Fondée en 2018 par Marc Ambrus et Guillaume Kuntz, la société a tout d’abord bâti sa réputation dans l’horlogerie en tant que plateforme d’achat/revente de montres d’occasion.
Faisant face au besoin d’améliorer la transparence et la sécurité des transactions, elle a ensuite développé une technologie d'authentification qui se veut « infalsifiable » et de suivi des garde-temps, neufs ou de seconde main, en créant Watch Certificate.
Ce double numérique (ce n'est pas le seul sur le marché, il existe également d'autres solutions du même genre) ancré dans la blockchain est une fiche qui s’annonce « exhaustive et illustrée ».
Il s’appuie sur les compétences complémentaires d’horlogers, qui inspectent et photographient les montres, puis d’experts qui valident la valeur de marché. Il constitue un titre de propriété infalsifiable et cessible, et serait reconnu par les assurances.
Précisons que de nombreux services viennent compléter ce Watch Certificate, comme l’assistance en cas de vol auprès des autorités et des assurances et le blacklisting des montres volées auprès des principales plateformes de vente.
« Nous avons fait de Watch Certificate à la fois le passeport, le carnet d’entretien de chaque montre, rendant service aussi bien aux propriétaires, aux manufactures, aux centres d’entretien qu’aux différents canaux de ventes » commente Marc Ambrus, président de Watch Certificate.
Dans le cadre de cette levée de fonds, la startup parisienne entend accélérer son développement. « Notre objectif est de démultiplier notre réseau d’horlogers partenaires en France et à l’international, mais également de finaliser notre offre en matière de NFT et de monde virtuel. Face à l’intérêt du marché, nous travaillons également sur la faculté de dupliquer notre technologie à d’autres secteurs du luxe afin de répondre aux attentes numériques de demain » poursuit Marc Ambrus.
Faisant face au besoin d’améliorer la transparence et la sécurité des transactions, elle a ensuite développé une technologie d'authentification qui se veut « infalsifiable » et de suivi des garde-temps, neufs ou de seconde main, en créant Watch Certificate.
Ce double numérique (ce n'est pas le seul sur le marché, il existe également d'autres solutions du même genre) ancré dans la blockchain est une fiche qui s’annonce « exhaustive et illustrée ».
Il s’appuie sur les compétences complémentaires d’horlogers, qui inspectent et photographient les montres, puis d’experts qui valident la valeur de marché. Il constitue un titre de propriété infalsifiable et cessible, et serait reconnu par les assurances.
Précisons que de nombreux services viennent compléter ce Watch Certificate, comme l’assistance en cas de vol auprès des autorités et des assurances et le blacklisting des montres volées auprès des principales plateformes de vente.
« Nous avons fait de Watch Certificate à la fois le passeport, le carnet d’entretien de chaque montre, rendant service aussi bien aux propriétaires, aux manufactures, aux centres d’entretien qu’aux différents canaux de ventes » commente Marc Ambrus, président de Watch Certificate.
Dans le cadre de cette levée de fonds, la startup parisienne entend accélérer son développement. « Notre objectif est de démultiplier notre réseau d’horlogers partenaires en France et à l’international, mais également de finaliser notre offre en matière de NFT et de monde virtuel. Face à l’intérêt du marché, nous travaillons également sur la faculté de dupliquer notre technologie à d’autres secteurs du luxe afin de répondre aux attentes numériques de demain » poursuit Marc Ambrus.