William Baume Collection : quatre montres d'exception en hommage à 179 ans de savoir-faire horloger


Baume et Mercier vient de présenter une série de quatre montres qui intègrent la collection William Baume : un chronographe Monopoussoir, un Tourbillon volant, une montre ultraplate et une Seconde rétrograde… Une série de quatre pièces d’exception réalisées en séries limitées et qui évoquent la grande tradition horlogères de l’une des dix plus anciennes marques de montres suisses.


Héritière du riche patrimoine horloger de Baume & Mercier, cette collection baptisée William Baume rend hommage au savoir-faire traditionnel et à l'esprit d'innovation dont… William Baume est le dépositaire.

Cette nouvelle collection de quatre montres se compose uniquement de pièces élaborées dans la plus pure tradition de la Haute Horlogerie, produites en série limitée et numérotée et animées par des mouvements à complication manufacturés pour Baume & Mercier.

Ces quatre nouveaux modèles visent à renouer avec les origines de la marque en revisitant des complications intimement liées à son patrimoine historique. De fait, comme le souligne Baume et Mercier dans son communiqué, « chacune de ces pièces a une histoire et, pour la plupart, s’inspirent de modèles anciens emblématiques de Baume & Mercier. Composée de trois références l’an dernier, la collection William Baume passe cette année à quatre modèles, s’enrichissant d’un tout nouveau Chronographe Monopoussoir ». Détails modèle par modèle…

William A. Baume (1885-1956)

William Baume est le maître d'œuvre moderne de la marque Baume & Mercier.

Horloger au talent exceptionnel, il est l'héritier d'une saga familiale commencée en 1830 par son grand-père, Louis Victor Baume, fondateur avec son frère de la manufacture horlogère « Frères Baume » aux Bois, dans le Jura suisse.

Celle-ci s'illustrera dans le monde entier, remportant de nombreuses distinctions entre 1885 et 1910.

Elle obtiendra notamment les notes les plus élevées au concours de chronométrie de l'Observatoire de Kew en Angleterre, compétition la plus prestigieuse de l'époque, et plusieurs médailles d'or aux expositions universelles de Paris, Londres, Philadelphie ou Genève.

En 1910, William Baume succède à son père à la tête de l'entreprise familiale.

Il quitte les Bois en 1918 pour s'installer à Genève et, s'alliant avec Paul Mercier, crée en 1920 la marque « Baume & Mercier, Genève ».

Très attaché à la renommée de ses ancêtres, fidèle à leur devise de « ne fabriquer que des montres de la plus haute qualité », William Baume sera l'artisan de l'obtention en 1921 par Baume & Mercier du prestigieux poinçon de Genève, plus haute distinction de l'industrie horlogère suisse.

William Baume Ultraplate

Les montres ultraplates ont toujours été synonymes d'élégance supérieure et de sophistication technique extrême.

Dès 1920, Baume & Mercier s'est spécialisée dans les montres extraplates et, en 1965, la marque crée l'événement avec la montre automatique à calendrier la plus plate de son époque.

Aujourd’hui Baume & Mercier remet au goût du jour son savoir-faire en la matière avec ce nouveau modèle William Baume Ultraplat. Il se distingue du modèle précédent par trois nouveautés.

Le mouvement WB-UT002 manufacturé par Valfleurier pour Baume & Mercier se veut plus performant : sa réserve de marche passe à 60 heures contre 40 heures pour la version précédente. En outre, la montre gagne 0,4mm en épaisseur tout en restant ultraplate avec un profil de 6,2mm.

Le fond est désormais ouvert sur le mouvement mécanique à remontage manuel, admirablement décoré « Côtes de Genève » sur la platine et les ponts et agrémenté de vis en acier bleui.

Cette nouvelle édition conserve en revanche son cadran argenté avec un décor guilloché « Vieux Panier », ses élégantes aiguilles de forme « lance » et son bracelet en alligator marron foncé cousu main. Son boîtier en or rouge 18 carats est de 41 mm. Edition limitée et numérotée à 179 exemplaires.

