L'histoire de cette nouvelle plateforme est liée à ses créateurs : Anthony Marquié et Grégoire Rossier, auteurs de la fameuse série de livres horlogers « Only » dédiée aux montres de collection. Passionnés par l'histoire de l'horlogerie, les deux amis ont multiplié les ouvrages et sont aujourd'hui reconnus dans cet univers comme des experts incontournables.
Aujourd'hui, ils poursuivent cette aventure démarrée en 2014, en lançant ce nouveau projet : la création d'un écosystème horloger baptisé Watchfid, « qui vise à apporter plus de cohérence et d'outils sur un marché de la collection de montres hétérogène et peu structuré » assure le communiqué de presse.
En plus de retrouver sur cette plate-forme les guides « Only » (forcément), les collectionneurs et amateurs d'horlogerie peuvent accéder à des services de conseil et d'expertises détaillées. Point important : Watchfid s’est rapproché de la société GoodsID (qui travaille déjà avec Fugue), afin de proposer une certification de type « blockchain » (grosse tendance dans l’horlogerie).
« Dans l'univers des montres vintage, l'émission d'un certificat au « temps 0 » est délicate, car cela nécessite de vérifier l'authenticité de la montre, afin de ne pas graver à jamais des informations erronées. Une étape qui nécessite le recours à des experts, qui serviront de tiers de confiance dans le cadre de l'émission du certificat. C'est là que Watchfid intervient en s'appuyant sur la technologie développée par GoodsID », note Anthony Marquié, PDG de Watchfid.
Les certificats d'authentification édités dans la blockchain intéressent de plus en plus les marques de luxe, même si peu y ont encore recours (on compte toutefois Ulysse Nardin et Vacheron Constantin).
C'est encore plus vrai sur le marché de la seconde main (il existe également WatchTradee) et notamment dans celui de l'horlogerie, alors même qu'il offre des avantages évidents au monde du luxe.
Dans la pratique, cette entreprise a développé une solution technique permettant d'utiliser la blockchain pour enregistrer des certificats d'authentification dynamiques de biens de valeurs. En plus d'être uniques, infalsifiables, non duplicables et ultra-sécurisés, ils peuvent être enrichis au fil du temps. Principal intérêt : s'émanciper du certificat papier qui peut être facilement falsifié ou perdu. Mais ses atouts ne s'arrêtent pas là !
Ces derniers, établis directement par les experts de la plate-forme ou par un réseau de professionnels agréés, garantissent la conformité des principaux composants de la montre, mais aussi leur état.
Ils peuvent également prendre en compte d'autres facteurs extérieurs comme, par exemple, l'histoire de la montre, la présence ou l'absence d'accessoires spécifiques, voire la publication du modèle dans un livre de collection. Une transparence totale que le collectionneur ou l'acheteur retrouve donc dans le certificat digital.
La certification GoodsID préserve l'anonymat du propriétaire de la montre, puisqu'aucune information nominative n'est intégrée dans le certificat. Lui seul peut accéder à ce dernier depuis sur son espace personnel et donc le transmettre en cas de vente de son bien.
Une fois transféré à son nouveau propriétaire, le précédent n'y a plus accès. Et, si un voleur tente de revendre la montre, il sera dans l'incapacité de prouver qu'il en est le propriétaire, mais il ne pourra pas non plus prouver l'origine ou l'authenticité du bien. Par ailleurs, dans le certificat digital, l'indication que la montre a été volée empêchera toute transaction sur le marché officiel.
Aujourd'hui, ils poursuivent cette aventure démarrée en 2014, en lançant ce nouveau projet : la création d'un écosystème horloger baptisé Watchfid, « qui vise à apporter plus de cohérence et d'outils sur un marché de la collection de montres hétérogène et peu structuré » assure le communiqué de presse.
En plus de retrouver sur cette plate-forme les guides « Only » (forcément), les collectionneurs et amateurs d'horlogerie peuvent accéder à des services de conseil et d'expertises détaillées. Point important : Watchfid s’est rapproché de la société GoodsID (qui travaille déjà avec Fugue), afin de proposer une certification de type « blockchain » (grosse tendance dans l’horlogerie).
« Dans l'univers des montres vintage, l'émission d'un certificat au « temps 0 » est délicate, car cela nécessite de vérifier l'authenticité de la montre, afin de ne pas graver à jamais des informations erronées. Une étape qui nécessite le recours à des experts, qui serviront de tiers de confiance dans le cadre de l'émission du certificat. C'est là que Watchfid intervient en s'appuyant sur la technologie développée par GoodsID », note Anthony Marquié, PDG de Watchfid.
Les certificats d'authentification édités dans la blockchain intéressent de plus en plus les marques de luxe, même si peu y ont encore recours (on compte toutefois Ulysse Nardin et Vacheron Constantin).
C'est encore plus vrai sur le marché de la seconde main (il existe également WatchTradee) et notamment dans celui de l'horlogerie, alors même qu'il offre des avantages évidents au monde du luxe.
Dans la pratique, cette entreprise a développé une solution technique permettant d'utiliser la blockchain pour enregistrer des certificats d'authentification dynamiques de biens de valeurs. En plus d'être uniques, infalsifiables, non duplicables et ultra-sécurisés, ils peuvent être enrichis au fil du temps. Principal intérêt : s'émanciper du certificat papier qui peut être facilement falsifié ou perdu. Mais ses atouts ne s'arrêtent pas là !
Ces derniers, établis directement par les experts de la plate-forme ou par un réseau de professionnels agréés, garantissent la conformité des principaux composants de la montre, mais aussi leur état.
Ils peuvent également prendre en compte d'autres facteurs extérieurs comme, par exemple, l'histoire de la montre, la présence ou l'absence d'accessoires spécifiques, voire la publication du modèle dans un livre de collection. Une transparence totale que le collectionneur ou l'acheteur retrouve donc dans le certificat digital.
La certification GoodsID préserve l'anonymat du propriétaire de la montre, puisqu'aucune information nominative n'est intégrée dans le certificat. Lui seul peut accéder à ce dernier depuis sur son espace personnel et donc le transmettre en cas de vente de son bien.
Une fois transféré à son nouveau propriétaire, le précédent n'y a plus accès. Et, si un voleur tente de revendre la montre, il sera dans l'incapacité de prouver qu'il en est le propriétaire, mais il ne pourra pas non plus prouver l'origine ou l'authenticité du bien. Par ailleurs, dans le certificat digital, l'indication que la montre a été volée empêchera toute transaction sur le marché officiel.