Cette collection résolument masculine est composée de bagues et de bracelets en argent brossé ou titane noir.
Précisons que Dinh Van reste l’un des seuls grands joailliers (avec Tiffany) à proposer de l’argent ou du titane au sein de son catalogue, ce qui permet de s’offrir des produits haut de gamme à des prix tout de même plus accessibles.
La bague offre un format « carrée » aux angles arrondis, avec un beau brossé. Un design très sobre que l’on retrouve également pour le jonc (pour rappel, se dit d’un bracelet non fermé).
Naturellement, les modèles en titane noir, en plus de leur extrême légèreté, se marieront parfaitement avec une montre noire. Et de nos jours, le choix est vaste en la matière !
Précisons que Dinh Van reste l’un des seuls grands joailliers (avec Tiffany) à proposer de l’argent ou du titane au sein de son catalogue, ce qui permet de s’offrir des produits haut de gamme à des prix tout de même plus accessibles.
La bague offre un format « carrée » aux angles arrondis, avec un beau brossé. Un design très sobre que l’on retrouve également pour le jonc (pour rappel, se dit d’un bracelet non fermé).
Naturellement, les modèles en titane noir, en plus de leur extrême légèreté, se marieront parfaitement avec une montre noire. Et de nos jours, le choix est vaste en la matière !
A l’origine la marque Dinh Van fut créée par Jean Dinh Van, un franco-vietnamien né en 1927 formé aux Arts Décoratifs et qui a travaillé comme artisan joaillier pendant une dizaine d’années chez Cartier.
On lui doit la fameuse maille allongée que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard, au sein de ses propres collections, dans une version légèrement différente. Il ouvrira son propre atelier à Paris en 1965.
L’homme fut considéré, et à raison d’ailleurs, comme l’un des joailliers français les plus créatifs des années 1960. Pour l’anecdote, il fut le premier à commercialiser en 1967, ses créations au Drugstore Publicis, une distribution alternative et « révolutionnaire » pour l’époque. D'ailleurs, on y trouve ses produits, encore aujourd’hui.
Dans les années 70, on lui doit les fameux modèles Menottes et Rasoir qui deviendront des best-sellers ! Leur succès, bien mérité, ne s’est d’ailleurs jamais démenti. C’est lui aussi qui exposera les premières Swatch dans son magasin parisien de la rue de la Paix en 1984, c’est dire son côté visionnaire !
Il a par ailleurs collaboré avec Pierre Cardin, Paco Rabanne, César, etc. Jean Dinh Van a vendu son affaire en 1998 pour se consacrer à ses passions.
On lui doit la fameuse maille allongée que l’on retrouvera d’ailleurs plus tard, au sein de ses propres collections, dans une version légèrement différente. Il ouvrira son propre atelier à Paris en 1965.
L’homme fut considéré, et à raison d’ailleurs, comme l’un des joailliers français les plus créatifs des années 1960. Pour l’anecdote, il fut le premier à commercialiser en 1967, ses créations au Drugstore Publicis, une distribution alternative et « révolutionnaire » pour l’époque. D'ailleurs, on y trouve ses produits, encore aujourd’hui.
Dans les années 70, on lui doit les fameux modèles Menottes et Rasoir qui deviendront des best-sellers ! Leur succès, bien mérité, ne s’est d’ailleurs jamais démenti. C’est lui aussi qui exposera les premières Swatch dans son magasin parisien de la rue de la Paix en 1984, c’est dire son côté visionnaire !
Il a par ailleurs collaboré avec Pierre Cardin, Paco Rabanne, César, etc. Jean Dinh Van a vendu son affaire en 1998 pour se consacrer à ses passions.