L’Aquatimer Deep Two marque le retour chez IWC, de la montre de plongée avec profondimètre mécanique. Elle possède tout ce dont le plongeur a besoin pour sa sécurité.
En effet, plonger, ce n’est pas seulement se glisser dans un environnement étranger fascinant. C’est aussi s’en remettre à la technique : profondeur, durée, vitesse de descente et de remontée, paliers de décompression, tous ces paramètres doivent être minutieusement étudiés pour que la plus belle des aventures ne se transforme pas en cauchemar…
Fort heureusement de nos jours, l’informatique vient à la rescousse des plongeurs et les libère de la plupart des calculs. Mais c’est un peu comme pour le parachutiste : si celui-ci pouvait être absolument certain que le système ne risque pas la moindre défaillance, quelles que soient les circonstances, il n’aurait nul besoin d’un parachute de réserve...
C’est précisément ici qu’interviennent, en ce qui concerne la plongée, les compétences de l’Aquatimer Deep Two, la deuxième montre de plongée d’IWC avec profondimètre mécanique et affichage de la profondeur maximale.
Techniquement, et par ses dimensions, la montre de plongée Aquatimer Deep Two s’annonce comme le « vaisseau amiral » de la nouvelle génération d’Aquatimer d’IWC. Elle est « l’ultime gardienne du temps » pour le plongeur, indiquant la durée d’une plongée sur une bague extérieure marquante.
En effet, plonger, ce n’est pas seulement se glisser dans un environnement étranger fascinant. C’est aussi s’en remettre à la technique : profondeur, durée, vitesse de descente et de remontée, paliers de décompression, tous ces paramètres doivent être minutieusement étudiés pour que la plus belle des aventures ne se transforme pas en cauchemar…
Fort heureusement de nos jours, l’informatique vient à la rescousse des plongeurs et les libère de la plupart des calculs. Mais c’est un peu comme pour le parachutiste : si celui-ci pouvait être absolument certain que le système ne risque pas la moindre défaillance, quelles que soient les circonstances, il n’aurait nul besoin d’un parachute de réserve...
C’est précisément ici qu’interviennent, en ce qui concerne la plongée, les compétences de l’Aquatimer Deep Two, la deuxième montre de plongée d’IWC avec profondimètre mécanique et affichage de la profondeur maximale.
Techniquement, et par ses dimensions, la montre de plongée Aquatimer Deep Two s’annonce comme le « vaisseau amiral » de la nouvelle génération d’Aquatimer d’IWC. Elle est « l’ultime gardienne du temps » pour le plongeur, indiquant la durée d’une plongée sur une bague extérieure marquante.
Celle-ci demeure d’ailleurs parfaitement opérationnelle même dans l’obscurité la plus totale, puisque la lunette abrite, sous l’anneau de 4mm en verre saphir, une dose hautement concentrée de substance luminescente Superluminova. Ce détail fonctionnel très important confère également à toute la gamme Aquatimer son nouveau visage, même si la lunette tournante extérieure a aussi été redessinée afin d’augmenter le confort d’utilisation.
Un deuxième paramètre essentiel pour le plongeur : la profondeur, et plus particulièrement la profondeur maximale d’un cycle de plongée, fait également de ce garde-temps un deuxième système de sécurité à part entière. Grâce à ces deux repères, le plongeur peut à tout moment prévoir les paliers de décompression qui s’imposent et s’arrêter à la profondeur requise pour achever sa plongée sans dommage.
L’aiguille des secondes, associée au profondimètre, permet en outre de contrôler très précisément la vitesse de remontée maximale de 10 mètres par minute… Parce qu’on n’est jamais trop prudent !
Dans sa boîte en acier de 46 mm de diamètre et 15,5 mm de hauteur, l’Aquatimer Deep Two abrite le calibre 30110, un mouvement automatique avec seconde centrale, date et une réserve de marche de 40 heures.
A noter, et c’est important, que sa véritable spécialité, la mesure de la profondeur, fonctionne totalement séparément et indépendamment. En d’autres termes : le profondimètre fonctionnerait même si le mouvement venait à s’arrêter.
Un deuxième paramètre essentiel pour le plongeur : la profondeur, et plus particulièrement la profondeur maximale d’un cycle de plongée, fait également de ce garde-temps un deuxième système de sécurité à part entière. Grâce à ces deux repères, le plongeur peut à tout moment prévoir les paliers de décompression qui s’imposent et s’arrêter à la profondeur requise pour achever sa plongée sans dommage.
L’aiguille des secondes, associée au profondimètre, permet en outre de contrôler très précisément la vitesse de remontée maximale de 10 mètres par minute… Parce qu’on n’est jamais trop prudent !
Dans sa boîte en acier de 46 mm de diamètre et 15,5 mm de hauteur, l’Aquatimer Deep Two abrite le calibre 30110, un mouvement automatique avec seconde centrale, date et une réserve de marche de 40 heures.
