Mécène de l’Opéra national de Paris depuis 2007, Vacheron Constantin s’est associée à cette soirée organisée sous l’égide de l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP). Après les représentations des ballets Le Palais de Cristal et Daphnis & Chloé, Juan-Carlos Torres, Directeur Général de Vacheron Constantin, a réaffirmé l’attachement de la manufacture au monde des arts et de la culture. Et en particulier à celui de la danse puisque, outre son soutien à l’Opéra national de Paris, Vacheron Constantin est également partenaire du New York City Ballet, de la Royal Ballet School de Londres et de Ballet du Grand Théâtre de Genève.
En apportant son soutien aux institutions culturelles les plus prestigieuses, Vacheron Constantin inscrit son action dans la contemporanéité de savoir-faire transmis depuis des siècles. A l’image de ceux que la manufacture perpétue depuis sa création en 1755.
Transmission et excellence, tels furent les fils rouge de cette soirée placée sous le double signe du mouvement et de l’élégance. « On peut bien sûr établir de multiples correspondances entre nos deux univers : la gestuelle précise, les mouvements mille fois répétés pour faire émerger de fascinantes chorégraphies, l’œuvre collective, le travail du temps et de l’espace – ces concepts qui demeurent, pour vous représentants de la danse comme pour nous horlogers, une inépuisable matière première. Toutes ces correspondances entre ces deux mondes ne sauraient faire oublier l’essentiel – cet invisible qui surpasse tout : l’émotion. Cette émotion qui, bien au-delà de la technique, nous touche et nous emporte littéralement et rend au final la création profondément humaine » a indiqué à cette occasion Juan Carlos Torres.
Après les deux ballets de George Balanchine et de Benjamin Millepied, et pour clore cette soirée exceptionnelle, les quelque 400 convives ont eu droit à une première. Le repas de gala s’est effectivement tenu sur le plateau de l’Opéra Bastille. Du jamais vu. Une première dans l’histoire de l’Opéra national de Paris.
Au cours de la soirée, Vacheron Constantin a présenté les trois nouvelles pièces uniques de la collection Métiers d’Art Hommage à l’Art de la Danse. Ces créations issues des ateliers de la manufacture revisitent la technique ancestrale de l’émail grisaille Grand Feu pour mettre en lumière l’art du ballet classique en réinterprétant les œuvres d’Edgar Degas.
En apportant son soutien aux institutions culturelles les plus prestigieuses, Vacheron Constantin inscrit son action dans la contemporanéité de savoir-faire transmis depuis des siècles. A l’image de ceux que la manufacture perpétue depuis sa création en 1755.
Transmission et excellence, tels furent les fils rouge de cette soirée placée sous le double signe du mouvement et de l’élégance. « On peut bien sûr établir de multiples correspondances entre nos deux univers : la gestuelle précise, les mouvements mille fois répétés pour faire émerger de fascinantes chorégraphies, l’œuvre collective, le travail du temps et de l’espace – ces concepts qui demeurent, pour vous représentants de la danse comme pour nous horlogers, une inépuisable matière première. Toutes ces correspondances entre ces deux mondes ne sauraient faire oublier l’essentiel – cet invisible qui surpasse tout : l’émotion. Cette émotion qui, bien au-delà de la technique, nous touche et nous emporte littéralement et rend au final la création profondément humaine » a indiqué à cette occasion Juan Carlos Torres.
Après les deux ballets de George Balanchine et de Benjamin Millepied, et pour clore cette soirée exceptionnelle, les quelque 400 convives ont eu droit à une première. Le repas de gala s’est effectivement tenu sur le plateau de l’Opéra Bastille. Du jamais vu. Une première dans l’histoire de l’Opéra national de Paris.
Au cours de la soirée, Vacheron Constantin a présenté les trois nouvelles pièces uniques de la collection Métiers d’Art Hommage à l’Art de la Danse. Ces créations issues des ateliers de la manufacture revisitent la technique ancestrale de l’émail grisaille Grand Feu pour mettre en lumière l’art du ballet classique en réinterprétant les œuvres d’Edgar Degas.