« Une collaboration c’est le plaisir d’embrasser un métier, de se plonger dans une technique, une particularité, un univers. C’est l’occasion unique de s’approprier un environnement qui n’est pas le vôtre et de toucher du doigt des savoir-faire d’exception » indique Chantal Thomass à l’occasion de ce lancement.
Et de poursuivre : « c’est aussi aller à la rencontre d’un lieu, d’une histoire, d’artisans… La manufacture Jaquet Droz m’a émerveillée au-delà de mes attentes ; j’ai découvert un niveau de maîtrise et de technicité rarement atteint, mis au service de la création d’objets uniques quasi magiques ! ».
Ne pas être à la mode pour une créatrice de mode, serait un comble. Et pourtant, en cinquante ans de carrière, Chantal Thomass l’a toujours devancée, instituant une griffe que même un public non averti identifie au premier coup d’œil : une frange noire, un rouge à lèvres appuyé (« rouge mat, toujours ») et une capacité s’approprier de multiples univers (design, parfum, décoration, cosmétique, etc.) avec une fraîcheur décomplexée.
Et de poursuivre : « c’est aussi aller à la rencontre d’un lieu, d’une histoire, d’artisans… La manufacture Jaquet Droz m’a émerveillée au-delà de mes attentes ; j’ai découvert un niveau de maîtrise et de technicité rarement atteint, mis au service de la création d’objets uniques quasi magiques ! ».
Ne pas être à la mode pour une créatrice de mode, serait un comble. Et pourtant, en cinquante ans de carrière, Chantal Thomass l’a toujours devancée, instituant une griffe que même un public non averti identifie au premier coup d’œil : une frange noire, un rouge à lèvres appuyé (« rouge mat, toujours ») et une capacité s’approprier de multiples univers (design, parfum, décoration, cosmétique, etc.) avec une fraîcheur décomplexée.
Entre Jaquet Droz et Chantal Thomass, le coup de cœur fut immédiat. La liaison Paris–La Chaux-de-Fonds s’est faite instantanément. De son œil espiègle, la créatrice a saisi les possibilités offertes par les automates Jaquet Droz et la richesse que ses métiers d’art allaient y apporter.
L’implication de la créatrice de mode dans le projet fut totale. Chantal Thomass s’est rendue plusieurs fois, en personne, aux ateliers Jaquet Droz. Elle qui n’avait jamais imaginé de montre voulait tout en connaître : histoire, patrimoine, mouvement, décoration, mais aussi rencontrer les artisans qui donnent vie à chaque pièce unique Jaquet Droz.
Entre deux rendez-vous physiques en Suisse, la styliste parisienne s’est régulièrement connectée au Studio 8 de l’horloger : un espace en ligne, doté de 6 caméras immersives qui permet à chaque client de suivre, quasiment en temps réel, le développement de son projet.
L’implication de la créatrice de mode dans le projet fut totale. Chantal Thomass s’est rendue plusieurs fois, en personne, aux ateliers Jaquet Droz. Elle qui n’avait jamais imaginé de montre voulait tout en connaître : histoire, patrimoine, mouvement, décoration, mais aussi rencontrer les artisans qui donnent vie à chaque pièce unique Jaquet Droz.
Entre deux rendez-vous physiques en Suisse, la styliste parisienne s’est régulièrement connectée au Studio 8 de l’horloger : un espace en ligne, doté de 6 caméras immersives qui permet à chaque client de suivre, quasiment en temps réel, le développement de son projet.
C’est aussi par le Studio 8 que Chantal Thomass a défini, avec précision, le cahier des charges de sa pièce, laquelle devait refléter son univers graphique, mais également son esprit frondeur et disruptif.
Chantal Thomass a voulu un garde-temps dominé par ses propres couleurs : noir, blanc, rouge. Mais l’icône de la mode le sait : la palette graphique est une chose, la matière en est une autre.
Pour faire vivre ces tons, Chantal Thomass a opté pour différents matériaux qui, chacun, apporte texture et volume. Sous un cadran horaire en onyx, un damier en perspective est composé de cubes d’onyx noir et cacholong (qu'on retrouve chez Arnold & Son, Vacheron Constantin ou Cartier par exemple).