A noter, et c’est important, que sa véritable spécialité, la mesure de la profondeur, fonctionne totalement séparément et indépendamment. En d’autres termes : le profondimètre fonctionnerait même si le mouvement venait à s’arrêter.
Dans le cadre de la réalisation technique, les ingénieurs se sont certes inspirés des connaissances réunies lors de la construction de la montre de plongée GST Deep One il y a exactement dix ans, mais en empruntant des voies nouvelles pour la mesure de la pression sous l’eau.
La GST Deep One était munie d’un tube enroulé autour du mouvement qui se remplissait d’eau, à travers les microperforations d’une couronne valve, pendant un cycle de plongée et se tendait progressivement lorsque la pression d’eau augmentait, transmettant ainsi la pression ambiante à une aiguille double par l’intermédiaire d’un levier. Les axes de l’aiguille du profondimètre étaient amenés au milieu du mouvement. Cette montre pouvait mesurer des profondeurs jusqu’à 45 mètres.
Pour l’Aquatimer Deep Two, les ingénieurs d’IWC ont en revanche choisi une approche totalement nouvelle. Sur le côté gauche du cadran, cette montre possède un affichage semi-circulaire de la profondeur. Les profondeurs actuelle et maximale sont indiquées au moyen de deux pointes d’aiguille, en bleu et rouge.
Le système de mesure de la pression de cette nouvelle plongeuse se trouve dans une deuxième couronne, munie d’un couvercle, également du côté gauche du boîtier, c’est-à-dire du côté protégé.
Au-dessus du niveau de l’eau, le commutateur de pression est réglé sur « pression zéro », c’est-à-dire sur la pression atmosphérique normale. A travers les microperforations du couvercle de la couronne, la pression d’eau agit sur une membrane élastique commandée mécaniquement et enfonce une tige jusqu’au coeur du boîtier.
Ce mouvement défini avec une précision extrême, active à son tour un levier logé sous le rotor, soit juste derrière le fond de la boîte, et oriente les deux aiguilles par l’intermédiaire d’un rouage. La plus grande partie des deux aiguilles du profondimètre reste pourtant invisible de l’extérieur. Seules les pointes surélevées au niveau du cadran apparaissent dans un demi-cercle découpé dans celui-ci et balaient l’échelle graduée.
A noter également que les aiguilles sont guidées autour du mouvement. Une solution qui a l’avantage d’éviter le parcours des axes au milieu du mouvement. L’indicateur de la profondeur (bleu) bouge, en fonction de la profondeur actuelle, sur le champ blanc. L’indicateur de la profondeur maximale (rouge) est toujours figé sur la plus grande profondeur atteinte. Il est en effet logé sur une roue munie d’une denture spéciale qui s’accroche dans un cliquet et arrête la roue après chaque mouvement partiel supplémentaire (vers une profondeur supérieure). Ce cliquet ne peut être libéré que par le biais d’un bouton fixé sous la couronne-valve du côté gauche du boîtier.
La GST Deep One était munie d’un tube enroulé autour du mouvement qui se remplissait d’eau, à travers les microperforations d’une couronne valve, pendant un cycle de plongée et se tendait progressivement lorsque la pression d’eau augmentait, transmettant ainsi la pression ambiante à une aiguille double par l’intermédiaire d’un levier. Les axes de l’aiguille du profondimètre étaient amenés au milieu du mouvement. Cette montre pouvait mesurer des profondeurs jusqu’à 45 mètres.
Pour l’Aquatimer Deep Two, les ingénieurs d’IWC ont en revanche choisi une approche totalement nouvelle. Sur le côté gauche du cadran, cette montre possède un affichage semi-circulaire de la profondeur. Les profondeurs actuelle et maximale sont indiquées au moyen de deux pointes d’aiguille, en bleu et rouge.
Le système de mesure de la pression de cette nouvelle plongeuse se trouve dans une deuxième couronne, munie d’un couvercle, également du côté gauche du boîtier, c’est-à-dire du côté protégé.
Au-dessus du niveau de l’eau, le commutateur de pression est réglé sur « pression zéro », c’est-à-dire sur la pression atmosphérique normale. A travers les microperforations du couvercle de la couronne, la pression d’eau agit sur une membrane élastique commandée mécaniquement et enfonce une tige jusqu’au coeur du boîtier.
Ce mouvement défini avec une précision extrême, active à son tour un levier logé sous le rotor, soit juste derrière le fond de la boîte, et oriente les deux aiguilles par l’intermédiaire d’un rouage. La plus grande partie des deux aiguilles du profondimètre reste pourtant invisible de l’extérieur. Seules les pointes surélevées au niveau du cadran apparaissent dans un demi-cercle découpé dans celui-ci et balaient l’échelle graduée.
