Quel est votre parcours ?
Je suis entré dans l’horlogerie par passion. Très vite, cette passion m’a conduit dans les années 90, à rejoindre un spécialiste parisien des montres anciennes qui a développé professionnellement mes connaissances.
Par la suite, j’ai rejoint le groupe Les Montres (4 magasins parisiens) en tant que conseiller commercial. Parallèlement j’ai écrit, avec la contribution des grandes marques horlogères, trois livres sous forme d’agendas thématiques qui ont été largement diffusés en France et à l’étranger.
Ceci m’a amené à créer et animer pendant plusieurs années, une rubrique littéraire sur le site montres-de-luxe.com qui proposait chaque semaine une analyse d’une phrase d’auteur célèbre relative au temps.
Plus récemment, j’ai donné des cours en tant que professeur vacataire à l’IUT de Saint-Denis (Paris 13) en licence de techniques de commercialisation des produits de luxe et avec pour thématique l’horlogerie.
Depuis près d’un an, je propose avec enthousiasme mes connaissances en tant que spécialiste en horlogerie auprès de la Maison Millon.
Comment s’inscrit votre spécialité dans le monde des enchères aujourd’hui ?
Aujourd’hui, les montres sont devenues des objets de collection à part entière. En effet, on n’a plus besoin des montres comme pouvaient en avoir besoin nos aïeux. L’heure est fournie avec précision par nos smartphones, internet et les satellites.
Du coup les montres deviennent des garde-temps qu’on désire en tant qu’objets de collection, ou pour leurs technicités, ou comme symboles d’appartenance à une classe sociale, ou encore comme accessoires de mode, ou plus simplement pour porter une montre qui deviendra le fidèle témoin des événements de notre vie.
Les ventes aux enchères permettent justement, autant à l’acheteur occasionnel qu’au collectionneur chevronné d’acquérir une montre en ayant comme garantie une pré-sélection faite par l’expert sur l’authenticité, la qualité, la valeur et l’état de celle-ci.
En tant qu’expert et passionné du monde de l’horlogerie, les ventes aux enchères me permettent de communiquer cette passion aux futurs acquéreurs en leur apportant un maximum de garanties. Mon meilleur conseil : toujours acheter par goût et non par esprit spéculatif.
D’une manière générale et à quelques exceptions près, les ventes aux enchères permettent aussi d’acquérir une montre à un prix inférieur qu’elle ne serait proposée en boutique que cela soit dans le neuf ou l’ancien.
Quel est votre meilleur souvenir d’expertise ?
Le meilleur souvenir d’expertise concerne une montre de poche ultra plate en or blanc de la marque Vacheron-Constantin qui avait été offerte par le Roi Alexandre de Yougoslavie, quelques mois avant son assassinat en 1934, à Paul-Emile Naggiar, émissaire du gouvernement français et futur ambassadeur de France en Russie qui avait négocié un accord de paix face aux velléités territoriales de Mussolini durant la crise des Balkans. La montre était restée jusqu’à aujourd’hui dans la famille de Monsieur Paul-Emile Naggiar.
Mon plaisir à été d’accéder aux archives du quai d’Orsay afin de retrouver les notes personnelles de cet émissaire et de confirmer ainsi sa présence auprès du Roi Alexandre de Yougoslavie aux moments des faits.
Je suis entré dans l’horlogerie par passion. Très vite, cette passion m’a conduit dans les années 90, à rejoindre un spécialiste parisien des montres anciennes qui a développé professionnellement mes connaissances.
Par la suite, j’ai rejoint le groupe Les Montres (4 magasins parisiens) en tant que conseiller commercial. Parallèlement j’ai écrit, avec la contribution des grandes marques horlogères, trois livres sous forme d’agendas thématiques qui ont été largement diffusés en France et à l’étranger.
Ceci m’a amené à créer et animer pendant plusieurs années, une rubrique littéraire sur le site montres-de-luxe.com qui proposait chaque semaine une analyse d’une phrase d’auteur célèbre relative au temps.
Plus récemment, j’ai donné des cours en tant que professeur vacataire à l’IUT de Saint-Denis (Paris 13) en licence de techniques de commercialisation des produits de luxe et avec pour thématique l’horlogerie.
Depuis près d’un an, je propose avec enthousiasme mes connaissances en tant que spécialiste en horlogerie auprès de la Maison Millon.
Comment s’inscrit votre spécialité dans le monde des enchères aujourd’hui ?
Aujourd’hui, les montres sont devenues des objets de collection à part entière. En effet, on n’a plus besoin des montres comme pouvaient en avoir besoin nos aïeux. L’heure est fournie avec précision par nos smartphones, internet et les satellites.
Du coup les montres deviennent des garde-temps qu’on désire en tant qu’objets de collection, ou pour leurs technicités, ou comme symboles d’appartenance à une classe sociale, ou encore comme accessoires de mode, ou plus simplement pour porter une montre qui deviendra le fidèle témoin des événements de notre vie.
Les ventes aux enchères permettent justement, autant à l’acheteur occasionnel qu’au collectionneur chevronné d’acquérir une montre en ayant comme garantie une pré-sélection faite par l’expert sur l’authenticité, la qualité, la valeur et l’état de celle-ci.
En tant qu’expert et passionné du monde de l’horlogerie, les ventes aux enchères me permettent de communiquer cette passion aux futurs acquéreurs en leur apportant un maximum de garanties. Mon meilleur conseil : toujours acheter par goût et non par esprit spéculatif.
D’une manière générale et à quelques exceptions près, les ventes aux enchères permettent aussi d’acquérir une montre à un prix inférieur qu’elle ne serait proposée en boutique que cela soit dans le neuf ou l’ancien.
Quel est votre meilleur souvenir d’expertise ?
Le meilleur souvenir d’expertise concerne une montre de poche ultra plate en or blanc de la marque Vacheron-Constantin qui avait été offerte par le Roi Alexandre de Yougoslavie, quelques mois avant son assassinat en 1934, à Paul-Emile Naggiar, émissaire du gouvernement français et futur ambassadeur de France en Russie qui avait négocié un accord de paix face aux velléités territoriales de Mussolini durant la crise des Balkans. La montre était restée jusqu’à aujourd’hui dans la famille de Monsieur Paul-Emile Naggiar.
Mon plaisir à été d’accéder aux archives du quai d’Orsay afin de retrouver les notes personnelles de cet émissaire et de confirmer ainsi sa présence auprès du Roi Alexandre de Yougoslavie aux moments des faits.
