Les activités purement horlogères constituent bien entendu l’âme de Breguet, mais les intérêts des descendants d’Abraham-Louis Breguet (inventeur du tourbillon) allaient parfois bien au-delà, à l’image de ceux de Louis Breguet…
De fait, perpétuant le génie de son arrière-arrière-grand-père, il se lance dans la conquête de l’air dès 1907. Louis Breguet ne tarde pas à se faire un nom dans ce milieu grâce à plusieurs inventions notables telles que le gyroplane, ancêtre de l’hélicoptère, ou le fameux Breguet XIV, un avion biplan.
Parallèlement aux activités aéronautiques de la société d’aviation Louis Breguet, la maison d’horlogerie Breguet conçoit des mécanismes de chronographes montés sur les tableaux de bord des cockpits et commence à produire des montres pour aviateurs. C’est ainsi qu’elle développe, en 1935, ses premiers chronographes de poignet.
De fait, perpétuant le génie de son arrière-arrière-grand-père, il se lance dans la conquête de l’air dès 1907. Louis Breguet ne tarde pas à se faire un nom dans ce milieu grâce à plusieurs inventions notables telles que le gyroplane, ancêtre de l’hélicoptère, ou le fameux Breguet XIV, un avion biplan.
Parallèlement aux activités aéronautiques de la société d’aviation Louis Breguet, la maison d’horlogerie Breguet conçoit des mécanismes de chronographes montés sur les tableaux de bord des cockpits et commence à produire des montres pour aviateurs. C’est ainsi qu’elle développe, en 1935, ses premiers chronographes de poignet.
Naturellement, Longines, Zenith, Tissot, IWC, Eterna, Oris, Breitling, Junghans et bien d’autres ont toutes fabriquées des montres d’aviateurs. Pour les pilotes civils et/ou les militaires. Mais s’il en est une qui est légitime, voire ultra-légitime, c’est bien Breguet, puisque cette manufacture est tout simplement la seule à avoir produit des montres ET des avions !
Une vingtaine d’années plus tard, à partir de 1958, Breguet lancera donc la production du modèle Type XX sur commande des forces armées françaises ; c’est ce célèbre chronographe qui équipera pendant une vingtaine d’années, l’Armée de l’Air et l’Aéronautique navale françaises.
La première série fut produite à 500 exemplaires, tous numérotés et fut livrée en 1960 à l’armée française. Doté de la fonction « retour en vol » comme tous les Type XX, cette montre est repérable à la mention caractéristique « Breguet Marine Nationale Aéronautique Navale » gravée sur son fond. C’est ce Type XX qui restera en service jusqu’au début des années 1980, qui est aujourd’hui l’un des plus convoités.
Pour la petite histoire, ces montres de dotation appartenaient à l’état français. Les pilotes n’avaient donc a priori pas le droit de les garder… Sauf dans un cas bien précis : s’ils devaient s’éjecter de leur avion ! C’est surement pour cela que bon nombre de militaires ont « perdu » leur montre juste avant de quitter l’armée…
Une vingtaine d’années plus tard, à partir de 1958, Breguet lancera donc la production du modèle Type XX sur commande des forces armées françaises ; c’est ce célèbre chronographe qui équipera pendant une vingtaine d’années, l’Armée de l’Air et l’Aéronautique navale françaises.
La première série fut produite à 500 exemplaires, tous numérotés et fut livrée en 1960 à l’armée française. Doté de la fonction « retour en vol » comme tous les Type XX, cette montre est repérable à la mention caractéristique « Breguet Marine Nationale Aéronautique Navale » gravée sur son fond. C’est ce Type XX qui restera en service jusqu’au début des années 1980, qui est aujourd’hui l’un des plus convoités.
Pour la petite histoire, ces montres de dotation appartenaient à l’état français. Les pilotes n’avaient donc a priori pas le droit de les garder… Sauf dans un cas bien précis : s’ils devaient s’éjecter de leur avion ! C’est surement pour cela que bon nombre de militaires ont « perdu » leur montre juste avant de quitter l’armée…
La convoitise pour ces modèles sera telle qu’elle poussera la maison à éditer une version civile... Dotés ou non d’un totalisateur des heures, mais toujours équipés de la fonction « Retour en vol », ces modèles intègrent de légères variantes (lunettes tournantes, remontoirs, cadrans) qui font la joie des collectionneurs.
Le chronographe Type XX que la Maison Breguet vient d’acquérir appartient à la première génération de ces garde-temps. Il se distingue par une boîte en acier brossé et des attaches de bracelet légèrement galbées. Son boîtier de 38,5 mm accueille un cadran dans des teintes brun foncé sur lequel sont placés des aiguilles et des chiffres arabes luminescents. Produite en 1967, cette pièce avait initialement été vendue le 26 janvier 1968.
Ce chrono a été acquis à New York le 26 octobre dernier lors d’une vente aux enchères Phillips dédiée à cinquante modèles iconiques du 20ème siècle. Cette nouvelle acquisition vient enrichir la large collection de montres anciennes Breguet présentées dans ses musées de Paris et de Zurich, ainsi que dans leur antenne de Shanghai.
Le chronographe Type XX que la Maison Breguet vient d’acquérir appartient à la première génération de ces garde-temps. Il se distingue par une boîte en acier brossé et des attaches de bracelet légèrement galbées. Son boîtier de 38,5 mm accueille un cadran dans des teintes brun foncé sur lequel sont placés des aiguilles et des chiffres arabes luminescents. Produite en 1967, cette pièce avait initialement été vendue le 26 janvier 1968.
Ce chrono a été acquis à New York le 26 octobre dernier lors d’une vente aux enchères Phillips dédiée à cinquante modèles iconiques du 20ème siècle. Cette nouvelle acquisition vient enrichir la large collection de montres anciennes Breguet présentées dans ses musées de Paris et de Zurich, ainsi que dans leur antenne de Shanghai.