Champéry est un magnifique village de montagne valaisan. Sa rue principale –et unique- est bordée de chalets typiques du Val d’Illiez. Leurs façades sont imposantes et cachent des trésors de décorations montagnardes et modernes, un luxe discret que chérit une clientèle aisée qui préfère l’humilité et la simplicité. Incontestablement, Champéry est une destination où règne modestie, respect et discrétion, ce qui en fait un site préservé, un bijou au pied des Dents du Midi.
La manufacture horlogère Vulcain y rend aujourd’hui hommage avec une série limitée de 23 garde-temps. Leurs boitiers en or rose (42 mm) sont ornés de cadrans entièrement réalisés à la main par des artisans qui maitrisent la tradition séculaire de l’émail champlevé grand feu. Le clocher et la rue principale du village y sont représentés avec une minutie telle, qu’il faut un microscope pour en apprécier tous les détails.
Logé au fond du Val d’Illiez, la population champérolaine, comme les premiers horlogers du Jura, était essentiellement rurale. La vie y était rude mais cette vallée si verte et chatoyante l’été, était fertile et pouvait ainsi nourrir ses habitants. Son charme fut vite découvert par les premiers touristes étrangers qui s’émerveillèrent de la présence majestueuse des Dents du Midi, appréciaient la douceur estivale du village, la fraicheur de la Vièze et la convivialité de ses habitants. En 1855 apparaît pour la première fois le mot « touriste » dans le livre des étrangers, ce qui fait de Champéry un des plus anciens sites touristiques de Suisse.
Trois ans plus tard, en 1858 les frères Ditisheim créaient à la Chaux-de-Fonds leur société qui allait donner naissance à la marque Vulcain et écrire une page de la tradition horlogère suisse. Si les Dents-du-Midi allaient attirer de nombreux touristes, promeneurs ou sportifs, elles suscitèrent aussi, parmi la population locale, des vocations d’alpinistes. La Haute Cime (3257 mètres) fut gravi pour la première fois en 1784 par Jean-Maurice Clément, le vicaire érudit de Champéry.
L’histoire de Vulcain est elle aussi, intimement liée à la montagne. En effet, dès les années 30, les commerciaux de la marque chaux-de-fonnière mettent leurs montres aux poignets de sportifs chevronnés. En 1954 une équipe de 14 alpinistes transalpins dont Walter Bonatti, l’un des plus célèbres alpinistes italiens, partent à la conquête du second plus haut sommet de la planète, le K2 (8620 mètres). Le 31 juillet 1954, Lino Lacedelli et Achille Compagnoni atteignent le sommet avec, à leurs poignets, une montre-réveil Vulcain.
L’histoire de Champéry et de Vulcain se croisent enfin aujourd’hui avec une édition limitée de 23 garde-temps. Ce chiffre a été choisi en l’honneur du clocher dont le début des travaux remonte à… 1723. L’église, représentée sur le cadran, est bien l’âme du village, le lieu où se rassemble ses habitants et les touristes pour prier ensemble et célébrer les différents passages dans la vie des paroissiens. La sonnerie du calibre Vulcain Cricket rythme, un peu comme un clocher, le temps qui passe et nous rappelle chaque jour à nos obligations. Il était le support idéal à cette célébration.
La manufacture horlogère Vulcain y rend aujourd’hui hommage avec une série limitée de 23 garde-temps. Leurs boitiers en or rose (42 mm) sont ornés de cadrans entièrement réalisés à la main par des artisans qui maitrisent la tradition séculaire de l’émail champlevé grand feu. Le clocher et la rue principale du village y sont représentés avec une minutie telle, qu’il faut un microscope pour en apprécier tous les détails.
Logé au fond du Val d’Illiez, la population champérolaine, comme les premiers horlogers du Jura, était essentiellement rurale. La vie y était rude mais cette vallée si verte et chatoyante l’été, était fertile et pouvait ainsi nourrir ses habitants. Son charme fut vite découvert par les premiers touristes étrangers qui s’émerveillèrent de la présence majestueuse des Dents du Midi, appréciaient la douceur estivale du village, la fraicheur de la Vièze et la convivialité de ses habitants. En 1855 apparaît pour la première fois le mot « touriste » dans le livre des étrangers, ce qui fait de Champéry un des plus anciens sites touristiques de Suisse.
Trois ans plus tard, en 1858 les frères Ditisheim créaient à la Chaux-de-Fonds leur société qui allait donner naissance à la marque Vulcain et écrire une page de la tradition horlogère suisse. Si les Dents-du-Midi allaient attirer de nombreux touristes, promeneurs ou sportifs, elles suscitèrent aussi, parmi la population locale, des vocations d’alpinistes. La Haute Cime (3257 mètres) fut gravi pour la première fois en 1784 par Jean-Maurice Clément, le vicaire érudit de Champéry.
L’histoire de Vulcain est elle aussi, intimement liée à la montagne. En effet, dès les années 30, les commerciaux de la marque chaux-de-fonnière mettent leurs montres aux poignets de sportifs chevronnés. En 1954 une équipe de 14 alpinistes transalpins dont Walter Bonatti, l’un des plus célèbres alpinistes italiens, partent à la conquête du second plus haut sommet de la planète, le K2 (8620 mètres). Le 31 juillet 1954, Lino Lacedelli et Achille Compagnoni atteignent le sommet avec, à leurs poignets, une montre-réveil Vulcain.
