Yonger & Bresson appartient au paysage horloger français –mais également international- depuis 1975...
Mais depuis quelques années, le groupe Ambre, propriétaire de la marque, a décidé de lui offrir un nouvel essor avec la création d’un mouvement « maison » qui a été imaginé dans le Doubs et est assemblé et contrôlé dans l’usine de Morteau.
Proposer une montre automatique de qualité à un prix vraiment accessible (en l’occurrence moins de 500 euros), telle était l’ambition des dirigeants de Yonger & Bresson.
Il aura fallu deux ans de développement à Jean-Paul Boillot, directeur de fabrication au sein du groupe (un « vieux de la vieille » qui connait tous les rouages de l’horlogerie), pour mettre au point ce mouvement à remontage automatique baptisé « Ambre ».
Dès l’année de son lancement, le mouvement « Ambre » a été décliné en trois versions affichant chacune la date. Le premier modèle était un trois aiguilles (seconde centrale). Le deuxième a vu l’arrivée d’une petite seconde. Et la troisième évolution, somme toute assez logique, voit débarquer un indicateur de réserve de marche.
Doté d’une masse oscillante montée sur roulement à billes (comme chez les cousins suisses) tournant dans les deux sens afin d’assurer un remontage rapide du ressort, ce mouvement possède une confortable réserve de marche de 45 heures. Le fond transparent du boîtier permet d’admirer cette masse oscillante squelettée et traitée PVD noir, gravée du logo de la marque, tout comme la platine perlée côté ponts et côté cadran.
La précision du mouvement est assurée par un organe régulateur dont le balancier bat à une fréquence de 28 800 alternances par heure. L’empierrage totalise 31 rubis dont deux sont situés aux extrémités de l’axe du barillet : « un choix technique permettant de réduire efficacement les frictions généralement constatées au niveau de cet élément sur les mouvements mécaniques » précise la marque dans son communiqué.
A noter que la couronne de réglage permet d’effectuer une correction rapide de la date (toujours pratique) et d’actionner un dispositif « stop seconde » : celui-ci agit directement sur le balancier pour un arrêt instantané de la marche. Précisons que le mouvement Ambre a passé avec succès le test dit de la « Guillotine » soumettant, entre autres, le mécanisme à une série de chocs sur sa tranche !
Situés en Franche-Comté, les ateliers du groupe Ambre -où sont installés les différents postes de développement, de contrôle-qualité et d’emboîtage de Yonger & Bresson- ont vu cet été, l’arrivée d’un atelier d’assemblage exclusivement dédié au montage complet de ce nouveau calibre, dont Jean-Paul Boillot assure la direction.
Naturellement, le calibre automatique Ambre a été pensé pour accueillir, à l'avenir, de nombreuses autres fonctions ou complications : chronographe, phases de Lune, quantième perpétuel, squelette et même un tourbillon !
Cette Versailles est dotée d’un boîtier en acier poli de 43 mm, tranchant avec le noir profond du cadran. Seul au zénith, le chiffre 12 s’impose par sa taille tout en faisant la part belle aux index chromés de forme pyramidale. Luminescentes, les aiguilles des heures et des minutes attirent le regard sur le compteur petite seconde à 6 heures, complété d’un guichet dateur à 3 heures doté d’un correcteur rapide (comme mentionné précédemment).
Se démarquant par sa couleur rouge, l’indicateur de réserve de marche est matérialisé par un arc de cercle placé à 12 heures. Il signale également le degré d’exactitude du marquage du temps : en effet, plus l’aiguille est maintenue dans la partie gauche de la zone d’affichage, plus la précision est optimale ; le ressort du barillet étant parfaitement tendu pour transmettre l’énergie nécessaire.
Cette montre française est proposée sur un bracelet cuir « façon croco » noir avec boucle déployante. La Versailles est livrée dans un coffret plaqué en bois wangué. Dernière précision mais non des moindres… Elle est garantie cinq ans (hors verre et bracelet) !
Mais depuis quelques années, le groupe Ambre, propriétaire de la marque, a décidé de lui offrir un nouvel essor avec la création d’un mouvement « maison » qui a été imaginé dans le Doubs et est assemblé et contrôlé dans l’usine de Morteau.
Proposer une montre automatique de qualité à un prix vraiment accessible (en l’occurrence moins de 500 euros), telle était l’ambition des dirigeants de Yonger & Bresson.
Il aura fallu deux ans de développement à Jean-Paul Boillot, directeur de fabrication au sein du groupe (un « vieux de la vieille » qui connait tous les rouages de l’horlogerie), pour mettre au point ce mouvement à remontage automatique baptisé « Ambre ».
Dès l’année de son lancement, le mouvement « Ambre » a été décliné en trois versions affichant chacune la date. Le premier modèle était un trois aiguilles (seconde centrale). Le deuxième a vu l’arrivée d’une petite seconde. Et la troisième évolution, somme toute assez logique, voit débarquer un indicateur de réserve de marche.