William Baume Chronographe Monopoussoir

Complication aussi utile qu’esthétique, le chronographe monopoussoir permet d’enclencher, de stopper et de remettre à zéro la mesure des temps courts par la pression sur un seul poussoir.

Il permet ainsi d’alléger l’esthétique de la montre sur le côté du boîtier en intégrant en un même élément la couronne et les deux poussoirs, contre trois éléments distincts sur les chronographes usuels.

Nouveau venu dans la collection William Baume, ce modèle tire sa légitimité d’une montre-bracelet avec fonction chronographe monopoussoir éditée par Baume & Mercier en 1938. En phase avec le design contemporain de la ligne William Baume, cette nouveauté reprend sur son cadran argenté les deux compteurs horizontaux du modèle original : la petite seconde du mouvement à 9h et le compteur des minutes du chronographe à 3h.

La lecture des secondes du chronographe se fait comme d’habitude par aiguille centrale. Le cadran argenté est agrémenté d’un décor guilloché « Vieux Panier » et d’une finition « satiné soleil » sur le contour des compteurs et le tour d’heures.

Le mouvement mécanique à remontage manuel (Lajoux-Perret 5000), avec sa platine perlée, ses ponts décorés « Côtes de Genève » et ses vis en acier bleui, peut être admiré par la grande ouverture saphir du fond du boîtier.

Enfin, le boîtier en or rouge 18 carats est de 41 mm de diamètre, sur bracelet en alligator marron foncé cousu main. Edition limitée et numérotée à 20 exemplaires.

William Baume Seconde Rétrograde

La seconde rétrograde divise le temps en deux : sa grande aiguille décompte 30 secondes dans un arc de cercle gradué, puis revient instantanément à son point de départ pour mesurer les 30 secondes suivantes. Inventée à l’origine pour gagner de la place sur le cadran pour l’affichage de nombreuses complications, elle offre en outre une animation esthétique par son ballet fascinant.

Pour cette interprétation rétrograde de la collection William Baume, la petite seconde est mise en valeur par une aiguille de forme « serpentine » dans une section de 30 secondes sur le niveau inférieur du cadran.

Ce modèle offre en outre une fonction Grande Date à 12h, une complication qui permet d’afficher de grands chiffres du quantième par l’utilisation de deux disques séparés pour les dizaines et les unités.

Cette nouvelle édition William Baume Seconde Rétrograde se distingue de la première version par son cadran noir et son bracelet alligator noir cousu main. Son mouvement mécanique à remontage automatique peut être admiré par la grande ouverture saphir du fond du boîtier, laissant apparaître une finition perlée sur la platine et les ponts, le barillet colimaçonné, les vis en acier bleui et la masse ajourée décorée « Côtes de Genève » et frappée de l’emblème Phi de Baume & Mercier. Son boîtier en or rouge 18 carats est de 41 mm de diamètre. Edition limitée et numérotée à 179 exemplaires.

William Baume Tourbillon Volant

Le tourbillon défie la gravité. Complication horlogère parmi les plus prestigieuses et les plus délicates à réaliser, la rotation de sa cage compense les effets de l'attraction terrestre et permet ainsi d’augmenter la précision de la montre.

En 1892 déjà, la maison « Frères Baume » battait le record absolu de précision au concours de chronométrie de l'observatoire de Kew en Angleterre (voir encadré ci-dessous) avec un chronomètre à tourbillon, acclamé comme la montre la plus exacte de son temps.

Aujourd’hui Baume & Mercier revisite cette spécialité par le biais du tourbillon volant. Contrairement au tourbillon classique, qui est maintenu par deux ponts, inférieur et supérieur, le tourbillon volant est fixé uniquement par son axe, laissant entier le spectacle de son tournoiement.

