Dans le film « Che, 2ème partie : Guerilla » (2009) de Steven Soderbergh, Benicio del Toro porte une Rolex GMT Master et une Submariner.
Sur certaines photos historiques, on voit distinctement que le Che, dans la dernière période de sa vie, portait régulièrement des Rolex (Fidel Castro également, d'ailleurs).
« Notamment une GMT Master réf. 1675 et une Submariner » précisent les éditeurs italiens Mondani qui ont publié plusieurs ouvrages de référence extrêmement complets sur les différents modèles de Rolex. Et d’ajouter : « sur un cliché très connu on voit que Che Guevara porte deux montres : une Submariner d’un côté et une GMT Master de l’autre ».
De fait, sur certaines photos du film de Steven Sorderbergh, « Che 2ème partie, Guerilla », qui sort le 28 janvier prochain dans les salles, on voit également que Benicio del Toro (qui joue le rôle du Che) porte des Rolex.
Ce qui semble désormais acquis, c’est que le Che avait effectivement sa GMT Master le 9 octobre 1967, le jour même de son exécution par l’armée bolivienne alors entraînée par la CIA. D’aucuns mentionnent même deux Rolex (sa Submariner également ?) dans l’inventaire des objets lui appartenant, réalisé le jour de son arrestation… Toujours est-il que les montres ont « mystérieusement » disparues… Selon diverses sources, la montre aurait été récupérée par un agent de la CIA, Felix Rodriguez, qui l’aurait récupérée sur le corps du Che juste après sa mort pour la conserver comme souvenir… Info ou intox ? Difficile à dire.
Ironie de l’histoire, l’homme au béret étoilé qui inspira tant de jeunes révolutionnaires, le plus puissant symbole de l’opposition aux élites aux pouvoirs, arborait le jour de sa mort l’emblème ultime de la réussite capitaliste : une Rolex.
Sur certaines photos historiques, on voit distinctement que le Che, dans la dernière période de sa vie, portait régulièrement des Rolex (Fidel Castro également, d'ailleurs).
« Notamment une GMT Master réf. 1675 et une Submariner » précisent les éditeurs italiens Mondani qui ont publié plusieurs ouvrages de référence extrêmement complets sur les différents modèles de Rolex. Et d’ajouter : « sur un cliché très connu on voit que Che Guevara porte deux montres : une Submariner d’un côté et une GMT Master de l’autre ».
De fait, sur certaines photos du film de Steven Sorderbergh, « Che 2ème partie, Guerilla », qui sort le 28 janvier prochain dans les salles, on voit également que Benicio del Toro (qui joue le rôle du Che) porte des Rolex.
Ce qui semble désormais acquis, c’est que le Che avait effectivement sa GMT Master le 9 octobre 1967, le jour même de son exécution par l’armée bolivienne alors entraînée par la CIA. D’aucuns mentionnent même deux Rolex (sa Submariner également ?) dans l’inventaire des objets lui appartenant, réalisé le jour de son arrestation… Toujours est-il que les montres ont « mystérieusement » disparues… Selon diverses sources, la montre aurait été récupérée par un agent de la CIA, Felix Rodriguez, qui l’aurait récupérée sur le corps du Che juste après sa mort pour la conserver comme souvenir… Info ou intox ? Difficile à dire.
Ironie de l’histoire, l’homme au béret étoilé qui inspira tant de jeunes révolutionnaires, le plus puissant symbole de l’opposition aux élites aux pouvoirs, arborait le jour de sa mort l’emblème ultime de la réussite capitaliste : une Rolex.
L'histoire :
Après la Révolution Cubaine, la gloire et la puissance du Che sont au plus haut. En témoigne sa harangue enflammée aux Nations Unies, réitérant son engagement dans le combat du tiers-monde contre l’impérialisme américain. Plus qu’un soldat, le Che est devenu une figure glamour de la scène internationale. Mais, soudain, voilà qu’il disparaît. Pourquoi a-t-il quitté Cuba ? Vers quelle destination ? Est-il seulement en vie ?
Le Che réapparaît en Bolivie, incognito et méconnaissable, oeuvrant clandestinement à la constitution d’un petit groupe de camarades cubains et de recrues boliviennes censé amorcer la grande Révolution Latino-Américaine.
La campagne bolivienne est une ode à sa ténacité et à son sens du sacrifice. Elle nous permet de comprendre pourquoi le Che reste un symbole universel d’héroïsme et d’idéalisme. Son échec entraînera la mort du Che.
Comme le souligne le réalisateur Steven Soderbergh : « J’ai eu envie de consacrer un film (ou deux) au Che, non seulement parce que sa vie a des allures de roman d’aventures, mais parce que je suis fasciné par les défis techniques qu’entraîne la mise en application d’une vision politique de grande envergure. J’avais envie d’illustrer en détail les efforts psychiques et physiques que nécessitèrent ces deux campagnes ; de montrer le processus par lequel un homme doté d’une volonté indomptable va découvrir sa capacité à inspirer et mener d’autres hommes. Le Che ne l’aurait sans doute jamais admis, mais le style compte. Il compte assurément dans un film, et il est un élément crucial dans la compréhension de ces deux films ».
Avec: Benicio Del Toro, Carlos Bardem, Demian Bichir
Rubrique réalisée en collaboration avec le magasin de ventes en ligne de montres d'occasion Perpétualis.fr
Après la Révolution Cubaine, la gloire et la puissance du Che sont au plus haut. En témoigne sa harangue enflammée aux Nations Unies, réitérant son engagement dans le combat du tiers-monde contre l’impérialisme américain. Plus qu’un soldat, le Che est devenu une figure glamour de la scène internationale. Mais, soudain, voilà qu’il disparaît. Pourquoi a-t-il quitté Cuba ? Vers quelle destination ? Est-il seulement en vie ?
Le Che réapparaît en Bolivie, incognito et méconnaissable, oeuvrant clandestinement à la constitution d’un petit groupe de camarades cubains et de recrues boliviennes censé amorcer la grande Révolution Latino-Américaine.
La campagne bolivienne est une ode à sa ténacité et à son sens du sacrifice. Elle nous permet de comprendre pourquoi le Che reste un symbole universel d’héroïsme et d’idéalisme. Son échec entraînera la mort du Che.
Comme le souligne le réalisateur Steven Soderbergh : « J’ai eu envie de consacrer un film (ou deux) au Che, non seulement parce que sa vie a des allures de roman d’aventures, mais parce que je suis fasciné par les défis techniques qu’entraîne la mise en application d’une vision politique de grande envergure. J’avais envie d’illustrer en détail les efforts psychiques et physiques que nécessitèrent ces deux campagnes ; de montrer le processus par lequel un homme doté d’une volonté indomptable va découvrir sa capacité à inspirer et mener d’autres hommes. Le Che ne l’aurait sans doute jamais admis, mais le style compte. Il compte assurément dans un film, et il est un élément crucial dans la compréhension de ces deux films ».
Avec: Benicio Del Toro, Carlos Bardem, Demian Bichir
Rubrique réalisée en collaboration avec le magasin de ventes en ligne de montres d'occasion Perpétualis.fr