Doté d’une masse oscillante montée sur roulement à billes (comme chez les cousins suisses) tournant dans les deux sens afin d’assurer un remontage rapide du ressort, ce mouvement possède une confortable réserve de marche de 45 heures. Le fond transparent du boîtier permet d’admirer cette masse oscillante squelettée et traitée PVD noir, gravée du logo de la marque, tout comme la platine perlée côté ponts et côté cadran.
La précision du mouvement est assurée par un organe régulateur dont le balancier bat à une fréquence de 28 800 alternances par heure. L’empierrage totalise 31 rubis dont deux sont situés aux extrémités de l’axe du barillet : « un choix technique permettant de réduire efficacement les frictions généralement constatées au niveau de cet élément sur les mouvements mécaniques » précise la marque dans son communiqué.
A noter que la couronne de réglage permet d’effectuer une correction rapide de la date (toujours pratique) et d’actionner un dispositif « stop seconde » : celui-ci agit directement sur le balancier pour un arrêt instantané de la marche. Précisons que le mouvement Ambre a passé avec succès le test dit de la « Guillotine » soumettant, entre autres, le mécanisme à une série de chocs sur sa tranche !
Situés en Franche-Comté, les ateliers du groupe Ambre -où sont installés les différents postes de développement, de contrôle-qualité et d’emboîtage de Yonger & Bresson- ont vu cet été, l’arrivée d’un atelier d’assemblage exclusivement dédié au montage complet de ce nouveau calibre, dont Jean-Paul Boillot assure la direction.
Naturellement, le calibre automatique Ambre a été pensé pour accueillir, à l'avenir, de nombreuses autres fonctions ou complications : chronographe, phases de Lune, quantième perpétuel, squelette et même un tourbillon !
Cette Versailles est dotée d’un boîtier en acier poli de 43 mm, tranchant avec le noir profond du cadran. Seul au zénith, le chiffre 12 s’impose par sa taille tout en faisant la part belle aux index chromés de forme pyramidale. Luminescentes, les aiguilles des heures et des minutes attirent le regard sur le compteur petite seconde à 6 heures, complété d’un guichet dateur à 3 heures doté d’un correcteur rapide (comme mentionné précédemment).
Se démarquant par sa couleur rouge, l’indicateur de réserve de marche est matérialisé par un arc de cercle placé à 12 heures. Il signale également le degré d’exactitude du marquage du temps : en effet, plus l’aiguille est maintenue dans la partie gauche de la zone d’affichage, plus la précision est optimale ; le ressort du barillet étant parfaitement tendu pour transmettre l’énergie nécessaire.
Cette montre française est proposée sur un bracelet cuir « façon croco » noir avec boucle déployante. La Versailles est livrée dans un coffret plaqué en bois wangué. Dernière précision mais non des moindres… Elle est garantie cinq ans (hors verre et bracelet) !
Spécificités techniques de la montre Yonger & Bresson Versailles
- Boîtier acier poli 316L
. fond 4 vis gravé multi-frappe du logo couronne Yonger & Bresson
. verre et fond minéral traitement anti-reflet recto/verso
. couronne 3 positions avec correction rapide de la date et stop seconde
. 43 mm de diamètre
- Mouvement :
. mécanique à remontage automatique, calibre Ambre 1033
. 28 800 alternances/heure (4 Hz)
. 31 rubis
. perlage côté cadran et côté ponts
. réserve de marche de 45 heures
. remontage bidirectionnel
. masse oscillante squelette traitement PVD noir, gravage multi-frappe du logo couronne Yonger & Bresson et de la référence du calibre
Etanche à 50 mètres
- Cadran :
. noir
. index chromés forme pyramidale
. aiguilles luminescentes
. indicateur « réserve de marche » à 12h
. compteur « Petite seconde » à 6h
. guichet dateur à 3 heures
- Fonctions :
. heure, minute, Petite seconde, date
. indicateur réserve de marche
- Bracelet : cuir noir façon croco avec boucle déployante
Réf : YBH 8341-01
Prix de vente public conseillé : 449 euros
Pour connaître votre point de vente le plus proche, téléphonez au : 03 81 67 67 50
. fond 4 vis gravé multi-frappe du logo couronne Yonger & Bresson
. verre et fond minéral traitement anti-reflet recto/verso
. couronne 3 positions avec correction rapide de la date et stop seconde
. 43 mm de diamètre
- Mouvement :
. mécanique à remontage automatique, calibre Ambre 1033
. 28 800 alternances/heure (4 Hz)
. 31 rubis
. perlage côté cadran et côté ponts
. réserve de marche de 45 heures
. remontage bidirectionnel
. masse oscillante squelette traitement PVD noir, gravage multi-frappe du logo couronne Yonger & Bresson et de la référence du calibre
Etanche à 50 mètres
- Cadran :
. noir
. index chromés forme pyramidale
. aiguilles luminescentes
. indicateur « réserve de marche » à 12h
. compteur « Petite seconde » à 6h
. guichet dateur à 3 heures
- Fonctions :
. heure, minute, Petite seconde, date
. indicateur réserve de marche
- Bracelet : cuir noir façon croco avec boucle déployante
Réf : YBH 8341-01
Prix de vente public conseillé : 449 euros
Pour connaître votre point de vente le plus proche, téléphonez au : 03 81 67 67 50