Avant de présenter cette nouveauté 2024, rappelons que la Riviera et sa lunette à douze pans est née en 1973 sous les traits de crayons du designer horloger de renom Jean-Paul Gueit ; qui sera également le « papa » de la fameuse Polo dans les années 80 qui a été rééditée cette année de manière magistrale par Piaget !
Cette montre en acier et sportive apparait donc sur le marché un an après la Royal Oak d’Audemars Piguet (1972) mais trois ans avant la Nautilus de Patek Philippe (1976).
Certes, dans une gamme de prix nettement inférieure, mais dans le même esprit, à savoir une montre chic et sportive capable d’être portée la semaine et le week-end en toute circonstance. Bref, un garde-temps très seventies et eighties qui sera par la suite et pendant de longues années, décliné dans de très nombreuses versions…
Cette montre en acier et sportive apparait donc sur le marché un an après la Royal Oak d’Audemars Piguet (1972) mais trois ans avant la Nautilus de Patek Philippe (1976).
Certes, dans une gamme de prix nettement inférieure, mais dans le même esprit, à savoir une montre chic et sportive capable d’être portée la semaine et le week-end en toute circonstance. Bref, un garde-temps très seventies et eighties qui sera par la suite et pendant de longues années, décliné dans de très nombreuses versions…
La collection Riviera fut relancée il y a plus de quatre ans par Baume & Mercier et s’est dotée depuis, de nombreuses versions (trois-aiguilles, plongée, chronographe, phases de lune, GMT) en différentes tailles (de 33 mm à 43 mm de diamètre). Aujourd’hui, elle revient en 33 mm avec cadran rose et calibre mécanique automatique.
Sur le cadran, les chiffres romains et les index sont rivés rhodiés et enduits de Superluminova (émission bleue). Quant aux aiguilles, elles sont facettées rhodiées et la date se trouve à 3h. Classique.
La boîte en acier poli et satiné affiche une taille très féminine de 33 mm de diamètre et de 9,6 mm d’épaisseur. Une glace saphir inrayable traitée antireflet sur les deux faces protège le cadran. Fixée par quatre vis en acier poli, la lunette est en acier poli et satiné.
Le fond dodécagonal est lui-même protégé par une glace saphir et peut faire l’objet d’une gravure sur-mesure. Tout en relief, le logo Phi est gravé sur la couronne octogonale libre. On peut découvrir le mouvement automatique (un Sellita) d’une réserve de marche standard de 38 heures.
Le bracelet intégré en caoutchouc rose grainé et satiné accentue cet effet chromatique ludique et particulièrement féminin. Un système permet de le changer sans outils, au gré de ses envies. Sa boucle déployante en acier inoxydable dispose de poussoirs de sécurité et d’un réglage d’aisance
Existe également en blanc, en bleu ou en vert en versions quartz. Tous ces modèles arrivent en boutique ce mois-ci.
Sur le cadran, les chiffres romains et les index sont rivés rhodiés et enduits de Superluminova (émission bleue). Quant aux aiguilles, elles sont facettées rhodiées et la date se trouve à 3h. Classique.
La boîte en acier poli et satiné affiche une taille très féminine de 33 mm de diamètre et de 9,6 mm d’épaisseur. Une glace saphir inrayable traitée antireflet sur les deux faces protège le cadran. Fixée par quatre vis en acier poli, la lunette est en acier poli et satiné.
Le fond dodécagonal est lui-même protégé par une glace saphir et peut faire l’objet d’une gravure sur-mesure. Tout en relief, le logo Phi est gravé sur la couronne octogonale libre. On peut découvrir le mouvement automatique (un Sellita) d’une réserve de marche standard de 38 heures.
Le bracelet intégré en caoutchouc rose grainé et satiné accentue cet effet chromatique ludique et particulièrement féminin. Un système permet de le changer sans outils, au gré de ses envies. Sa boucle déployante en acier inoxydable dispose de poussoirs de sécurité et d’un réglage d’aisance
Existe également en blanc, en bleu ou en vert en versions quartz. Tous ces modèles arrivent en boutique ce mois-ci.
