Depuis des années, différents engins se comparent sur l’eau. La course effrénée à laquelle se livrent les kitesurfs, windsurfs, trimarans et hydrofoils repousse, à chaque tentative, les limites techniques et humaines.
C’est un kitesurf – une planche de surf tractée par une aile – qui franchit pour la première fois la barrière des 100 km/h. Le pilote, Alexandre Caizergues, est un surdoué, sans doute le meilleur kitesurfeur de sa génération…
Arrivé dans la baie de Lüderitz, en Namibie, avec l’objectif avoué de reprendre à l’Hydroptère le record du monde détenu durant un an (93,65 km/h en septembre 2008), Alexandre l’a cette fois atomisé, en réalisant une moyenne de 100,19 km/h sur 500 mètres, vitesse officialisée par le World Sailing Speed Record. La barre mythique des 100 km/h, visée par tous les mordus de vitesse, est donc tombée dans l’escarcelle du Français.
C’est un kitesurf – une planche de surf tractée par une aile – qui franchit pour la première fois la barrière des 100 km/h. Le pilote, Alexandre Caizergues, est un surdoué, sans doute le meilleur kitesurfeur de sa génération…
Arrivé dans la baie de Lüderitz, en Namibie, avec l’objectif avoué de reprendre à l’Hydroptère le record du monde détenu durant un an (93,65 km/h en septembre 2008), Alexandre l’a cette fois atomisé, en réalisant une moyenne de 100,19 km/h sur 500 mètres, vitesse officialisée par le World Sailing Speed Record. La barre mythique des 100 km/h, visée par tous les mordus de vitesse, est donc tombée dans l’escarcelle du Français.
Témoignage
« C’est incroyable », a déclaré Alexandre à l’issue de sa performance. « Être le premier à franchir cette barrière des 100 km/h est vraiment un accomplissement… Je me suis entraîné toute l’année pour cette échéance, ma préparation a donc payé. Je suis aussi très satisfait de reprendre le record du monde sur l’eau, record qui m’a déjà appartenu. Désormais, je ne me fixe plus aucune limite ! »
Pour les autres, la barre monte encore d’un cran, mais elle n’est pas impossible à atteindre, notamment pour l’Hydroptère qui, lors de son record, avait atteint une vitesse maximale de 103 km/h, mais pas sur 500 mètres, la limite fatidique au-dessous de laquelle le record n’est pas homologué. La course au record de vitesse sur l’eau est donc plus d’actualité que jamais ! Il vient d’ailleurs d’être une nouvelle fois battu, le 28 octobre 2010, par l’Américain Robert Douglas qui atteint les 103 km/h.
Une barre mythique vient d’être franchie, en Namibie, par Alexandre Caizergues qui atomise le record du monde de vitesse à la voile en le portant à 100,19 km/h. Le Français efface des tablettes le précédent score détenu par l’Hydroptère d’Alain Thébault, le trimaran à foils affichait 95 km/h, c’est donc 5 km/h de mieux que réalisent Alexandre et son kitesurf.
Pour les autres, la barre monte encore d’un cran, mais elle n’est pas impossible à atteindre, notamment pour l’Hydroptère qui, lors de son record, avait atteint une vitesse maximale de 103 km/h, mais pas sur 500 mètres, la limite fatidique au-dessous de laquelle le record n’est pas homologué. La course au record de vitesse sur l’eau est donc plus d’actualité que jamais ! Il vient d’ailleurs d’être une nouvelle fois battu, le 28 octobre 2010, par l’Américain Robert Douglas qui atteint les 103 km/h.
Une barre mythique vient d’être franchie, en Namibie, par Alexandre Caizergues qui atomise le record du monde de vitesse à la voile en le portant à 100,19 km/h. Le Français efface des tablettes le précédent score détenu par l’Hydroptère d’Alain Thébault, le trimaran à foils affichait 95 km/h, c’est donc 5 km/h de mieux que réalisent Alexandre et son kitesurf.
La victoire de la simplicité
Une planche et une aile, ce sont les seuls éléments dont a eu besoin Alexandre pour atteindre les 100 km/h. Dans la course effrénée que se livrent les multicoques à aile rigide ou à foils, les planches à voile et les kitesurfs, c’est le système le plus simple qui cette fois a triomphé.
Depuis ses origines, la manufacture de montres suisse Zenith a accompagné les marins en mer. Ses chronomètres de marine permettaient aux navigateurs de faire le point en mer et de déterminer précisément leur longitude. La précision étant ici une donnée fondamentale, une seconde d’erreur en temps correspond à une erreur de positionnement de 463 mètres.
Rappelons que cette marque du groupe LVMH a très souvent ouvert la voie dans des domaines inexplorés. Cette capacité à concevoir des idées nouvelles, puis à se lancer dans de nouveaux développements techniques est fascinante. Les montres Zenith ont participé à quelques-unes des plus grandes aventures humaines : la découverte des pôles Nord et Sud par l’explorateur Roald Amundsen, la lutte pacifique pour l’indépendance de l’Inde du Mahatma Gandhi, les prémices de l’écologie par le Prince-Savant Albert 1er de Monaco, la traversée de la Manche par Louis Blériot, l’action politique de John F. Kennedy, le survol du pôle Nord, en ballon et en solitaire, par le médecin français Jean-Louis Étienne et bientôt, tout bientôt, une montre va tenter d’être la première à franchir le mur du son en contact direct avec la stratosphère et prouver par là son exceptionnelle fiabilité.
Depuis ses origines, la manufacture de montres suisse Zenith a accompagné les marins en mer. Ses chronomètres de marine permettaient aux navigateurs de faire le point en mer et de déterminer précisément leur longitude. La précision étant ici une donnée fondamentale, une seconde d’erreur en temps correspond à une erreur de positionnement de 463 mètres.
