Cette pièce présentée au salon mondial de l’horlogerie Baselworld 2009 puise ses racines au cœur des techniques horlogères anciennes. Animée par un calibre à remontage automatique, elle devrait séduire les adeptes d’un porter résolument classique !
Plus concrètement, la Diderot arbore, à 9 heures, un indicateur jour/nuit - 12h/24h. Renforcé d’une aiguille, le compteur dévoile un disque tournant décoré où apparaissent, au fur et à mesure des 24 heures, les dessins d’un soleil ou d’un croissant de lune.
Bénéficiant d’une autonomie de fonctionnement de 42 heures, la Diderot affiche, à 4 heures, un indicateur de réserve de marche.
Complément utile à tous les mouvements mécaniques à remontage manuel ou automatique, il signale, au moyen d’une petite aiguille parcourant un arc de cercle gradué en heures, l’état d’autonomie de la montre.
Héritière d’un savoir-faire horloger français ancré à Morteau, dans la vallée du Doubs en Franche-Comté depuis 1750, Yonger & Bresson a équipé ce nouveau garde-temps d’un mouvement automatique développé en France. Parti d’un calibre standard, les horlogers ont retravaillé le mouvement pour lui donner ces deux complications (indication jour/nuit et réserve de marche). Mais pas seulement !
Battant au rythme de 21 600 alternances par heure, ce calibre est doté d’un remontage bidirectionnel. De même, 21 rubis ont été répartis aux endroits les plus sujets aux frottements, pour réduire l’usure des rouages. A noter que ce mouvement a été monté, emboîté, réglé et contrôlé dans le respect de la tradition horlogère franc-comtoise.
On remarquera également l’estampille Yonger & Bresson, qui sert de contrepoids à la trotteuse des secondes, qui apparaît également sur la couronne crantée du remontoir. Ce garde-temps, dont le fond de boîte est gravé du blason de la ville de Morteau, affiche fièrement ses origines franc-comtoises !
Rappelons d’ailleurs que l’horlogerie arrive en 1750 dans la petite ville de Morteau, chef lieu du canton du Doubs, en Franche-Comté. Activité complémentaire pratiquée par les paysans chez eux l’hiver, celle-ci s’intensifie de manière significative à la fin du XIXème siècle : des ateliers structurés commencent à apparaître, l’horloger paysan cède la place à l’ouvrier horloger d’atelier et… l’horlogerie devient la clé de la prospérité économique de Morteau.
Au début du 20ème siècle, la vallée est un des centres français les plus actifs dans l’art de l’horlogerie. Aujourd’hui, ce savoir-faire, transmis et développé de génération en génération, se perpétue dans les ateliers de la maison Yonger & Bresson.
Plus concrètement, la Diderot arbore, à 9 heures, un indicateur jour/nuit - 12h/24h. Renforcé d’une aiguille, le compteur dévoile un disque tournant décoré où apparaissent, au fur et à mesure des 24 heures, les dessins d’un soleil ou d’un croissant de lune.
Bénéficiant d’une autonomie de fonctionnement de 42 heures, la Diderot affiche, à 4 heures, un indicateur de réserve de marche.
Complément utile à tous les mouvements mécaniques à remontage manuel ou automatique, il signale, au moyen d’une petite aiguille parcourant un arc de cercle gradué en heures, l’état d’autonomie de la montre.
Héritière d’un savoir-faire horloger français ancré à Morteau, dans la vallée du Doubs en Franche-Comté depuis 1750, Yonger & Bresson a équipé ce nouveau garde-temps d’un mouvement automatique développé en France. Parti d’un calibre standard, les horlogers ont retravaillé le mouvement pour lui donner ces deux complications (indication jour/nuit et réserve de marche). Mais pas seulement !
Battant au rythme de 21 600 alternances par heure, ce calibre est doté d’un remontage bidirectionnel. De même, 21 rubis ont été répartis aux endroits les plus sujets aux frottements, pour réduire l’usure des rouages. A noter que ce mouvement a été monté, emboîté, réglé et contrôlé dans le respect de la tradition horlogère franc-comtoise.
On remarquera également l’estampille Yonger & Bresson, qui sert de contrepoids à la trotteuse des secondes, qui apparaît également sur la couronne crantée du remontoir. Ce garde-temps, dont le fond de boîte est gravé du blason de la ville de Morteau, affiche fièrement ses origines franc-comtoises !
Rappelons d’ailleurs que l’horlogerie arrive en 1750 dans la petite ville de Morteau, chef lieu du canton du Doubs, en Franche-Comté. Activité complémentaire pratiquée par les paysans chez eux l’hiver, celle-ci s’intensifie de manière significative à la fin du XIXème siècle : des ateliers structurés commencent à apparaître, l’horloger paysan cède la place à l’ouvrier horloger d’atelier et… l’horlogerie devient la clé de la prospérité économique de Morteau.
Au début du 20ème siècle, la vallée est un des centres français les plus actifs dans l’art de l’horlogerie. Aujourd’hui, ce savoir-faire, transmis et développé de génération en génération, se perpétue dans les ateliers de la maison Yonger & Bresson.
Spécificités techniques de la Yonger & Bresson Diderot
- Boîtier :
. acier 316L
. fond vissé avec joint
. verre minéral
. diamètre : 42 mm / épaisseur : 14 mm
. étanche à 50 mètres
- Cadran :
. noir
. aiguilles luminescentes
. compteur 12/24 heures Jour/Nuit à 9 heures ; phases lunaire et solaire
. compteur indicateur réserve de marche à 4 heures
- Fonctions :
. heures, minutes, secondes
. réserve de marche (compteur à 4 heures)
. indicateur jour/nuit 12/24 heures (compteur à 9 heures)
- Bracelet :
. cuir noir surpiqué
- Mouvement :
. automatique MA.S.11.01
. 21 600 alternances/heure
. remontage bidirectionnel
. 21 rubis
Prix de Vente Public conseillé : 299 euros
Téléphone lecteurs : 03 81 67 67 50
. acier 316L
. fond vissé avec joint
. verre minéral
. diamètre : 42 mm / épaisseur : 14 mm
. étanche à 50 mètres
- Cadran :
. noir
. aiguilles luminescentes
. compteur 12/24 heures Jour/Nuit à 9 heures ; phases lunaire et solaire
. compteur indicateur réserve de marche à 4 heures
- Fonctions :
. heures, minutes, secondes
. réserve de marche (compteur à 4 heures)
. indicateur jour/nuit 12/24 heures (compteur à 9 heures)
- Bracelet :
. cuir noir surpiqué
- Mouvement :
. automatique MA.S.11.01
. 21 600 alternances/heure
. remontage bidirectionnel
. 21 rubis
Prix de Vente Public conseillé : 299 euros
Téléphone lecteurs : 03 81 67 67 50