Avant de présenter cette nouvelle pièce de chez Cartier, réservée à nos amis d’outre-Manche, revenons sur l’histoire de ce modèle mythique du joaillier-horloger de la rue de la Paix, connu et reconnu pour ses montres de forme.
Tout commence au milieu des années 60, à Londres, ou optimisme et hédonisme règnent en maitre. En pleine période « Swinging Sixties » ou tout ou presque était permis. A l’origine, selon la légende qui entoure ce modèle très recherché par les collectionneurs, il semblerait qu’un client ait rapporté sa montre Cartier accidentée afin de la faire réparer…
Jean-Jacques Cartier (l’un des trois frères fils de Jacques Cartier), alors à la tête de Cartier Londres*, aurait été séduit par la forme du boîtier (quasi détruit) au point de vouloir la reproduire en l’état ! La montre Crash serait donc née de cette Cartier plus qu’amochée !
Tout commence au milieu des années 60, à Londres, ou optimisme et hédonisme règnent en maitre. En pleine période « Swinging Sixties » ou tout ou presque était permis. A l’origine, selon la légende qui entoure ce modèle très recherché par les collectionneurs, il semblerait qu’un client ait rapporté sa montre Cartier accidentée afin de la faire réparer…
Jean-Jacques Cartier (l’un des trois frères fils de Jacques Cartier), alors à la tête de Cartier Londres*, aurait été séduit par la forme du boîtier (quasi détruit) au point de vouloir la reproduire en l’état ! La montre Crash serait donc née de cette Cartier plus qu’amochée !
Son nom illustrant alors « l’impact, l’anticonformisme et la liberté créative ! » de la marque dans les années 60-70 ; la présentation de la Crash d’origine datant de 1967. Un garde-temps très « pop-culture » qui n’est pas, également, sans rappeler les fameuses montres molles de Salvador Dali.
Dès lors, l’horloger-joaillier s’amuse à bousculer et à détourner les conventions, à introduire de l’humour et de l’élégance dans le domaine de la précision et de l’exactitude horlogère…
Avec son cadran asymétrique, qui évoque la distorsion et l’accident, la montre Crash devient au fil du temps un « pur collector » produit en séries très limitées. Le site de référence Chrono24 en répertorie une dizaine seulement, en or jaune ou rose dans les 200/250.000 euros-pièce !
Il faut savoir qu'au fil du temps, Cartier a réédité en petites séries, ce modèle en version femme, squelette, etc. On se souvient également de l’édition limitée de 2019, d’une version Crash en or jaune, déjà réservée en exclusivité pour la boutique Cartier de New Bond Street.
Dès lors, l’horloger-joaillier s’amuse à bousculer et à détourner les conventions, à introduire de l’humour et de l’élégance dans le domaine de la précision et de l’exactitude horlogère…
Avec son cadran asymétrique, qui évoque la distorsion et l’accident, la montre Crash devient au fil du temps un « pur collector » produit en séries très limitées. Le site de référence Chrono24 en répertorie une dizaine seulement, en or jaune ou rose dans les 200/250.000 euros-pièce !
Il faut savoir qu'au fil du temps, Cartier a réédité en petites séries, ce modèle en version femme, squelette, etc. On se souvient également de l’édition limitée de 2019, d’une version Crash en or jaune, déjà réservée en exclusivité pour la boutique Cartier de New Bond Street.
Aujourd’hui donc, Cartier présente une nouvelle version de cette pièce mythique dans une édition exclusive New Bond Street. Cette Crash 2023 est dotée d’un boitier en platine avec couronne en rubis (qui marque généralement les éditions platine et/ou anniversaire de chez Cartier vs le fameux saphir).
Sur le cadran, on retrouve bien évidemment les chiffres romains « déformés » de la Crash et les deux aiguilles de type glaive en acier bleui. Côté « moteur », cette Crash embarque le calibre maison 1917 MC (3Hz) à remontage manuel. Ce mouvement de forme tonneau offre une réserve de marche standard de 38h. On le retrouve aussi dans certaines Tank récentes.
Au dos de la montre, qui se porte sur un bracelet en veau gris avec boucle Crask (le C cartier déformé), un fond plein arbore une gravure spéciale dédiée à cette édition exclusive Londres.
Cette nouvelle édition est disponible à partir de juillet 2023 en exclusivité pour Cartier New Bond Street. Là où naquit ce même modèle en 1967. Un beau retour aux sources.
*point important à souligner : à l’époque, Cartier était divisée en trois entités séparées et assez indépendantes l’une de l’autre : Cartier Paris, Cartier Londres et Cartier New-York.
Sur le cadran, on retrouve bien évidemment les chiffres romains « déformés » de la Crash et les deux aiguilles de type glaive en acier bleui. Côté « moteur », cette Crash embarque le calibre maison 1917 MC (3Hz) à remontage manuel. Ce mouvement de forme tonneau offre une réserve de marche standard de 38h. On le retrouve aussi dans certaines Tank récentes.
Au dos de la montre, qui se porte sur un bracelet en veau gris avec boucle Crask (le C cartier déformé), un fond plein arbore une gravure spéciale dédiée à cette édition exclusive Londres.
Cette nouvelle édition est disponible à partir de juillet 2023 en exclusivité pour Cartier New Bond Street. Là où naquit ce même modèle en 1967. Un beau retour aux sources.
*point important à souligner : à l’époque, Cartier était divisée en trois entités séparées et assez indépendantes l’une de l’autre : Cartier Paris, Cartier Londres et Cartier New-York.