Rappelons que cette marque du groupe LVMH a très souvent ouvert la voie dans des domaines inexplorés. Cette capacité à concevoir des idées nouvelles, puis à se lancer dans de nouveaux développements techniques est fascinante. Les montres Zenith ont participé à quelques-unes des plus grandes aventures humaines : la découverte des pôles Nord et Sud par l’explorateur Roald Amundsen, la lutte pacifique pour l’indépendance de l’Inde du Mahatma Gandhi, les prémices de l’écologie par le Prince-Savant Albert 1er de Monaco, la traversée de la Manche par Louis Blériot, l’action politique de John F. Kennedy, le survol du pôle Nord, en ballon et en solitaire, par le médecin français Jean-Louis Étienne et bientôt, tout bientôt, une montre va tenter d’être la première à franchir le mur du son en contact direct avec la stratosphère et prouver par là son exceptionnelle fiabilité.
Énergie du futur
Des ailes de kitesurf tractent les cargos
Le grand défi écologique de l’époque est la réduction des émissions de CO2, responsables du réchauffement de la planète. Dans ce sens, toutes les idées –même les plus audacieuses– sont bonnes à explorer. Dans le domaine du transport maritime, des ingénieurs allemands ont conçu une aile –très semblable à celles utilisées par les kitesurfs– qui s’accroche à l’avant des cargos et des porte-conteneurs. Déployé une fois le navire en mer, cet immense cerf-volant, d’une surface de 160 m2, va tracter le navire durant tout son trajet et réduire d’autant sa consommation.
Une poussée égale à celle d’un Airbus
La force de traction atteint 8 tonnes, ce qui correspond à la poussée d’un Airbus A318. Le principe de ce mode de traction n’est pas de remplacer les moteurs, mais de les compléter pour réduire la gloutonnerie en carburant polluant. Cette propulsion hybride permet d’économiser quotidiennement 2,5 tonnes de carburant et de réduire les coûts de 700 euros, soit environ 20 % d’économies de carburant. Dans un proche avenir, les pionniers allemands annoncent pouvoir obtenir 30 à 35% d’économies sur l’ensemble d’une navigation normale grâce à la seule force du vent, ce vent qui représente une énergie inépuisable, gratuite et propre. Les régatiers et les romantiques n’en voudront à personne de le partager.
Le grand défi écologique de l’époque est la réduction des émissions de CO2, responsables du réchauffement de la planète. Dans ce sens, toutes les idées –même les plus audacieuses– sont bonnes à explorer. Dans le domaine du transport maritime, des ingénieurs allemands ont conçu une aile –très semblable à celles utilisées par les kitesurfs– qui s’accroche à l’avant des cargos et des porte-conteneurs. Déployé une fois le navire en mer, cet immense cerf-volant, d’une surface de 160 m2, va tracter le navire durant tout son trajet et réduire d’autant sa consommation.
Une poussée égale à celle d’un Airbus
La force de traction atteint 8 tonnes, ce qui correspond à la poussée d’un Airbus A318. Le principe de ce mode de traction n’est pas de remplacer les moteurs, mais de les compléter pour réduire la gloutonnerie en carburant polluant. Cette propulsion hybride permet d’économiser quotidiennement 2,5 tonnes de carburant et de réduire les coûts de 700 euros, soit environ 20 % d’économies de carburant. Dans un proche avenir, les pionniers allemands annoncent pouvoir obtenir 30 à 35% d’économies sur l’ensemble d’une navigation normale grâce à la seule force du vent, ce vent qui représente une énergie inépuisable, gratuite et propre. Les régatiers et les romantiques n’en voudront à personne de le partager.
Compléments géographiques et biographiques
Lüderitz en Namibie
La lagune naturelle de Lüderitz est située au milieu du désert namibien. Ce lieu rassemble toutes les qualités nécessaires pour pouvoir flirter avec les records du monde. Les jours où le vent de sud se fâche vraiment, renforcé par une brise thermique venue du désert, l’anémomètre affiche 45 noeuds, voire plus.
Biographie
Né le 14 mars 1979 à Marseille, Alexandre Caizergues a vécu par la suite dans la ville portuaire de Port-Saint-Louis-du-Rhône. L’année 2005 marque son entrée dans la compétition au Mondial du Vent. Deux ans après, il obtient son premier titre de champion du monde. En 2008, en Namibie, Alexandre établit le nouveau record du monde de vitesse à la voile avec une moyenne de 93 km/h sur 500 mètres. En 2009, il gagne pour la troisième fois d’affilée le titre de champion du monde de vitesse. Le 12 octobre 2010, il entre dans l’histoire en devenant le premier homme à franchir la barre des 100 km/h à la voile.
La lagune naturelle de Lüderitz est située au milieu du désert namibien. Ce lieu rassemble toutes les qualités nécessaires pour pouvoir flirter avec les records du monde. Les jours où le vent de sud se fâche vraiment, renforcé par une brise thermique venue du désert, l’anémomètre affiche 45 noeuds, voire plus.
Biographie
Né le 14 mars 1979 à Marseille, Alexandre Caizergues a vécu par la suite dans la ville portuaire de Port-Saint-Louis-du-Rhône. L’année 2005 marque son entrée dans la compétition au Mondial du Vent. Deux ans après, il obtient son premier titre de champion du monde. En 2008, en Namibie, Alexandre établit le nouveau record du monde de vitesse à la voile avec une moyenne de 93 km/h sur 500 mètres. En 2009, il gagne pour la troisième fois d’affilée le titre de champion du monde de vitesse. Le 12 octobre 2010, il entre dans l’histoire en devenant le premier homme à franchir la barre des 100 km/h à la voile.