Avant d’évoquer ce tout premier modèle réalisé sous son nom (marque éponyme), revenons tout d’abord sur le profil de Ludovic Ballouard.
A l’origine, rien ne destinait l’homme à devenir horloger. Né en Bretagne en 1971, d’un père breton et d’une mère hollandaise, son enfance a été bercée par le bruit de l’océan, par les vents qui soufflent avec force le long des côtes et par la nature sauvage et splendide de cette région de France.
C’est sa passion pour la construction et le vol des avions radiocommandés qui va mener Ludovic Ballouard vers les montres. En effet, dès l’âge de douze ans, il excelle dans cette matière ; c’est l’un de ses professeurs qui, par la suite, lui suggère de mettre à profit cette passion pour l’assemblage de l’infiniment petit au service de l’horlogerie.
Dès lors, le jeune Ballouard a trouvé sa voie ! Elève de l’école d’horlogerie de Rennes, il découvre les rouages, les vis, les mouvements, les boîtiers, etc. Au fil du temps, sa passion pour les merveilles que sont les garde-temps ne fait que croître.
Cependant, la Bretagne n’est pas la Vallée de Joux. Et les opportunités de vivre de son amour pour les montres sont rares… Au début de sa carrière, il se résout donc à travailler –pendant six ans tout de même- comme technicien dans l’aéronautique. Mais un jour, l’attrait pour le tic-tac horloger est plus fort que tout. Ludovic Ballouard abandonne donc l’ouest de la France pour rejoindre la Suisse et plus précisément Genève.
A l’origine, rien ne destinait l’homme à devenir horloger. Né en Bretagne en 1971, d’un père breton et d’une mère hollandaise, son enfance a été bercée par le bruit de l’océan, par les vents qui soufflent avec force le long des côtes et par la nature sauvage et splendide de cette région de France.
C’est sa passion pour la construction et le vol des avions radiocommandés qui va mener Ludovic Ballouard vers les montres. En effet, dès l’âge de douze ans, il excelle dans cette matière ; c’est l’un de ses professeurs qui, par la suite, lui suggère de mettre à profit cette passion pour l’assemblage de l’infiniment petit au service de l’horlogerie.
Dès lors, le jeune Ballouard a trouvé sa voie ! Elève de l’école d’horlogerie de Rennes, il découvre les rouages, les vis, les mouvements, les boîtiers, etc. Au fil du temps, sa passion pour les merveilles que sont les garde-temps ne fait que croître.
Cependant, la Bretagne n’est pas la Vallée de Joux. Et les opportunités de vivre de son amour pour les montres sont rares… Au début de sa carrière, il se résout donc à travailler –pendant six ans tout de même- comme technicien dans l’aéronautique. Mais un jour, l’attrait pour le tic-tac horloger est plus fort que tout. Ludovic Ballouard abandonne donc l’ouest de la France pour rejoindre la Suisse et plus précisément Genève.
Il démarre sa carrière d’horloger chez Frank Muller (pendant trois ans), puis ensuite pour François-Paul Journe avec qui il restera sept ans (de réflexion ?) et où, pendant les trois dernières années, il se consacre au réglage et à l’assemblage de l’extraordinaire « Sonnerie Souveraine ».
En mai 2009, il se décide enfin à lancer sa propre marque. A cette époque, la crise mondiale est sévère, mais il sent que le moment est venu pour lui de suivre son envie et sa voie, porté tant par le désir de réaliser ses propres modèles que par les idées créatives qui lui envahissent alors l’esprit.
Ses fournisseurs, moins sollicités à cause du marasme économique ambiant et enthousiasmés par ailleurs par la montre que Ludovic Ballouard souhaite fabriquer, lui permettent la réalisation rapide de ce premier garde-temps tout à fait exceptionnel (imaginé par un traite de crayon sur un post it en une quinzaine de minutes !).
C’est ainsi qu’est née l’Upside Down, une montre de 41 mm à complication toute en platine (même la couronne, généralement cette dernière est en or gris sur les montres en platine), dont le premier modèle a été livré en décembre 2009.
Depuis, l’horloger breton continue sereinement sa route dans son atelier genevois (pour le moment, une vingtaine de pièces ont été livrées à des amateurs « avertis »), de plus en plus reconnu et admiré par de nombreux collectionneurs et passionnés de garde-temps dans le monde entier.
Pourquoi « Upside Down » ? Car c'est bien à l'envers que les chiffres du cadran sont affichés. Tous les chiffres ? Non ! Seul celui de l'heure en cours est représenté dans le bon sens. Dès qu’une nouvelle heure commence, l’heure écoulée se retourne à l’envers et celle qui suit se met à l’endroit !
