Intitulée « 125 ans de Magnificence Italienne », cette exposition retracera les principaux chapitres de l’histoire de la maison Bulgari et de l’évolution de son design, depuis l’ouverture de la première boutique via Sistina, en 1884, jusqu’à nos jours.
Une véritable saga illustrée par plus de 600 chefs-d’œuvre de joaillerie, d’horlogerie et d’arts décoratifs, dont une centaine de pièces exclusives, présentées pour la première fois au grand public.
Certaines pièces sont issues de la collection Vintage de Bulgari –trésor historique exceptionnel conservé dans les archives de la société– et d’autres proviennent de collections privées prêtées par leur propriétaires pour l’événement.
Les visiteurs pourront notamment admirer trois pièces provenant de la famille Grimaldi : un collier ayant appartenu à la Princesse Grace Kelly, ainsi qu’un coupe-papier et un étui à cigarettes provenant des effets personnels du Prince Reigner de Monaco.
L’exposition s’organisera en huit parties, classées par ordre chronologique. L’itinéraire commencera par une collection d’objets en argent créés à la fin du XIXe siècle par Sotirio Bulgari, orfèvre grec à l’esprit créatif et au grand sens de l’entreprise, qui s’installa à Rome pour y faire fortune et qui posa en 1884 les fondations de ce qui allait devenir l’une des plus grandes maisons de joaillerie au monde. Ces pièces sont les seuls vestiges témoignant encore des tous débuts de la production de Bulgari.
Le visiteur découvrira ensuite un espace consacré aux créations des années 1920 et 1930, série de réalisations en diamants inspirées par l’Art déco et témoins de l’immense réussite de la maison Bulgari, alors dirigée par les deux fils du fondateur, Giorgio et Costantino Bulgari.
Une véritable saga illustrée par plus de 600 chefs-d’œuvre de joaillerie, d’horlogerie et d’arts décoratifs, dont une centaine de pièces exclusives, présentées pour la première fois au grand public.
Certaines pièces sont issues de la collection Vintage de Bulgari –trésor historique exceptionnel conservé dans les archives de la société– et d’autres proviennent de collections privées prêtées par leur propriétaires pour l’événement.
Les visiteurs pourront notamment admirer trois pièces provenant de la famille Grimaldi : un collier ayant appartenu à la Princesse Grace Kelly, ainsi qu’un coupe-papier et un étui à cigarettes provenant des effets personnels du Prince Reigner de Monaco.
L’exposition s’organisera en huit parties, classées par ordre chronologique. L’itinéraire commencera par une collection d’objets en argent créés à la fin du XIXe siècle par Sotirio Bulgari, orfèvre grec à l’esprit créatif et au grand sens de l’entreprise, qui s’installa à Rome pour y faire fortune et qui posa en 1884 les fondations de ce qui allait devenir l’une des plus grandes maisons de joaillerie au monde. Ces pièces sont les seuls vestiges témoignant encore des tous débuts de la production de Bulgari.
Le visiteur découvrira ensuite un espace consacré aux créations des années 1920 et 1930, série de réalisations en diamants inspirées par l’Art déco et témoins de l’immense réussite de la maison Bulgari, alors dirigée par les deux fils du fondateur, Giorgio et Costantino Bulgari.
La salle suivante présentera les créations des années 1940 et 1950, période durant laquelle le style Bulgari est fortement influencé par l’école française.
Viendra ensuite une partie consacrée aux années 1960, décennie qui marqua un changement aussi radical qu’essentiel dans la définition de l’identité Bulgari. C’est durant ces années en effet qu’apparurent les traits distinctifs qui ont fait la renommée de la maison italienne –formes affirmées et stylisées, douceur des volumes, associations de couleurs totalement inédites– et ont défini son style inimitable.
Les trois salles suivantes abriteront respectivement des créations des années 1970, fortement influencées par le pop art, 1980, marquées par un design particulièrement audacieux et inventif, et 1990.
La dernière partie de l’exposition sera présentée sous le dôme vitré du Grand Palais dans un étonnant jeu de miroirs reconstituant un immense diamant au cœur de l’installation. Cette partie centrale rassemblera quelques-unes des plus splendides créations réalisées depuis l’an 2000, témoins du succès continu du joaillier italien, trois générations après son fondateur. Parmi les pièces les plus spectaculaires figurera une somptueuse rivière de diamants estimée à plus… de vingt millions d’euros.
