Vulcain était à la peine ces derniers temps. Et paradoxalement, cette situation délicate était plutôt due à des problèmes d’hommes et de gestion plutôt qu’à cause d’un marché horloger en berne. Un comble ! Toujours est-il que cela faisait des mois que la marque était à vendre. Plusieurs entreprises étaient intéressées et sur les rangs, mais les tractations n’en finissaient pas de finir…
Aujourd’hui, c’est chose faite. Le Cricket change de main. Tant mieux. Maintenant les choses sont claires et la marque (à fort potentiel) va pouvoir aller de l’avant. Elle le mérite et elle en a les moyens. Son calibre réveil est efficace, ses prix « honnêtes » et son positionnement horloger n’a pratiquement pas de concurrents. Certes, on ne vend pas des montres-réveil tous les jours, mais c’est bel et bien cette spécificité et le son unique de ce calibre qui les rendent si séduisantes. Une Vulcain, c’est une montre à part. Avec une très forte identité.
Dès ses débuts en 1858, l’atelier horloger fondé par les frères Ditisheim -qui donneront naissance à la marque Vulcain- se distingue par ses garde-temps à complications primés lors de plusieurs Expositions universelles. Mais sa notoriété internationale viendra bien évidemment du Cricket, une montre-réveil mécanique, la première du genre, lancée en 1947. Le Cricket va connaître dès lors un très grand succès cet on le retrouvera au poignet de plusieurs présidents américains : d’Eisenhower à Truman, Nixon et Johnson.
Le nouveau propriétaire (le groupe luxembourgeois qui possède également Anonimo) « entend bien redonner progressivement à la marque son lustre d’antan et affirmer la pérennité d’une tranche passionnante de l’histoire horlogère des montagnes neuchâteloises » indique le communiqué de presse. C’est tout ce qu’on lui souhaite. Nous espérons tous ré-entendre le Cricket vibrer de belle manière dans les semaines à venir.
Aujourd’hui, c’est chose faite. Le Cricket change de main. Tant mieux. Maintenant les choses sont claires et la marque (à fort potentiel) va pouvoir aller de l’avant. Elle le mérite et elle en a les moyens. Son calibre réveil est efficace, ses prix « honnêtes » et son positionnement horloger n’a pratiquement pas de concurrents. Certes, on ne vend pas des montres-réveil tous les jours, mais c’est bel et bien cette spécificité et le son unique de ce calibre qui les rendent si séduisantes. Une Vulcain, c’est une montre à part. Avec une très forte identité.
Dès ses débuts en 1858, l’atelier horloger fondé par les frères Ditisheim -qui donneront naissance à la marque Vulcain- se distingue par ses garde-temps à complications primés lors de plusieurs Expositions universelles. Mais sa notoriété internationale viendra bien évidemment du Cricket, une montre-réveil mécanique, la première du genre, lancée en 1947. Le Cricket va connaître dès lors un très grand succès cet on le retrouvera au poignet de plusieurs présidents américains : d’Eisenhower à Truman, Nixon et Johnson.
Le nouveau propriétaire (le groupe luxembourgeois qui possède également Anonimo) « entend bien redonner progressivement à la marque son lustre d’antan et affirmer la pérennité d’une tranche passionnante de l’histoire horlogère des montagnes neuchâteloises » indique le communiqué de presse. C’est tout ce qu’on lui souhaite. Nous espérons tous ré-entendre le Cricket vibrer de belle manière dans les semaines à venir.