Pour l’homme moderne, porter une montre de poche « relève d’une philosophie de vie où l’esthétique du geste est étroitement corrélée à la relation qu’il entretient avec le temps et les objets destinés à le retransmettre » remarque fort justement la marque dans son communiqué.
Et d’ajouter : « une invitation à destination de tous les passionnés de montres pour qui porter un regard en arrière est un moyen de ressourcer le présent et, qui sait, d’écrire l’avenir… Choisir de porter sur soi une montre retenue par une chaîne induit d’avoir un rapport au temps différent de ses contemporains ».
Pour beaucoup de passionnés, ce mode de porter, qui fut celui des montres pendant plus de cinq siècles, est définitivement d’un autre âge. Pourtant, à bien y réfléchir, la montre de poche offre une alternative à l’uniformisation des comportements et permet à tous les amateurs, en but avec la routine, de renouer avec une sorte de cérémonial destiné, pourquoi pas, à donner de soi une image affirmée et différente.
Pour un passionné de montres, observer une chaîne au pendant d’une boutonnière est souvent un supplice intellectuel. Car, pour qui aime savoir ce que portent les autres amateurs de belles mécaniques, plane à l’extrémité de ce lien comme un parfum de mystère, voire parfois, une pointe de jalousie… « Mais que porte-t-il donc ? ». Il faut alors attendre que le propriétaire daigne tirer la belle de la poche de son gilet, dans un geste toujours un peu cérémoniel, pour découvrir enfin, et souvent fugacement les détails de son esthétique.
Dans cet esprit, la Maison Cartier, consciente du potentiel dont dispose ce type d’instrument de lecture du temps pour créer la surprise auprès d’un public averti, a souhaité renouer avec une longue tradition héritée de ses origines et exprimée avec talent durant la période Art déco.
Cette montre à porter dans la poche, est lourde et imposante. Son poids et sa taille de 59,2 mm affirment son caractère généreux, dégagent un air d’opulence, de force tranquille, d’assurance. Charnue dans le creux de la main, cette pièce pour esthètes modernes possède des proportions qui font écho aux montres exceptionnelles créées par Cartier pour certains de ses clients privilégiés de la fin du 19ème siècle.
Et d’ajouter : « une invitation à destination de tous les passionnés de montres pour qui porter un regard en arrière est un moyen de ressourcer le présent et, qui sait, d’écrire l’avenir… Choisir de porter sur soi une montre retenue par une chaîne induit d’avoir un rapport au temps différent de ses contemporains ».
Pour beaucoup de passionnés, ce mode de porter, qui fut celui des montres pendant plus de cinq siècles, est définitivement d’un autre âge. Pourtant, à bien y réfléchir, la montre de poche offre une alternative à l’uniformisation des comportements et permet à tous les amateurs, en but avec la routine, de renouer avec une sorte de cérémonial destiné, pourquoi pas, à donner de soi une image affirmée et différente.
Pour un passionné de montres, observer une chaîne au pendant d’une boutonnière est souvent un supplice intellectuel. Car, pour qui aime savoir ce que portent les autres amateurs de belles mécaniques, plane à l’extrémité de ce lien comme un parfum de mystère, voire parfois, une pointe de jalousie… « Mais que porte-t-il donc ? ». Il faut alors attendre que le propriétaire daigne tirer la belle de la poche de son gilet, dans un geste toujours un peu cérémoniel, pour découvrir enfin, et souvent fugacement les détails de son esthétique.
Dans cet esprit, la Maison Cartier, consciente du potentiel dont dispose ce type d’instrument de lecture du temps pour créer la surprise auprès d’un public averti, a souhaité renouer avec une longue tradition héritée de ses origines et exprimée avec talent durant la période Art déco.