Autre spécificité, le modèle tourbillon de la Collection William Baume est placé à 9h, une position plutôt inhabituelle. Le cadran, guilloché d’un décor « Vieux Panier », est en outre animé par un compteur de petite seconde à 6h. Le mécanisme à remontage manuel, aux ponts décorés « Côtes de Genève », aux vis en acier bleui et à la platine perlée, peut être admiré par une large ouverture saphir au fond du boîtier. Il offre une réserve de marche de 52 heures.

La nouvelle édition du modèle William Baume Tourbillon se distingue de la première édition par son cadran noir et son bracelet alligator noir cousu main. Le boîtier de taille 43 mm se pare d’or rouge 18 carats pour mettre en valeur cette pièce d’exception. Edition limitée et numérotée à 10 exemplaires.

L'Observatoire royal de Kew Teddington, haut-lieu de la précision horlogère

L'Observatoire de Kew Teddington près de Londres est l'un des hauts-lieux de la course à la précision que se livrèrent les fabricants horlogers du monde entier dès la moitié du 19ème siècle.

De 1873 jusqu'à la fin des années 1960, des concours de chronométrie annuels organisés par les observatoires de Kew Teddington (Angleterre), Besançon (France), Genève et Neuchâtel (Suisse) délivraient des bulletins de marche officiels et des prix aux montres les plus précises qui s'y présentaient.

Référence ultime d'exactitude, ces prix ouvraient à leurs vainqueurs les portes du commerce, notamment auprès des gouvernements et des marines royales, parmi les plus importants clients de l'horlogerie au 19ème siècle. Avec la prépondérance de la marine anglaise à cette époque, le concours de Kew Teddington devint rapidement le plus prestigieux et le plus important pour les horlogers du monde entier.

L'heure exacte était en effet un bien précieux et un enjeu majeur pour les grandes puissances dès le milieu du 18ème siècle : embarqués en mer, les chronomètres de marine étaient le seul moyen de déterminer la longitude d'un navire et ainsi, sa position précise en mer. La nation qui posséderait le moyen de garder le temps avec précision obtiendrait la suprématie des mers. Ce fut l'Angleterre qui la première résolut le dilemme longitudinal en 1753, et devint la puissance maritime que l'on sait.

Jusque-là, l'heure précise avait toujours été déterminée par les observatoires astronomiques. Le temps est en effet réglé sur la marche des corps célestes. La révolution de la terre autour du soleil détermine les années, les lunaisons font les mois, le soleil règle les jours ainsi que les heures et les minutes qui les subdivisent.

Les observatoires étaient ainsi les gardiens du temps exact, et conservèrent le statut de temps de référence, sur lequel les horloges étaient réglées. Ils étaient la « source » du temps, où l'on venait littéralement puiser l'exactitude.

Mais cela était impossible pour les navires, qui devaient pouvoir compter sur un temps de référence portable, rôle qu'allaient jouer les chronomètres de marine. Leur mise au point et leur perfectionnement furent encouragés par des drames maritimes majeurs, qui lancèrent la course à la précision horlogère.

Le 8 juillet 1714, le Parlement britannique adopta le « Longitude Act », par lequel il promettait la somme de 20.000 livres à quiconque trouvait une méthode permettant de déterminer la position précise d'un navire à moins d'un demi-degré de longitude. Une somme considérable qui aujourd'hui correspondrait à quelque deux millions d'euros.

C'est John Harrison qui trouva la solution en 1753 : il calcula la longitude précise en utilisant comme principal paramètre dans les mesures des angles au sextant le temps précis au port de départ. Harrison testa sa montre de marine H-4 lors d'un voyage aller-retour à la Jamaïque. Au retour, elle n'affichait que cinq secondes de déviation par rapport à l'heure de référence de l'observatoire, attribuant à Harrison le jackpot du « Longitude Act » –et la suprématie des mers à la Grande-Bretagne.

Le premier concours de chronométrie fut organisé en 1766 par l'Observatoire royal de Greenwich près de Londres, mais ces concours étaient irréguliers. C'est l'observatoire astronomique de Genève qui lança le premier concours annuel régulier de chronométrie en 1816. La sévérité de son règlement, mis au point en 1879 par Emile Plantamour, directeur de l'Observatoire de Genève, était telle qu'il fut adopté sans modification par les Observatoires de Kew en 1884 et de Besançon en 1885, ainsi que son système d'évaluation de la précision par notes, codifié dans son règlement.

