A l’heure de la standardisation, des mouvements génériques et du « time to market » toujours plus réduits, la manufacture Ferdinand Berthoud a souhaité s’établir à contre-courant en proposant un univers patiemment créé à la juste (dé)mesure de son inspirateur : Ferdinand Berthoud (1727–1807).
Horloger-mécanicien du Roi et de la Marine française de Louis XV à l’Empire, il est l’une des plus grandes figures de l’horlogerie. Auteur de nombreux traités, considéré comme le père de la chronométrie de marine en France, on lui doit certains des progrès les plus significatifs de l’histoire de la détermination de la longitude, clé de la conquête des océans au XVIIIe siècle.
Pour se hisser au niveau de cet héritage, la manufacture Ferdinand Berthoud (installée à Fleurier en Suisse) s’est inscrit dans la continuité. L’objectif restant inchangé : celui de la quête de précision. Un long et méticuleux travail de recherches historiques précède alors l’action…
De nombreux garde-temps réalisés par le maître furent acquis par la manuf’, ainsi que les premières éditions de ses traités horlogers (une grande partie se trouve également dans la bibliothèque de François-Paul Journe).
Chaque acquisition est alors analysée, documentée et restaurée avec soin. Puis un musée privé est dédié à cette collection au sein même de la manufacture à Fleurier. C’est là, dans le Val-de-Travers, qu’est d’ailleurs né Ferdinand Berthoud en 1727.
Aujourd’hui, l’innovation propre au génie horloger de Berthoud est transposée au 21e siècle. Le mouvement est conçu, réalisé, entièrement décoré à la main à l’aide d’outils traditionnels, puis assemblé et réglé au sein de la manufacture, pour enfin être officiellement certifié par le Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres.
En son sein, un mouvement, caractérisé par une architecture distinctive à piliers, et équipé d’un dispositif à fusée-chaîne, permettant à l’énergie du ressort-moteur d’être distribuée de manière parfaitement fluide et constante à l’échappement.
Doté d’une cage de tourbillon de grand diamètre, l’ensemble est contenu au sein d’un boîtier de forme octogonale (clivant, mais immédiatement reconnaissable et séduisant passé le premier effet de surprise) doté de fenêtres latérales, permettant d’admirer le mouvement, comme sur les chronomètres de marine de Ferdinand Berthoud.
Côté cadran, l’accent est mis sur la lisibilité de la lecture du temps soulignée par une grande aiguille des secondes placée au centre et qui atteste que la précision est au cœur de la collection FB 1.
Produits en séries très limitées et numérotées, seules quelques dizaines de garde-temps sortent chaque année des ateliers de la Chronométrie Ferdinand Berthoud (les montres ne sont distribuées que chez quelques détaillants dans le monde, très peu. En France, on les trouve chez Dubail place Vendôme.
En 2016, la Chronométrie Ferdinand Berthoud reçoit l’Aiguille d’Or, la récompense suprême du Grand Prix de l’Horlogerie de Genève (GPHG) pour le chronomètre FB 1.1. En 2019, c’est au tour du Chronomètre FB 1R d’être lauréat. Son affichage de type régulateur et ses performances chronométriques séduisent les membres du jury du GPHG.
Cette même année, la collection s’enrichit également d’un nouveau modèle, le Chronomètre FB 1L. A la croisée entre astronomie et chronométrie, cette déclinaison intègre une complication brevetée permettant d’afficher l’âge et les phases de la lune de manière inédite, au moyen d’une aiguille qui va et vient le long d’une graduation.
Aujourd’hui, la Chronométrie Ferdinand Berthoud, loin de se reposer sur ses acquis, poursuit ses efforts sans relâche. Elle se prépare à dévoiler le second chapitre de son histoire, marquée notamment par l’introduction d’un nouveau mouvement d’exception.
Horloger-mécanicien du Roi et de la Marine française de Louis XV à l’Empire, il est l’une des plus grandes figures de l’horlogerie. Auteur de nombreux traités, considéré comme le père de la chronométrie de marine en France, on lui doit certains des progrès les plus significatifs de l’histoire de la détermination de la longitude, clé de la conquête des océans au XVIIIe siècle.
Pour se hisser au niveau de cet héritage, la manufacture Ferdinand Berthoud (installée à Fleurier en Suisse) s’est inscrit dans la continuité. L’objectif restant inchangé : celui de la quête de précision. Un long et méticuleux travail de recherches historiques précède alors l’action…
De nombreux garde-temps réalisés par le maître furent acquis par la manuf’, ainsi que les premières éditions de ses traités horlogers (une grande partie se trouve également dans la bibliothèque de François-Paul Journe).
Chaque acquisition est alors analysée, documentée et restaurée avec soin. Puis un musée privé est dédié à cette collection au sein même de la manufacture à Fleurier. C’est là, dans le Val-de-Travers, qu’est d’ailleurs né Ferdinand Berthoud en 1727.
Aujourd’hui, l’innovation propre au génie horloger de Berthoud est transposée au 21e siècle. Le mouvement est conçu, réalisé, entièrement décoré à la main à l’aide d’outils traditionnels, puis assemblé et réglé au sein de la manufacture, pour enfin être officiellement certifié par le Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres.
En son sein, un mouvement, caractérisé par une architecture distinctive à piliers, et équipé d’un dispositif à fusée-chaîne, permettant à l’énergie du ressort-moteur d’être distribuée de manière parfaitement fluide et constante à l’échappement.
Doté d’une cage de tourbillon de grand diamètre, l’ensemble est contenu au sein d’un boîtier de forme octogonale (clivant, mais immédiatement reconnaissable et séduisant passé le premier effet de surprise) doté de fenêtres latérales, permettant d’admirer le mouvement, comme sur les chronomètres de marine de Ferdinand Berthoud.
Côté cadran, l’accent est mis sur la lisibilité de la lecture du temps soulignée par une grande aiguille des secondes placée au centre et qui atteste que la précision est au cœur de la collection FB 1.
Produits en séries très limitées et numérotées, seules quelques dizaines de garde-temps sortent chaque année des ateliers de la Chronométrie Ferdinand Berthoud (les montres ne sont distribuées que chez quelques détaillants dans le monde, très peu. En France, on les trouve chez Dubail place Vendôme.
En 2016, la Chronométrie Ferdinand Berthoud reçoit l’Aiguille d’Or, la récompense suprême du Grand Prix de l’Horlogerie de Genève (GPHG) pour le chronomètre FB 1.1. En 2019, c’est au tour du Chronomètre FB 1R d’être lauréat. Son affichage de type régulateur et ses performances chronométriques séduisent les membres du jury du GPHG.
Cette même année, la collection s’enrichit également d’un nouveau modèle, le Chronomètre FB 1L. A la croisée entre astronomie et chronométrie, cette déclinaison intègre une complication brevetée permettant d’afficher l’âge et les phases de la lune de manière inédite, au moyen d’une aiguille qui va et vient le long d’une graduation.
Aujourd’hui, la Chronométrie Ferdinand Berthoud, loin de se reposer sur ses acquis, poursuit ses efforts sans relâche. Elle se prépare à dévoiler le second chapitre de son histoire, marquée notamment par l’introduction d’un nouveau mouvement d’exception.