L’histoire de Champéry et de Vulcain se croisent enfin aujourd’hui avec une édition limitée de 23 garde-temps. Ce chiffre a été choisi en l’honneur du clocher dont le début des travaux remonte à… 1723. L’église, représentée sur le cadran, est bien l’âme du village, le lieu où se rassemble ses habitants et les touristes pour prier ensemble et célébrer les différents passages dans la vie des paroissiens. La sonnerie du calibre Vulcain Cricket rythme, un peu comme un clocher, le temps qui passe et nous rappelle chaque jour à nos obligations. Il était le support idéal à cette célébration.
Email champlevé Grand feu
Parmi les différentes techniques utilisées en émaillage, pour ce thème il a été choisi celle de l’émail champlevé grand feu, c’est le parfait mariage de l’art de la gravure et des artisans émailleurs. Elle consiste à créer des logements dans la matière de base sur différents niveau de profondeur, cela a pour effet d’obtenir une grande variété de couleur par le jeu de transparence des émaux.
L’artisan dépose ensuite doucement l’émail dans chaque alvéole à l’aide d’une plume d’oie ou d’un fin pinceau, cette opération à de multiples reprises afin d’obtenir un rendu optimal dans les dégradés chromatiques. Ces couches successives d’émail sont recouvertes d’un émail transparent que l’on appelle fondant.
Vient ensuite l’étape du surfaçage qui permet, à l’aide d’une lime diamantée, d’aplanir et lisser l’émail et découvrir l’ensemble de la matière qui constitue les parois des alvéoles d’émail ainsi que les parties plus importantes à graver.
Une fois cette opération terminée le graveur reprend l’ensemble des parties métalliques avec un burin afin de redonner vie et éclat à celles-ci, cette opération s’avère très délicate car certaines parois de matière n’ont que 2/10 mm de largeur, l’émail quant à lui ne supportant aucun effort peu s’égriser à tout moment réduisant l’ensemble du travail à néant. Chaque cadran exige plus d’une semaine de travail entre le gravage de la plaque de base et de la reprise après émail ainsi qu’un minimum de quinze passages au four chauffé à une température d’environ 800 degrés Celsius.
L’artisan dépose ensuite doucement l’émail dans chaque alvéole à l’aide d’une plume d’oie ou d’un fin pinceau, cette opération à de multiples reprises afin d’obtenir un rendu optimal dans les dégradés chromatiques. Ces couches successives d’émail sont recouvertes d’un émail transparent que l’on appelle fondant.
Vient ensuite l’étape du surfaçage qui permet, à l’aide d’une lime diamantée, d’aplanir et lisser l’émail et découvrir l’ensemble de la matière qui constitue les parois des alvéoles d’émail ainsi que les parties plus importantes à graver.
Une fois cette opération terminée le graveur reprend l’ensemble des parties métalliques avec un burin afin de redonner vie et éclat à celles-ci, cette opération s’avère très délicate car certaines parois de matière n’ont que 2/10 mm de largeur, l’émail quant à lui ne supportant aucun effort peu s’égriser à tout moment réduisant l’ensemble du travail à néant. Chaque cadran exige plus d’une semaine de travail entre le gravage de la plaque de base et de la reprise après émail ainsi qu’un minimum de quinze passages au four chauffé à une température d’environ 800 degrés Celsius.
Spécificités techniques de la montre Vulcain Un été à Champéry
Boîtier or rose 5N 18K
Fond plein gravé à la main
Diamètre : 42,00 mm
Hauteur : 14,60 mm
Glace : saphir bombé traité antireflet
Cadran : émail champlevé
Etanchéité : 50 mètres / 5 ATM
Calibre Vulcain Cricket automatique V-20
Mouvement: 12 lignes mouvement mécanique réveil à remontage automatique unidirectionnel, roulements à billes en céramique, 31 pierres, 229 composants, double barillet, équipé du système Exactomatic, angle de levée 48°
Décoration : traitement rhodié, côtes de Genève, vis bleuies
Fréquence : 18’000 alternances / heure
Réserve de marche : 42 heures
Durée du réveil : env. 20 secondes
Fonctions : heure, minute, seconde au centre, réveil
Bracelet : alligator de Louisiane noir
Boucle ardillon or rose 5N 18K
Réf : 200550.339L
Edition limitée de 23 pièces
Fond plein gravé à la main
Diamètre : 42,00 mm
Hauteur : 14,60 mm
Glace : saphir bombé traité antireflet
Cadran : émail champlevé
Etanchéité : 50 mètres / 5 ATM
Calibre Vulcain Cricket automatique V-20
Mouvement: 12 lignes mouvement mécanique réveil à remontage automatique unidirectionnel, roulements à billes en céramique, 31 pierres, 229 composants, double barillet, équipé du système Exactomatic, angle de levée 48°
Décoration : traitement rhodié, côtes de Genève, vis bleuies
Fréquence : 18’000 alternances / heure
Réserve de marche : 42 heures
Durée du réveil : env. 20 secondes
Fonctions : heure, minute, seconde au centre, réveil
Bracelet : alligator de Louisiane noir
Boucle ardillon or rose 5N 18K
Réf : 200550.339L
Edition limitée de 23 pièces