A noter également que les aiguilles sont guidées autour du mouvement. Une solution qui a l’avantage d’éviter le parcours des axes au milieu du mouvement. L’indicateur de la profondeur (bleu) bouge, en fonction de la profondeur actuelle, sur le champ blanc. L’indicateur de la profondeur maximale (rouge) est toujours figé sur la plus grande profondeur atteinte. Il est en effet logé sur une roue munie d’une denture spéciale qui s’accroche dans un cliquet et arrête la roue après chaque mouvement partiel supplémentaire (vers une profondeur supérieure). Ce cliquet ne peut être libéré que par le biais d’un bouton fixé sous la couronne-valve du côté gauche du boîtier.
L’effet de ressort ramène alors aussi l’aiguille de la profondeur maximale à la position de l’indicateur de la profondeur. « Un système très sûr » souligne la marque dans son communiqué.
A une indication de profondeur de 50 mètres, le commutateur de pression protégé par un ressort touche sa butée. D’un point de vue purement théorique, la montre résistant à une pression de 12 bar permettrait de plonger encore plus profond, mais alors, la profondeur effective n’est plus indiquée.
La profondeur maximale recommandée pour un plongeur amateur ne devrait de toute façon pas excéder 40 mètres. La couronne avec valve pour l’élément de mesure a encore une deuxième fonction: elle se tourne pour calibrer exactement les deux aiguilles du profondimètre. Le couvercle, encastré et fixé par une charnière sur la couronne-valve, s’ouvre pour nettoyer le système si c’est nécessaire.
Il va sans dire que l’Aquatimer Deep Two possède une glace saphir sphérique traitée antireflet des deux côtés. Enfin, cette montre est proposée avec un bracelet en acier ou en caoutchouc noir, ou un bracelet scratch pour la plongée. Les deux bracelets et le bracelet long à scratch livré avec se remplacent bien entendu aisément grâce au nouveau système de remplacement rapide de bracelets**. Le fond en acier de l’Aquatimer Deep Two est orné d’une gravure en relief évoquant… un casque de plongeur.
A une indication de profondeur de 50 mètres, le commutateur de pression protégé par un ressort touche sa butée. D’un point de vue purement théorique, la montre résistant à une pression de 12 bar permettrait de plonger encore plus profond, mais alors, la profondeur effective n’est plus indiquée.
La profondeur maximale recommandée pour un plongeur amateur ne devrait de toute façon pas excéder 40 mètres. La couronne avec valve pour l’élément de mesure a encore une deuxième fonction: elle se tourne pour calibrer exactement les deux aiguilles du profondimètre. Le couvercle, encastré et fixé par une charnière sur la couronne-valve, s’ouvre pour nettoyer le système si c’est nécessaire.
Il va sans dire que l’Aquatimer Deep Two possède une glace saphir sphérique traitée antireflet des deux côtés. Enfin, cette montre est proposée avec un bracelet en acier ou en caoutchouc noir, ou un bracelet scratch pour la plongée. Les deux bracelets et le bracelet long à scratch livré avec se remplacent bien entendu aisément grâce au nouveau système de remplacement rapide de bracelets**. Le fond en acier de l’Aquatimer Deep Two est orné d’une gravure en relief évoquant… un casque de plongeur.
Les plongeuses récentes équipées de profondimètres
Depuis quelques temps, les marques de montres de luxe intègrent des profondimètres à leurs montres de plongée les plus prestigieuses… Chez Jaeger-LeCoultre, tout comme chez IWC, le profondimètre de la Master Compressor Diving Pro Geographic est mécanique (profondeur 80 mètres). De son côté, Officine Panerai a opté pour sa Luminor 1950 submersible Depht Gauge pour un profondimètre (profondeur 120 mètres) fonctionnant grâce à une pile au lithium.
Spécificités techniques de l’IWC Aquatimer Deep Two
Mouvement
Calibre 30110 Remontage automatique
Alternances 28 800/h
Rubis 21
Réserve de marche 40 h
Boîtier
Matériau acier inoxydable
Verre saphir, sphérique, antireflet
Couronne vissée
Diamètre 46mm
Hauteur 15,5mm
Etanchéité 12 bar
Poids
Montre en acier inoxydable avec bracelet caoutchouc 135 g
Montre en acier inoxydable avec bracelet acier 205 g
Aquatimer Deep Two Ref. IW3547
** Le système de bracelet interchangeable Aquatimer a été développé par IWC sous licence d’un brevet Cartier.
Calibre 30110 Remontage automatique
Alternances 28 800/h
Rubis 21
Réserve de marche 40 h
Boîtier
Matériau acier inoxydable
Verre saphir, sphérique, antireflet
Couronne vissée
Diamètre 46mm
Hauteur 15,5mm
Etanchéité 12 bar
Poids
Montre en acier inoxydable avec bracelet caoutchouc 135 g
Montre en acier inoxydable avec bracelet acier 205 g
Aquatimer Deep Two Ref. IW3547
** Le système de bracelet interchangeable Aquatimer a été développé par IWC sous licence d’un brevet Cartier.