La Maison Baume participa au concours de Kew Teddington pour la première fois en 1885, et reçut plusieurs prix. En 1892, elle triompha avec la plus haute note jamais décernée au concours de Kew à l'époque : 91,9 sur 100, un record qui resta imbattu pendant dix ans.

Pour comprendre la signification de cette note, il faut s'intéresser à la manière dont les montres étaient testées lors des concours de chronométrie pour déterminer leur précision. La précision de la marche d'une montre est avant tout conditionnée par la position dans laquelle elle se trouve et la température ambiante. En effet, la force d'attraction terrestre influe sur la dynamique du mécanisme dans différentes positions et la température ambiante, par les effets de dilatation ou de contraction qu'elle produit sur les métaux constituant le mécanisme de la montre, en altère la précision de marche.

Lors des concours de chronométrie, les montres étaient testées durant une quarantaine de jours. Elles étaient mises dans différentes positions pendant plusieurs jours, et les écarts de marche moyens par rapport aux horloges de référence de l'Observatoire étaient mesurés. Les montres étaient également soumises à des températures basses et élevées (glacière et étuve) pendant plusieurs jours, et les écarts de marche moyens enregistrés.

Pour émettre la note de précision de la montre, le total des écarts de marche mesurés au cours des épreuves était ramené à une base 100 (parfois 300 ou 1.000, ce qui rendait les comparaisons entre concours impossibles), ce chiffre correspondant à la précision maximum théorique. Plus la note obtenue par une montre s'approchait de ce maximum théorique (100 pour les concours de Kew), plus la montre affichait une précision parfaite et des écarts de marche minimes par rapport à une horloge d'observatoire parfaitement réglée.

Les règlements ont quelque peu évolué au cours des années, mais selon le règlement de l'Observatoire de Genève entre 1890 et 1852 (dont les autres observatoires, tel celui de Kew, se sont inspirés), les écarts de marche étaient mesurés au cours des épreuves suivantes : position de la montre pendant en haut (5 jours) ; position pendant à droite (5 jours) ; position pendant à gauche (5 jours) ; cadran en haut et à la glacière (6 jours) ; cadran en haut (6 jours) ; cadran en haut et à l'étuve (6 jours) ; cadran en bas (6 jours) ; position pendant en haut (5 jours). Total: 44 jours de tests.

Avec l'avènement des mouvements à quartz à la fin des années 1960, plus de dix fois plus précis que les meilleurs mouvements mécaniques, les concours de chronométrie perdirent leur utilité. Celui de l'Observatoire de Kew fut arrêté en 1965.

Aujourd'hui, le temps de référence est donné par les horloges atomiques, dont la précision atteint le milliardième de seconde. En Suisse, des bulletins de marche certifiant la précision des mouvements de montres sont encore délivrés par le Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (COSC).

Trois questions à… Alexandre Peraldi, directeur du Studio Design de Baume et Mercier

Qu’est ce qui vous a inspiré pour cette collection William Baume ?

Pour cette collection, hommage à notre savoir-faire horloger, nous sommes allés puiser notre inspiration dans notre histoire, en redécouvrant d’anciennes montres de notre Collection Historique.

Cette démarche est fondamentale puisqu’elle nous permet de conserver l’ADN de la marque. La montre monopoussoir de 1938 ou encore notre exceptionnel Tourbillon de 1892 sont autant de réalisations qui illustrent le riche héritage horloger de notre maison, et ce depuis 1830.


Quelles sont les particularités de cette collection ?

Pour cette montre ronde classique, d’esprit historique, nous avons été extrêmement vigilants aux soins apportés aux détails. L’équipe du Studio Design a particulièrement travaillé sur le design des cornes et du cadran. Les cornes ont été comme sculptées pour donner un résultat très contemporain et respectueux de la bienfacture horlogère.

