaux et insectes sont posés dans de luxueuses balancelles. Cette féerie crée un monde animé à mi-chemin entre Lewis Carroll et un musée d'histoire naturelle qui met parfaitement en valeur les garde-temps hautement colorés de la marque.
Créée en 1949, l'entreprise DeLaneau Watches est dirigée par Cristina Thévenaz-Wendt, qui en est aussi la directrice artistique. Fabriquant exclusivement des montres pour femmes en pièces uniques, elle ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et développer rapidement son propre réseau de boutiques, d'abord à Moscou puis à New York. S'y ajouteront des shops in shop dans quelques temples du luxe, ainsi que des corners dédiés chez des détaillants spécialisés.