Afin de faciliter encore plus la lecture de l'heure et de détecter d'un simple coup d'œil le chiffre adéquat, un petit index noir apparaît devant le chiffre de l’heure en cours. « J’ai décidé de placer le système de complication sous le verre de fond et non sous le cadran ! J’offre ainsi au client le privilège d’en visualiser son fonctionnement » souligne Ludovic Ballouard.
L'Upside Down est commercialisée dans un bel étui réalisé dans la même peausserie que le bracelet-montre.
En octobre 2010, le magazine horloger suisse « Montres Passions » lui a décerné son « Prix Spécial du Jury » dans le cadre du concours de « La Montre de l’Année 2010 ».
En mai 2009, il se décide enfin à lancer sa propre marque. A cette époque, la crise mondiale est sévère, mais il sent que le moment est venu pour lui de suivre son envie et sa voie, porté tant par le désir de réaliser ses propres modèles que par les idées créatives qui lui envahissent alors l’esprit.
Ses fournisseurs, moins sollicités à cause du marasme économique ambiant et enthousiasmés par ailleurs par la montre que Ludovic Ballouard souhaite fabriquer, lui permettent la réalisation rapide de ce premier garde-temps tout à fait exceptionnel (imaginé par un traite de crayon sur un post it en une quinzaine de minutes !).
C’est ainsi qu’est née l’Upside Down, une montre de 41 mm à complication toute en platine (même la couronne, généralement cette dernière est en or gris sur les montres en platine), dont le premier modèle a été livré en décembre 2009.
Depuis, l’horloger breton continue sereinement sa route dans son atelier genevois (pour le moment, une vingtaine de pièces ont été livrées à des amateurs « avertis »), de plus en plus reconnu et admiré par de nombreux collectionneurs et passionnés de garde-temps dans le monde entier.
Pourquoi « Upside Down » ? Car c'est bien à l'envers que les chiffres du cadran sont affichés. Tous les chiffres ? Non ! Seul celui de l'heure en cours est représenté dans le bon sens. Dès qu’une nouvelle heure commence, l’heure écoulée se retourne à l’envers et celle qui suit se met à l’endroit !
Afin de faciliter encore plus la lecture de l'heure et de détecter d'un simple coup d'œil le chiffre adéquat, un petit index noir apparaît devant le chiffre de l’heure en cours. « J’ai décidé de placer le système de complication sous le verre de fond et non sous le cadran ! J’offre ainsi au client le privilège d’en visualiser son fonctionnement » souligne Ludovic Ballouard.
L'Upside Down est commercialisée dans un bel étui réalisé dans la même peausserie que le bracelet-montre.
En octobre 2010, le magazine horloger suisse « Montres Passions » lui a décerné son « Prix Spécial du Jury » dans le cadre du concours de « La Montre de l’Année 2010 ».
Spécificités techniques de l’Upside Down de Ludovic Ballouard
Calibre
Fréquence du balancier : 21600 alternances/heure (3hz)
Remontage manuel
Diamètre mouvement : 35 millimètres (15,5 lignes)
Epaisseur mouvement : 3,5 millimètres
51 rubis
228 composants pour la partie mouvement
Seconde à 6 h
Couronne placée entre 2 et 3 h (complication oblige)
Complication visible sous le fond (et non sous le cadran)
Système de friction chaussée et de mise à l’heure exclusif maison
Système de complication breveté
Réserve de marche +/- 40 heures
Etanche 30 mètres
Boite 41 mm, couronne et boucle en platine 950
Entrecorne : 20 mm
Boucle, fond et couronne gravée main.
Cadran titane et aiguilles en acier bleui
Bracelet et écrins en alligator manufacturés main à Genève (écrins et bracelet sont manufacturés dans la même peau).
Prix de vente public : 55 000 francs suisses hors taxe
www.ballouard.com/
Fréquence du balancier : 21600 alternances/heure (3hz)
Remontage manuel
Diamètre mouvement : 35 millimètres (15,5 lignes)
Epaisseur mouvement : 3,5 millimètres
51 rubis
228 composants pour la partie mouvement
Seconde à 6 h
Couronne placée entre 2 et 3 h (complication oblige)
Complication visible sous le fond (et non sous le cadran)
Système de friction chaussée et de mise à l’heure exclusif maison
Système de complication breveté
Réserve de marche +/- 40 heures
Etanche 30 mètres
Boite 41 mm, couronne et boucle en platine 950
Entrecorne : 20 mm
Boucle, fond et couronne gravée main.
Cadran titane et aiguilles en acier bleui
Bracelet et écrins en alligator manufacturés main à Genève (écrins et bracelet sont manufacturés dans la même peau).
Prix de vente public : 55 000 francs suisses hors taxe
www.ballouard.com/