Notre souhait pour le cadran était de trouver une esthétique à la fois chargée d’histoire et révélatrice d’une grande modernité par sa pureté. En outre, le choix des complications a bien évidemment été un élément décisif dans la définition de cette collection qui devait être à la hauteur de l’hommage que nous souhaitions rendre à cette figure emblématique qu’est William Baume pour Baume & Mercier.


Comment êtes-vous parvenu à faire face aux difficultés inhérentes au développement d’une telle collection ?

Grâce aux outils modernes, tels que la CAO, l’imprimante 3D… En effet, grâce à ces outils, nous avons été en mesure de réaliser une collection d’esprit historique avec toutes les capacités techniques d’aujourd’hui. Ces techniques nous ont permis de tester plusieurs pistes créatives avant de pouvoir trouver l’alchimie parfaite.

Spécificités techniques de la collection William Baume

William Baume Ultraplat

Référence : M0A08801

Mouvement :
Manuel (WB-UT 002) - Ultraplat
Diamètre : 27.4 mm
Epaisseur : 2.5mm
Rubis : 19
Réserve de marche: 60 heures
Fréquence : 3Hz
Alternance : 21 600 alternances/heure
Décor “Côtes de Genève” sur la platine et sur les ponts, roues dorées finition « sablé », balancier doré finition « poli », barillet et rochet finition « colimaçonné », vis en acier bleui

Boîtier :
Rond
Taille : 41mm
Epaisseur : 6.2mm
Poids d’or : 33.5g
Boîtier en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », cornes rapportées

Couronne cannelée en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi

Glace saphir anti-reflet double face

Fond en or rouge 18 carats fixé par six vis en or rouge 18 carats, grande ouverture saphir
Cran de glace en or rouge 18 carats finition « poli-satiné » gravé du nom de la collection et du numéro de la pièce

Cadran :
Couleur : argenté
Décor guilloché “Vieux Panier”, finition « satiné soleil » sur la minuterie et la zone des heures
Index rivés en applique en or rouge 18 carats
Aiguilles de forme « lance » en or rouge 18 carats

Bracelet :
Bracelet en alligator marron foncé cousu main, toutes écailles carrées, coutures ton sur ton
Fermoir : Boucle ardillon en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Poids d’or : 5.3g

Etanchéité : 30m
Poids d’or total : 38.8g

Edition numérotée limitée à 179 exemplaires

Prix de vente public conseillé : 9.890 euros

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William Baume Chronographe Monopoussoir

Référence : M0A08802

Mouvement :
Manuel (Lajoux-Perret 5000)
Diamètre : 24.6mm
Epaisseur : 4.2mm
Rubis : 21
Réserve de marche : 42 heures
Fréquence : 3Hz
Alternance : 21 600 alternances/heure
Décor “Côtes de Genève” sur les ponts, platine finition « perlé », commandes du chronographe finition « poli-satiné », roues de la couronne et du rochet finition « colimaçonné », vis en acier bleui

Fonctions :
Chronographe monopoussoir, secondes du chronographe lisibles par aiguille centrale, minutes du chronographe lisibles dans le compteur situé à 3 heures. Secondes du mouvement lisibles dans le compteur situé à 9 heures

Boîtier :
Rond
Taille : 41mm
Epaisseur : 9.6mm
Poids d’or : 53.5g
Boîtier en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », cornes rapportées
Couronne cannelée en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Glace saphir anti-reflet double face
Fond en or rouge 18 carats fixé par six vis en or rouge 18 carats, grande ouverture saphir
Cran de glace en or rouge 18 carats finition « poli-satiné » gravé du nom de la collection et du numéro de la pièce

Cadran :
Couleur : argenté
Décor guilloché “Vieux Panier”, finition « satiné soleil » sur la minuterie et la zone des heures
Index rivés en applique en or rouge 18 carats
Aiguilles de forme « lance » en or rouge 18 carats, aiguilles des secondes et des compteurs du chronographe de forme « œil-de-perdrix »