Cette montre à porter dans la poche, est lourde et imposante. Son poids et sa taille de 59,2 mm affirment son caractère généreux, dégagent un air d’opulence, de force tranquille, d’assurance. Charnue dans le creux de la main, cette pièce pour esthètes modernes possède des proportions qui font écho aux montres exceptionnelles créées par Cartier pour certains de ses clients privilégiés de la fin du 19ème siècle.
Ce volume permet aussi la mise en valeur d’un calibre inséré dans le rayonnement « aérien » des chiffres romains ajourés et ciselés dans la masse du boîtier en or gris. Une prouesse de technique qui fait oublier que, pour dégager ces douze chiffres romains du bloc d’or massif de ses origines, il a fallu pas moins de 100 heures d’un travail d’une très grande précision, consacrées à la finition et à la décoration de chaque chiffre. Une épreuve de patience et d’exigence, lorsque l’on sait que l’on compte 300 angles rentrants, anglés à la main…
Ce mouvement mécanique à remontage manuel de manufacture (réf. 9436 MC), visible d’un seul coup d’oeil par les deux faces de cette montre au profil de galet, profite de la présence des deux verres saphir galbés pour jouer de transparences finement ouvragées dans sa platine, ses ponts et ses rouages et ainsi dévoiler l’essentiel de ce qu’il est matériellement possible de voir de toute sa complexité mécanique.
On dit souvent des horlogers et des artisans travaillant à la fabrication des montres qu’ils sont les aristocrates des gens de métiers. Avec cette oeuvre faisant la part belle à la transparence, ils ont tout mis en place pour révéler quelques-uns des secrets de ce coeur mécanique à remontage manuel régulé par un tourbillon et paré de deux complications parmi les plus recherchées des amateurs.
On notera donc qu’en plus d’afficher l’heure avec précision grâce à son tourbillon classique soutenu par un pont reprenant la forme du « C » de Cartier (un petit clin d’œil désormais récurrent chez Cartier), cette merveille se dote d’un mécanisme de chronographe monopoussoir. Cette fonction de mesure des temps courts est enclenchée, arrêtée puis remise à zéro par le truchement d’un seul et même poussoir intégré à la couronne de remontoir ornée de l’incontournable saphir cabochon, marque de fabrique du joaillier parisien.
Ce mouvement comporte également la complication de quantième perpétuel : un système permettant l’affichage de toutes les informations calendaires utiles jusqu’en… 2100. Ainsi, se lisent dans les compteurs du cadran à la pointe des aiguilles bleuies au feu : la date à 12 heures, le jour à 3 heures et le mois à 9 heures. Ce dispositif tient compte de la journée supplémentaire à ajouter à la fin du mois de février, une fois tous les quatre ans et l’indique dans un guichet placé à 10 heures. Afin de conserver le plus longtemps la justesse des informations calendaires, ce mouvement à grande complication offre de plus une réserve de marche de huit jours.
Ce calibre totalise près de 457 pièces, toutes individuellement finies à la main. Il faut compter plus de 200 heures pour mettre en oeuvre et finaliser le processus de squelettage, qui concerne des pièces délicates et fragiles. L’anglage nécessite l’intervention d’artisans spécialistes, et les pièces les plus complexes requièrent jusqu’à dix heures de travail par composant. L’assemblage et le réglage d’un tel mouvement totalisent encore plus de 200 heures de travail.
Proposé en édition limitée et numérotée de dix pièces en or gris et de cinq pièces en or gris serties de diamants baguette et de brillants, ce cumul de grandes complications renforce magistralement l’âme horlogère de la Maison Cartier. Et représente l’une des stars de ce SIHH 2012.
Ce mouvement mécanique à remontage manuel de manufacture (réf. 9436 MC), visible d’un seul coup d’oeil par les deux faces de cette montre au profil de galet, profite de la présence des deux verres saphir galbés pour jouer de transparences finement ouvragées dans sa platine, ses ponts et ses rouages et ainsi dévoiler l’essentiel de ce qu’il est matériellement possible de voir de toute sa complexité mécanique.
