On le sait, la « made in France » et la relocalisation des industries dans l’Hexagone ont le vent en poupe. En l’occurrence, l’industrie horlogère française, forte d’un passé riche en « success stories » s’avère tout à fait légitime.
A ce titre, fin 2021, Pequignet introduisait son « Calibre Initial », un mouvement trois aiguilles doté de 65h de réserve de marche. De son côté l’horloger français Humbert-Droz assemble de A à Z un mouvement suisse, le G100, dans la capitale horlogère française Besançon. Aujourd’hui, c’est au tour de Yema de présenter son propre calibre.
« Cette évolution significative a notamment nécessité des investissements conséquents en matière de R&D et nouveaux équipements ainsi que l’agrandissement et la modernisation de nos ateliers et lignes de production » assure la marque dans son communiqué.
Et d’ajouter : « il y a maintenant deux ans, nous nous sommes entourés de l’expertise d’Olivier Mory, horloger de renom pour nous accompagner sur l’amélioration et l’innovation de nos mouvements horlogers et sur la relocalisation en interne de la fabrication de certains de nos composants ».
En parallèle de ces différents évolutions, un projet commun s’est développé issu des ambitions horlogères de Yema d’un côté et de l’expertise d’Olivier Mory de l’autre. L’idée ? Concevoir un calibre micro-rotor dont les composants seraient fabriqués directement par Yema dans ses ateliers de Morteau à l'exception de la partie réglante produite par les Suisses.
Ce nouveau calibre micro-rotor, baptisé Calibre Manufacture Morteau CMM.20 sera la première pierre à l’édifice de Yema sur sa conquête de savoir-faire et son souhait ultime de proposer une gamme de Calibres Manufacture. Affaire à suivre.
A ce titre, fin 2021, Pequignet introduisait son « Calibre Initial », un mouvement trois aiguilles doté de 65h de réserve de marche. De son côté l’horloger français Humbert-Droz assemble de A à Z un mouvement suisse, le G100, dans la capitale horlogère française Besançon. Aujourd’hui, c’est au tour de Yema de présenter son propre calibre.
« Cette évolution significative a notamment nécessité des investissements conséquents en matière de R&D et nouveaux équipements ainsi que l’agrandissement et la modernisation de nos ateliers et lignes de production » assure la marque dans son communiqué.
Et d’ajouter : « il y a maintenant deux ans, nous nous sommes entourés de l’expertise d’Olivier Mory, horloger de renom pour nous accompagner sur l’amélioration et l’innovation de nos mouvements horlogers et sur la relocalisation en interne de la fabrication de certains de nos composants ».
En parallèle de ces différents évolutions, un projet commun s’est développé issu des ambitions horlogères de Yema d’un côté et de l’expertise d’Olivier Mory de l’autre. L’idée ? Concevoir un calibre micro-rotor dont les composants seraient fabriqués directement par Yema dans ses ateliers de Morteau à l'exception de la partie réglante produite par les Suisses.
Ce nouveau calibre micro-rotor, baptisé Calibre Manufacture Morteau CMM.20 sera la première pierre à l’édifice de Yema sur sa conquête de savoir-faire et son souhait ultime de proposer une gamme de Calibres Manufacture. Affaire à suivre.