Bracelet :
Bracelet en alligator marron foncé cousu main, toutes écailles carrées, coutures ton sur ton
Fermoir : Boucle ardillon en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Poids d’or : 5.3g

Etanchéité : 30m

Poids d’or total : 58.8g

Edition numérotée limitée à 20 exemplaires

Prix de vente public conseillé : 23.200 euros

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William Baume Seconde Rétrograde

Référence : M0A08840

Mouvement :
Automatique (Lajoux-Perret 3533)
Diamètre : 26mm
Epaisseur : 5.1mm
Rubis : 29
Réserve de marche : 42 heures
Fréquence : 4 Hz
Alternance : 28 800 alternances/heure
Platine et ponts finition « perlé », barillet finition « colimaçonné », décor “Côtes de Genève” sur la masse ajourée, vis en acier bleui

Fonctions : Seconde rétrograde à 6 heures et grande date à 12 heures

Boîtier :
Rond
Taille : 41mm
Epaisseur : 9.6mm
Poids d’or : 48.5g
Boîtier en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », cornes rapportées
Couronne cannelée en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Glace saphir anti-reflet double face
Fond en or rouge 18 carats fixé par six vis en or rouge 18 carats, grande ouverture saphir
Cran de glace en or rouge 18 carats finition « poli-satiné » gravé du nom de la collection et du numéro de la pièce

Cadran :
Couleur : noir
Décor guilloché “Vieux Panier”, finition « satiné soleil » sur la minuterie et la zone des heures
Index rivés en applique en or rouge 18 carats
Aiguilles de forme « lance » en or rouge 18 carats, aiguille de la seconde rétrograde de forme « serpentine »

Bracelet :
Bracelet en alligator noir cousu main, toutes écailles carrées, coutures ton sur ton
Fermoir : Boucle ardillon en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Poids d’or : 5.3g

Etanchéité : 30m
Poids d’or total : 53.8g

Edition numérotée limitée à 179 exemplaires

Prix de vente public conseillé : 9.980 euros

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William Baume Tourbillon Volant

Référence : M0A08841

Mouvement :
Manuel (WB-T 002)
Diamètre : 38.5mm
Epaisseur: 4.7mm
Rubis : 21
Réserve de marche : 52 heures
Fréquence : 4 Hz
Alternances : 28 800 alternances/heure
Vitesse : 1 tour de cage/minute
Décor “Côtes de Genève” sur le pont de rouage & barillet et sur celui du balancier, platine finition « perlé », roues dorées finition « sablé », barillet et rochet finition « colimaçonné », vis en acier bleui

Fonctions : Tourbillon volant à 9 heures et petite seconde à 6 heures

Boîtier :
Rond
Taille : 43mm
Epaisseur : 9.6mm
Poids d’or : 52.5g
Boîtier en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », cornes rapportées
Couronne cannelée en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Glace saphir anti-reflet double face
Fond en or rouge 18 carats fixé par sept vis en or rouge 18 carats, grande ouverture saphir, fond gravé du nom de la collection et du numéro de la pièce

Cadran :
Couleur : noir
Décor guilloché “Vieux Panier”, finition « satiné soleil » sur la minuterie et la zone des heures, cercle de tourbillon rapporté en or rouge 18 carats
Index rivés en applique en or rouge 18 carats Aiguilles de forme « lance » en or rouge 18 carats

Bracelet :
Bracelet en alligator noir cousu main, toutes écailles carrées, coutures ton sur ton
Fermoir : Boucle ardillon en or rouge 18 carats finition « poli-satiné », décorée du symbole Phi
Poids d’or : 5.5g

Etanchéité : 30m
Poids d’or total: 58g

Edition numérotée limitée à 10 exemplaires

Prix de vente public conseillé : 54.200 euros (non disponible en France)

Montres-de-luxe.com | Publié le 16 Septembre 2009 | Lu 12375 fois

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