Voici probablement l'une des montres-bracelets les plus recherchées jamais fabriquées… Il s’agit d’un modèle à répétition minute de chez Vacheron Constantin en or jaune de forme tonneau avec calendrier rétrograde, datant de 1940. Ce modèle fut évoqué dans un livre il y a plus de vingt ans. Depuis, rien ou pas grand-chose, jusqu’à ce que cette pièce horlogère mythique apparaisse sur le marché.
Connue sous le nom de « Don Pancho » en référence au surnom de son propriétaire, le garde-temps a été conservé par la famille initiale, les Llano, dans un coffre pendant plus de soixante ans et constitue, selon toute vraisemblance, l'une des montres-bracelets les plus compliquées jamais produites à cette époque.
A l’origine, ce modèle fut commandé en 1935 par un détaillant madrilène qui demanda à Vacheron Constantin, la réalisation d’une montre unique pour l’un de ses clients.
Connue sous le nom de « Don Pancho » en référence au surnom de son propriétaire, le garde-temps a été conservé par la famille initiale, les Llano, dans un coffre pendant plus de soixante ans et constitue, selon toute vraisemblance, l'une des montres-bracelets les plus compliquées jamais produites à cette époque.
A l’origine, ce modèle fut commandé en 1935 par un détaillant madrilène qui demanda à Vacheron Constantin, la réalisation d’une montre unique pour l’un de ses clients.
Cette demande spécifiait qu’il devait s’agir d’un modèle en or jaune de forme tonneau avec couronne à midi ; coté complication, ce garde-temps devait être une répétition minute avec le moins de notes possibles, la targette d’action de la répét’ minute devait se trouver sur le côté droit du boitier, elle devait également afficher le jour et une date rétrograde et arborer les initiales du propriétaire en émail bleu sur le fond de boitier.
Autre point : elle devait être livrée avec deux cadrans, un en émail noir avec chiffres de type Breguet et l’autre avec des chiffres en radium, avec à chaque fois, douze chiffres. Dernier point, rare pour l’époque, la montre devait pouvoir se porter sur six bracelets différents et facilement interchangeables !
La montre fut finalement livrée à Francisco Martinez Llano (hommes d’affaire espagnol qui fit fortune dans des mines au Chili) cinq ans plus tard, en 1940 avec uniquement le cadran radium. L’homme est mort sept ans plus tard, en 1947 et la montre a « disparu » pendant une soixantaine d’années, alimentant les légendes autour de cette pièce unique…
La Don Pancho a été entièrement restaurée pendant de longs mois dans les règles de l’art par les artisons de la manufacture genevoise.
Cette Vacheron Constantin à répétition minute avec calendrier rétrograde de 1940 est estimée entre 400.000 et 800.000 francs suisses.
Autre point : elle devait être livrée avec deux cadrans, un en émail noir avec chiffres de type Breguet et l’autre avec des chiffres en radium, avec à chaque fois, douze chiffres. Dernier point, rare pour l’époque, la montre devait pouvoir se porter sur six bracelets différents et facilement interchangeables !
La montre fut finalement livrée à Francisco Martinez Llano (hommes d’affaire espagnol qui fit fortune dans des mines au Chili) cinq ans plus tard, en 1940 avec uniquement le cadran radium. L’homme est mort sept ans plus tard, en 1947 et la montre a « disparu » pendant une soixantaine d’années, alimentant les légendes autour de cette pièce unique…
La Don Pancho a été entièrement restaurée pendant de longs mois dans les règles de l’art par les artisons de la manufacture genevoise.
Cette Vacheron Constantin à répétition minute avec calendrier rétrograde de 1940 est estimée entre 400.000 et 800.000 francs suisses.