Chantal Thomass a voulu un garde-temps dominé par ses propres couleurs : noir, blanc, rouge. Mais l’icône de la mode le sait : la palette graphique est une chose, la matière en est une autre.
Pour faire vivre ces tons, Chantal Thomass a opté pour différents matériaux qui, chacun, apporte texture et volume. Sous un cadran horaire en onyx, un damier en perspective est composé de cubes d’onyx noir et cacholong (qu'on retrouve chez Arnold & Son, Vacheron Constantin ou Cartier par exemple).
La première est bien connue de Jaquet Droz, mais l’usage de Cacholong, fut une première. Cette marqueterie de pierres, fixe, est faite de 34 figures individuelles. Chaque cube mesure entre 2,25 mm et 0,45 mm de hauteur. Ils sont usinés et assemblés un à un, à la main, sur 5 hauteurs différentes, afin d’accentuer la perspective 3D du damier.
Autour de ce dessin central se déploie un disque périphérique mobile. En forme de spirale, il associe un disque noir brillant lové au sein d’un autre disque serti neige de 376 diamants (pour un total de 0,63 ct) serties à la main.
Une simple pression sur le poussoir à 3h lance l’animation : le disque extérieur effectue alors une révolution complète en 30 secondes, pour un maximum de 4 minutes (soit 8 tours), que l’on peut déclencher ou stopper à la demande en rappuyant sur le même poussoir.
Autour de ce dessin central se déploie un disque périphérique mobile. En forme de spirale, il associe un disque noir brillant lové au sein d’un autre disque serti neige de 376 diamants (pour un total de 0,63 ct) serties à la main.
Une simple pression sur le poussoir à 3h lance l’animation : le disque extérieur effectue alors une révolution complète en 30 secondes, pour un maximum de 4 minutes (soit 8 tours), que l’on peut déclencher ou stopper à la demande en rappuyant sur le même poussoir.
Le fonctionnement de cet automate hypnotique ne grève pas la précision de la montre : la partie automate bénéficie de ses deux barillets, la partie horaire de deux autres, indépendants, pour 68h de réserve de marche.
Enfin, touche finale voulue par l’artiste : pour déstructurer une composition qui joue à plein des effets de symétrie, Chantal Thomass a disséminé 11 paires de lèvres du rouge qu’elle affectionne tant. Dix sont des appliques en or sculptées à la main qui prennent place sur le mobile périphérique (et passent donc, comme l’ensemble du disque, sous le cadran horaire).
La onzième est peinte à la main, telle la signature de Chantal Thomass, sous celle de Jaquet Droz, sise à midi et survolée de deux aiguilles en or.
Plus concrètement, il s’agit d’une montre en or rouge de 43 mm, étanche à 30 mètres, dotée d’un cadran en onyx noir peint à la main et d’un réhaut en or rouge. Elle embarque un calibre mécanique automatique heures et minutes décentrées d’une réserve de marche, confortable, de 68h. Se porte sur un bracelet en tissu avec boucle déployante en or rouge.
Enfin, touche finale voulue par l’artiste : pour déstructurer une composition qui joue à plein des effets de symétrie, Chantal Thomass a disséminé 11 paires de lèvres du rouge qu’elle affectionne tant. Dix sont des appliques en or sculptées à la main qui prennent place sur le mobile périphérique (et passent donc, comme l’ensemble du disque, sous le cadran horaire).
La onzième est peinte à la main, telle la signature de Chantal Thomass, sous celle de Jaquet Droz, sise à midi et survolée de deux aiguilles en or.
Plus concrètement, il s’agit d’une montre en or rouge de 43 mm, étanche à 30 mètres, dotée d’un cadran en onyx noir peint à la main et d’un réhaut en or rouge. Elle embarque un calibre mécanique automatique heures et minutes décentrées d’une réserve de marche, confortable, de 68h. Se porte sur un bracelet en tissu avec boucle déployante en or rouge.