Le premier chapitre de la série Luna Magna Ultimate a vu le jour sous le signe de la lumière et de la précision astronomique. Cette Luna Magna Ultimate I propose un imposant boitier de 44 mm en or gris (étanche à 30 mètres), serti de 7,62 carats de diamants dont 20 diamants baguette pour les cornes du boîtier, taillés un à un, en fonction de la forme particulière de ces attaches.
En orbite autour du boîtier, un anneau fin comme celui de Saturne tient lieu de lunette. Il est constitué de 112 diamants de taille baguette totalisant 5,90 carats. La lumière y pénètre pleinement, comme dans un prisme ouvert, grâce au serti invisible deux rangs permettant d’obtenir un éclat incomparable.
La matière du cadran : derrière son apparence pailletée bleue se tiennent des centaines de cristaux de ruthénium pur. Ce métal extrêmement dur fait partie de la mine du platine, c’est à dire qu’ils sont mélangés dans un même minerai. Leur séparation est un processus complexe qui rend le ruthénium
dix fois plus rare. Il a été ici recomposé en cristaux ensuite déposés sur une plaque de cadran puis bleuis.
En orbite autour du boîtier, un anneau fin comme celui de Saturne tient lieu de lunette. Il est constitué de 112 diamants de taille baguette totalisant 5,90 carats. La lumière y pénètre pleinement, comme dans un prisme ouvert, grâce au serti invisible deux rangs permettant d’obtenir un éclat incomparable.
La matière du cadran : derrière son apparence pailletée bleue se tiennent des centaines de cristaux de ruthénium pur. Ce métal extrêmement dur fait partie de la mine du platine, c’est à dire qu’ils sont mélangés dans un même minerai. Leur séparation est un processus complexe qui rend le ruthénium
dix fois plus rare. Il a été ici recomposé en cristaux ensuite déposés sur une plaque de cadran puis bleuis.
A l’intérieur de ce cercle d’éclats bleus se trouve un cadran au sens classique du terme, gradué de douze chiffres romains, de la signature Arnold & Son et qui accueille les aiguilles. Ce sous-cadran excentré doit sa couleur à l’opale blanche. L’ensemble est protégé par un verre saphir bombé.
Sous les heures, on trouve une Lune tridimensionnelle (12mm, en or gris), particularité des Luna Magna. Un sertissage des plus fins recouvre tout le globe d’or gris. Il se répartit en 161 diamants taille brillant pour le jour et autant de saphirs bleus pour la nuit. La démarcation entre les deux est une ondulation entre blanc et bleu épousant la ligne des pierres.
Sous les heures, on trouve une Lune tridimensionnelle (12mm, en or gris), particularité des Luna Magna. Un sertissage des plus fins recouvre tout le globe d’or gris. Il se répartit en 161 diamants taille brillant pour le jour et autant de saphirs bleus pour la nuit. La démarcation entre les deux est une ondulation entre blanc et bleu épousant la ligne des pierres.
Côté moteur, il s’agit du calibre A&S1021 à remontage manuel, « entièrement développé, usiné, assemblé et réglé au sein de la manufacture Arnold & Son » assure le communiqué de la marque. Ce calibre aux finitions horlogères, est pensé autour du globe lunaire ; il présente une réserve de marche de 90h et un organe réglant cadencé à 3 Hz. Côté fond, le mouvement offre un affichage secondaire de l’âge de la lune, dont les graduations très lisibles sont destinées au réglage de grande précision du globe lunaire.
Cette « mécanique céleste » repose également sur sa fidélité à la réalité astronomique. En effet, la durée d’un cycle lunaire complet est de 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2,8 secondes. Arnold & Son réussit à l’approximer de telle manière qu’il faudra attendre 122 ans avant que ce mouvement n’accumule un jour d’écart entre son affichage et la réalité céleste. Une erreur facile à corriger puisque la fonction lunaire est en l’occurrence, accessible directement depuis la couronne.
L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator bleu ou noir doublé alligator noir ou bleu cousu main associé à une boucle ardillon en or gris sertie de 26 diamants baguette (~0,97 ct).
Cette « mécanique céleste » repose également sur sa fidélité à la réalité astronomique. En effet, la durée d’un cycle lunaire complet est de 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2,8 secondes. Arnold & Son réussit à l’approximer de telle manière qu’il faudra attendre 122 ans avant que ce mouvement n’accumule un jour d’écart entre son affichage et la réalité céleste. Une erreur facile à corriger puisque la fonction lunaire est en l’occurrence, accessible directement depuis la couronne.
L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator bleu ou noir doublé alligator noir ou bleu cousu main associé à une boucle ardillon en or gris sertie de 26 diamants baguette (~0,97 ct).