A peine mise en vente, ces « plongeuses » se sont très bien vendues. De fait, cette édition limitée à 8 exemplaires est déjà quasiment toute vendue ! Il en reste, mais plus pour longtemps.
Dans la pratique, il s’agit d’un modèle ZRC doté d’un boitier en acier DLC noir de 41,5 mm, étanche à 300 mètres avec sa couronne de remontoir placé à 6h.
Sur le cadran noir, les chiffres et les index apparaissent en gris tandis que les aiguilles heures, minutes et secondes -caractéristiques de la marque- de même que les index luminescents sont de couleur crème. La date, très discrète, apparait à 3h. L’ensemble, très cohérent, étant protégé par un épais verre saphir bombé.
Dans la pratique, il s’agit d’un modèle ZRC doté d’un boitier en acier DLC noir de 41,5 mm, étanche à 300 mètres avec sa couronne de remontoir placé à 6h.
Sur le cadran noir, les chiffres et les index apparaissent en gris tandis que les aiguilles heures, minutes et secondes -caractéristiques de la marque- de même que les index luminescents sont de couleur crème. La date, très discrète, apparait à 3h. L’ensemble, très cohérent, étant protégé par un épais verre saphir bombé.
Cette « plongeuse » automatique embarque un calibre mécanique automatique (38h de réserve de marche). Elle se porte, dans cette version, sur un bracelet en caoutchouc noir, mais cette ZRC est livrée avec un second bracelet en caoutchouc crème.
Sachez que d'une manière générale, la marque ZRC produit relativement peu de montres par an afin de ne pas galvauder le produit. Il ne s'agit pas de jouer la "pénurie" mais il s'agit plutôt de maintenir la qualité et la désirabilité de ces plongeuses hors-normes.
Sachez que d'une manière générale, la marque ZRC produit relativement peu de montres par an afin de ne pas galvauder le produit. Il ne s'agit pas de jouer la "pénurie" mais il s'agit plutôt de maintenir la qualité et la désirabilité de ces plongeuses hors-normes.
Rappelons que depuis son ouverture rue Royale il y a huit ans, le détaillant Emile Leon s’est imposé sur le marché grâce à un positionnement atypique. En effet, au lieu de proposer la plupart des marques que l’on retrouve un peu partout, il s’est spécialisé sur les horlogers plus confidentiels et plus rares…
Ce qui fait qu’on peut admirer dans ses vitrines des pièces de chez MATWatches, Beaubleu, Bulova, Raymond Weil qui côtoient Frédérique Constant, Longines, Rado, Mido, Hamilton, Michel Herbelin, Seiko et bien d’autres. En tout, une quarantaine de marques dans le « luxe d’entrée de gamme » dont certaines très rarement distribuées sur le marché français. Un lieu à découvrir. Assurément.
Ce qui fait qu’on peut admirer dans ses vitrines des pièces de chez MATWatches, Beaubleu, Bulova, Raymond Weil qui côtoient Frédérique Constant, Longines, Rado, Mido, Hamilton, Michel Herbelin, Seiko et bien d’autres. En tout, une quarantaine de marques dans le « luxe d’entrée de gamme » dont certaines très rarement distribuées sur le marché français. Un lieu à découvrir. Assurément.