On dit souvent des horlogers et des artisans travaillant à la fabrication des montres qu’ils sont les aristocrates des gens de métiers. Avec cette oeuvre faisant la part belle à la transparence, ils ont tout mis en place pour révéler quelques-uns des secrets de ce coeur mécanique à remontage manuel régulé par un tourbillon et paré de deux complications parmi les plus recherchées des amateurs.
On notera donc qu’en plus d’afficher l’heure avec précision grâce à son tourbillon classique soutenu par un pont reprenant la forme du « C » de Cartier (un petit clin d’œil désormais récurrent chez Cartier), cette merveille se dote d’un mécanisme de chronographe monopoussoir. Cette fonction de mesure des temps courts est enclenchée, arrêtée puis remise à zéro par le truchement d’un seul et même poussoir intégré à la couronne de remontoir ornée de l’incontournable saphir cabochon, marque de fabrique du joaillier parisien.
Ce mouvement comporte également la complication de quantième perpétuel : un système permettant l’affichage de toutes les informations calendaires utiles jusqu’en… 2100. Ainsi, se lisent dans les compteurs du cadran à la pointe des aiguilles bleuies au feu : la date à 12 heures, le jour à 3 heures et le mois à 9 heures. Ce dispositif tient compte de la journée supplémentaire à ajouter à la fin du mois de février, une fois tous les quatre ans et l’indique dans un guichet placé à 10 heures. Afin de conserver le plus longtemps la justesse des informations calendaires, ce mouvement à grande complication offre de plus une réserve de marche de huit jours.
Ce calibre totalise près de 457 pièces, toutes individuellement finies à la main. Il faut compter plus de 200 heures pour mettre en oeuvre et finaliser le processus de squelettage, qui concerne des pièces délicates et fragiles. L’anglage nécessite l’intervention d’artisans spécialistes, et les pièces les plus complexes requièrent jusqu’à dix heures de travail par composant. L’assemblage et le réglage d’un tel mouvement totalisent encore plus de 200 heures de travail.
Proposé en édition limitée et numérotée de dix pièces en or gris et de cinq pièces en or gris serties de diamants baguette et de brillants, ce cumul de grandes complications renforce magistralement l’âme horlogère de la Maison Cartier. Et représente l’une des stars de ce SIHH 2012.
Spécificités techniques de la montre de poche Grande Complication Squelette calibre 9436 MC
Boîtier : or gris 18 carats
Diamètre : 59 mm
Couronne perlée en or gris ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Rehaut en or décoré soleil
Cadran en or, compteurs azurés
Aiguilles des heures et des minutes en forme de pomme en acier bleui
Aiguilles des petits compteurs en forme de marteau.
Chaînette en or gris 18 carats
Socle en cristal de roche et obsidienne
Mouvement mécanique manufacture à remontage manuel, calibre 9436 MC, squelette avec tourbillon, chronographe monopoussoir et quantième perpétuel
Diamètre d’encageage : 15 lignes, soit 33,8 mm
Diamètre total : 34,6 mm
Épaisseur : 10,25 mm
Nombre de rubis : 37
Nombre de pièces : 457
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : environ 8 jours
Numérotation individuelle du mouvement
Diamètre : 59 mm
Couronne perlée en or gris ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Rehaut en or décoré soleil
Cadran en or, compteurs azurés
Aiguilles des heures et des minutes en forme de pomme en acier bleui
Aiguilles des petits compteurs en forme de marteau.
Chaînette en or gris 18 carats
Socle en cristal de roche et obsidienne
Mouvement mécanique manufacture à remontage manuel, calibre 9436 MC, squelette avec tourbillon, chronographe monopoussoir et quantième perpétuel
Diamètre d’encageage : 15 lignes, soit 33,8 mm
Diamètre total : 34,6 mm
Épaisseur : 10,25 mm
Nombre de rubis : 37
Nombre de pièces : 457
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : environ 8 jours
Numérotation individuelle du mouvement