Plusieurs salles proposeront des espaces thématiques consacrés à des moments particulièrement décisifs dans l’évolution du style Bulgari, comme les gemmes nummarie, ou « joyaux numismatiques », qui substituent des pièces de l’Antiquité aux pierres précieuses, ou encore le motif du serpent, grand classique de la joaillerie brillamment réinterprété par Bulgari au fil des ans, ou enfin le fameux logo BVLGARI lui-même, inspiré par l’épigraphie de la Rome antique et transformé en élément ornemental, trait essentiel de nombreuses collections couronnées de succès.
En plus des créations en joaillerie et horlogerie, la rétrospective exposera également une collection de documents, dont des croquis et dessins tirés de différentes périodes ainsi que des photos d’artistes, aristocrates et célébrités tombés sous le charme des joyaux de la maison italienne depuis sa création.
Bon nombre de ces documents seront présentés pour la première fois au public. Une partie entière sera ainsi consacrée aux années de la « dolce vita », avec des portraits et citations de monstres sacrés de l’époque, des esquisses de bijoux portés à l’écran par les plus grandes actrices du moment et d’autres documents illustrant les liens étroits qui unissent Bulgari et le septième art, noués au cours des années 1940 et entretenus depuis.
Viendra ensuite une partie consacrée aux années 1960, décennie qui marqua un changement aussi radical qu’essentiel dans la définition de l’identité Bulgari. C’est durant ces années en effet qu’apparurent les traits distinctifs qui ont fait la renommée de la maison italienne –formes affirmées et stylisées, douceur des volumes, associations de couleurs totalement inédites– et ont défini son style inimitable.
Les trois salles suivantes abriteront respectivement des créations des années 1970, fortement influencées par le pop art, 1980, marquées par un design particulièrement audacieux et inventif, et 1990.
La dernière partie de l’exposition sera présentée sous le dôme vitré du Grand Palais dans un étonnant jeu de miroirs reconstituant un immense diamant au cœur de l’installation. Cette partie centrale rassemblera quelques-unes des plus splendides créations réalisées depuis l’an 2000, témoins du succès continu du joaillier italien, trois générations après son fondateur. Parmi les pièces les plus spectaculaires figurera une somptueuse rivière de diamants estimée à plus… de vingt millions d’euros.
Plusieurs salles proposeront des espaces thématiques consacrés à des moments particulièrement décisifs dans l’évolution du style Bulgari, comme les gemmes nummarie, ou « joyaux numismatiques », qui substituent des pièces de l’Antiquité aux pierres précieuses, ou encore le motif du serpent, grand classique de la joaillerie brillamment réinterprété par Bulgari au fil des ans, ou enfin le fameux logo BVLGARI lui-même, inspiré par l’épigraphie de la Rome antique et transformé en élément ornemental, trait essentiel de nombreuses collections couronnées de succès.
En plus des créations en joaillerie et horlogerie, la rétrospective exposera également une collection de documents, dont des croquis et dessins tirés de différentes périodes ainsi que des photos d’artistes, aristocrates et célébrités tombés sous le charme des joyaux de la maison italienne depuis sa création.
Bon nombre de ces documents seront présentés pour la première fois au public. Une partie entière sera ainsi consacrée aux années de la « dolce vita », avec des portraits et citations de monstres sacrés de l’époque, des esquisses de bijoux portés à l’écran par les plus grandes actrices du moment et d’autres documents illustrant les liens étroits qui unissent Bulgari et le septième art, noués au cours des années 1940 et entretenus depuis.
Mais les véritables stars de cette partie de l’exposition seront les joyaux eux-mêmes, des créations spectaculaires portées par Anna Magnani ou Gina Lollobrigida. Une salle à part sera exclusivement consacrée à la fabuleuse collection privée d’Elizabeth Taylor. L’occasion exceptionnelle d’admirer quelques-unes des créations les plus extraordinaires de Bulgari : seize pièces uniques et pratiquement inestimables, chacune avec sa propre histoire.
On notera par exemple la broche en diamant avec émeraude centrale de plus de 18 carats qui fut offerte à la star par Richard Burton à l’occasion de leurs fiançailles en 1962. Elizabeth Taylor ne voulut porter aucun autre bijou le jour de son premier mariage avec Burton, le 15 mars 1964. Les objets d’Elizabeth Taylor s’enrichissent grâce à l’ajout du trophée David di Donatello qu’elle a reçu en 1959 pour le film « Soudain l’été dernier » de Joseph Man.
Toutes les pièces de l’exposition ont fait l’objet d’une analyse experte avec consultation des sources historiques et scientifiques faisant autorité par Amanda Triossi, directrice de la rétrospective et auteur du catalogue qui l’accompagne (320 pages de documentation et de photographies aux éditions Skira). Directrice des archives de la maison Bulgari et de sa collection Vintage depuis 1997, Amanda Triossi a signé les deux éditions (1995 et 2007) de la monographie consacrée à l’histoire de la maison.
