La filiale du groupe Richemont (Cartier, Jaeger-LeCoultre, Panerai, Vacheron Constantin, etc.) organise donc aux Etats-Unis des « ateliers » privés avec -et chez- ses clientes les plus riches et les plus influentes du pays.
L’idée n’est pas de leur vendre directement un bracelet ou une rivière de diamants, mais plutôt de faire (re)découvrir la marque a ces acheteuses aux comptes en banque extrêmement bien fournis. La liste de « happy few » participant à ces rencontres est dressée avec l’aide de la maîtresse de maison qui accueille l’atelier et le joaillier parisien.
Ensuite, après le déjeuner, les plus belles pièces leur sont présentées en petit comité et en toute tranquillité. Ainsi, le jour où elles auront envie de s’offrir un jolie tour de cou à 150.000 dollars, elles penseront immédiatement à Cartier.
L’idée n’est pas de leur vendre directement un bracelet ou une rivière de diamants, mais plutôt de faire (re)découvrir la marque a ces acheteuses aux comptes en banque extrêmement bien fournis. La liste de « happy few » participant à ces rencontres est dressée avec l’aide de la maîtresse de maison qui accueille l’atelier et le joaillier parisien.
Ensuite, après le déjeuner, les plus belles pièces leur sont présentées en petit comité et en toute tranquillité. Ainsi, le jour où elles auront envie de s’offrir un jolie tour de cou à 150.000 dollars, elles penseront immédiatement à Cartier.