Cette Zenith est bien connue des collectionneurs de montres… En effet, ce chrono en acier de 44 mm (énorme pour l’époque) fut produit à 2.500 exemplaires pour l’armée de l’air italienne. C’est le détaillant romain Cairelli qui était le distributeur officiel de ce modèle. D’où son petit surnom et l’indication de son nom sur le cadran à 6h.
Précisons que deux versions de ce modèle furent produites au début des années 60. Une version bicompax réservée à l’armée et une version tricompax (plus tardive) qui fut vendue auprès du grand public. Cette montre est dotée du calibre 146 DP à remontage manuel. Le fond du boitier de cette pièce porte la mention « A.M.I Cronometro Tipo CP-2 M.M. 201228 ». Rappelons que l’acronyme A.M.I. signifie Aeronautica Militare Italiana. Quant au M.M. il signifie Marina Militare. Le chiffre qui vient après étant un numéro d’inventaire.
Ce chrono militaire de chez Zenith a donc été vendu pour la somme de 62.000 francs suisses alors que son estimation la plus haute était de 20.000 francs suisses. Soit trois fois plus que son évaluation « fourchette haute ». Précisons que l’armée italienne utilisa ce chrono jusqu’au début des années 80 mais ne distribua pas aux militaires toutes les montres qu’elle avait acheté, on en trouve donc sur le marché. Mais cette pièce reste relativement rare et très recherchée par les collectionneurs… D’où cette côte qui s’envole.
Précisons que deux versions de ce modèle furent produites au début des années 60. Une version bicompax réservée à l’armée et une version tricompax (plus tardive) qui fut vendue auprès du grand public. Cette montre est dotée du calibre 146 DP à remontage manuel. Le fond du boitier de cette pièce porte la mention « A.M.I Cronometro Tipo CP-2 M.M. 201228 ». Rappelons que l’acronyme A.M.I. signifie Aeronautica Militare Italiana. Quant au M.M. il signifie Marina Militare. Le chiffre qui vient après étant un numéro d’inventaire.
Ce chrono militaire de chez Zenith a donc été vendu pour la somme de 62.000 francs suisses alors que son estimation la plus haute était de 20.000 francs suisses. Soit trois fois plus que son évaluation « fourchette haute ». Précisons que l’armée italienne utilisa ce chrono jusqu’au début des années 80 mais ne distribua pas aux militaires toutes les montres qu’elle avait acheté, on en trouve donc sur le marché. Mais cette pièce reste relativement rare et très recherchée par les collectionneurs… D’où cette côte qui s’envole.