Francesco Trapani, PDG du groupe Bulgari, a déclaré à cette occasion : « Le Grand Palais nous offre l’immense privilège d’exposer en ses murs des pièces de notre riche patrimoine : une collection de joyaux et d’objets précieux retraçant plus d’un siècle d’histoire de notre marque. Ce sera pour Bulgari l’occasion d’accroître sa notoriété sur le marché français, marché stratégique pour le secteur du luxe. Cette exposition témoignera également du lien particulier qui unit Bulgari à Paris depuis le début des années 1920, époque où la ville française, alors capitale des arts décoratifs au rayonnement international, fut une source d’inspiration majeure pour les créations artistiques et visionnaires de mon grand-père Sotirio et de son fils Giorgio Bulgari. Depuis lors, les codes esthétiques de la marque ont évolué. Mêlant héritage grec et élégance romaine, le style Bulgari est unique et emblématique. L’exposition de Paris fait suite à celle qui s’est tenue au Palazzo delle Esposizioni à Rome en 2009 pour le 125e anniversaire de la maison, et nous espérons que tous les visiteurs l’apprécieront. »
On notera par exemple la broche en diamant avec émeraude centrale de plus de 18 carats qui fut offerte à la star par Richard Burton à l’occasion de leurs fiançailles en 1962. Elizabeth Taylor ne voulut porter aucun autre bijou le jour de son premier mariage avec Burton, le 15 mars 1964. Les objets d’Elizabeth Taylor s’enrichissent grâce à l’ajout du trophée David di Donatello qu’elle a reçu en 1959 pour le film « Soudain l’été dernier » de Joseph Man.
Toutes les pièces de l’exposition ont fait l’objet d’une analyse experte avec consultation des sources historiques et scientifiques faisant autorité par Amanda Triossi, directrice de la rétrospective et auteur du catalogue qui l’accompagne (320 pages de documentation et de photographies aux éditions Skira). Directrice des archives de la maison Bulgari et de sa collection Vintage depuis 1997, Amanda Triossi a signé les deux éditions (1995 et 2007) de la monographie consacrée à l’histoire de la maison.
Francesco Trapani, PDG du groupe Bulgari, a déclaré à cette occasion : « Le Grand Palais nous offre l’immense privilège d’exposer en ses murs des pièces de notre riche patrimoine : une collection de joyaux et d’objets précieux retraçant plus d’un siècle d’histoire de notre marque. Ce sera pour Bulgari l’occasion d’accroître sa notoriété sur le marché français, marché stratégique pour le secteur du luxe. Cette exposition témoignera également du lien particulier qui unit Bulgari à Paris depuis le début des années 1920, époque où la ville française, alors capitale des arts décoratifs au rayonnement international, fut une source d’inspiration majeure pour les créations artistiques et visionnaires de mon grand-père Sotirio et de son fils Giorgio Bulgari. Depuis lors, les codes esthétiques de la marque ont évolué. Mêlant héritage grec et élégance romaine, le style Bulgari est unique et emblématique. L’exposition de Paris fait suite à celle qui s’est tenue au Palazzo delle Esposizioni à Rome en 2009 pour le 125e anniversaire de la maison, et nous espérons que tous les visiteurs l’apprécieront. »
Informations pratiques :
Bulgari – 125 ans de Magnificence Italienne
Du 10 décembre 2010 au 12 janvier 2011
Au Grand Palais de Paris – Avenue Winston Churchill – 75008 Paris
Metro Champs Elysées Clémenceau
Ouvert tous les jours de 10h00 à 20h00, jusqu’à 22h00 les mercredi, vendredi et samedi
Entrée : plein tarif 12 euros - Tarif réduit 10 euros - gratuit pour les moins de 10 ans
Billets déjà disponibles en prévente sur le réseau FNAC
Boutique Bulgari à Paris
25 Place Vendôme
75001 Paris
Tél : 01 55 35 00 50
Du 10 décembre 2010 au 12 janvier 2011
Au Grand Palais de Paris – Avenue Winston Churchill – 75008 Paris
Metro Champs Elysées Clémenceau
Ouvert tous les jours de 10h00 à 20h00, jusqu’à 22h00 les mercredi, vendredi et samedi
Entrée : plein tarif 12 euros - Tarif réduit 10 euros - gratuit pour les moins de 10 ans
Billets déjà disponibles en prévente sur le réseau FNAC
Boutique Bulgari à Paris
25 Place Vendôme
75001 Paris
Tél : 01 55 35 00 50