Le Chronomat est une montre très typée "années 80/90"… Un concurrent direct de la Rolex Daytona à l’époque, qui n’avait pas l’aura qu’on lui connait aujourd’hui, rappelons-le.
On l’a vu au poignet des plus grands acteurs de l’époque de Jean-Paul Belmondo (Itinéraire d’un enfant gâté) à Will Smith (Men in Black) en passant par Daniel Craig (Lara Croft), Jackie Chan (Le Médaillon) ou Bruce Willis (Colour of night).
Ce ne sont là que quelques exemples, mais qui montrent bien la popularité de ce chrono de 39 mm né en 1984 et qui était équipé du fameux calibre 7750 et de sa masse oscillante que l’on sentait tourner au moindre mouvement du poignet.
On l’a vu au poignet des plus grands acteurs de l’époque de Jean-Paul Belmondo (Itinéraire d’un enfant gâté) à Will Smith (Men in Black) en passant par Daniel Craig (Lara Croft), Jackie Chan (Le Médaillon) ou Bruce Willis (Colour of night).
Ce ne sont là que quelques exemples, mais qui montrent bien la popularité de ce chrono de 39 mm né en 1984 et qui était équipé du fameux calibre 7750 et de sa masse oscillante que l’on sentait tourner au moindre mouvement du poignet.
Ce modèle emblématique de chez Breitling, qui reste d’ailleurs, chez l’homme, l’un des best-sellers de la marque avait déjà existé en version féminine… Mais il était temps de lui insuffler un nouveau souffle.
Ces nouveautés sont donc disponibles en deux tailles (Automatic de 36 mm et SuperQuartz de 32 mm) et se présentent dans un large éventail de boîtiers en métal, allant d’un style décontracté (acier inoxydable) à luxueux (or rouge 18 carats) en passant par le bicolore qui rappelle les années 80 justement. A noter la possibilité d’opter pour une lunette et des index sertis de diamants pour un look résolument sport-chic .
La version Chronomat Automatique 36 est animée par le Calibre Breitling 10, un mouvement doté d’une réserve de marche d’environ 42 heures. Plus précisément, elle se décline en dix versions avec des cadrans spécialement laqués blanc, vert pâle, bleu nuit ou cuivre.
Ces nouveautés sont donc disponibles en deux tailles (Automatic de 36 mm et SuperQuartz de 32 mm) et se présentent dans un large éventail de boîtiers en métal, allant d’un style décontracté (acier inoxydable) à luxueux (or rouge 18 carats) en passant par le bicolore qui rappelle les années 80 justement. A noter la possibilité d’opter pour une lunette et des index sertis de diamants pour un look résolument sport-chic .
La version Chronomat Automatique 36 est animée par le Calibre Breitling 10, un mouvement doté d’une réserve de marche d’environ 42 heures. Plus précisément, elle se décline en dix versions avec des cadrans spécialement laqués blanc, vert pâle, bleu nuit ou cuivre.
La version Chronomat 32, quant à elle, est animée par le Calibre Breitling 77, et a une autonomie de trois à quatre ans. Elle est disponible en sept versions avec des cadrans blancs ou bleu nuit. Tous sont protégés par un verre saphir traité antireflet.
Comme tous les garde-temps de la marque, ces chronomètres sont certifiés COSC. Ils sont tous étanches à 100 mètres (la fameuse couronne de type « ogive » est non vissée).
On retrouve bien évidement, l’emblématique bracelet Rouleaux de Breitling, un bracelet en « chute » très agréable au porté et fermé par une boucle déployante.
Comme tous les garde-temps de la marque, ces chronomètres sont certifiés COSC. Ils sont tous étanches à 100 mètres (la fameuse couronne de type « ogive » est non vissée).
On retrouve bien évidement, l’emblématique bracelet Rouleaux de Breitling, un bracelet en « chute » très agréable au porté et fermé par une boucle déployante.
