Doté d’un cadran en platine pur micro-billé, le chronographe Malte Vacheron Constantin Collection Excellence Platine incarne la qualité d’une conception en tous points unique. Son cadran offre une netteté de lecture particulièrement réussie : minuterie ponctuée de traits pour les minutes et les secondes, échelle télémétrique sur un kilomètre, compteur 30 minutes et petites secondes courantes concourent à le rendre clair et lisible du premier coup d’oeil.
En plus d’aiguilles des heures, des minutes et des secondes en or gris, d’une aiguille des secondes chronographiques et du compteur 30 minutes en acier bleui, le cadran comporte six index ronds et six chiffres arabes en or gris 18 ct protégés par une glace saphir traitée antireflet.
En hommage à leurs propres traditions, les horlogers de Vacheron Constantin ont équipé le nouveau chronographe Malte en platine d’un mouvement à remontage manuel, le célèbre calibre 1141 – une construction dotée d’une roue à colonnes dont la conception a largement fait ses preuves. Dans le même esprit, sur le cadran, ils ont positionné le compteur 30 minutes et le sous-cadran des petites secondes dans l’axe 3h – 9h avec l’aiguille centrale des secondes chronographiques.
La glace saphir transparente au dos du boîtier permet de découvrir ses mécanismes complexes et la qualité de sa finition : surfaces décorées en côtes de Genève ou perlées, composants aux flancs méticuleusement « étirés » à la lime en stries parallèles, pièces d’acier chanfreinées et polies, têtes de vis polies une à une...
Le boîtier et le cadran en pur platine 950 du chronographe Malte affirment sa personnalité hors pair. Sa taille généreusement masculine aux proportions équilibrées, ses cornes en éventail et ses poussoirs ronds, sa couronne frappée d’une version stylisée du symbole « en croix de Malte » de la Maison ainsi que ses aiguilles « glaive » forment une composition parfaitement contemporaine.
En plus d’aiguilles des heures, des minutes et des secondes en or gris, d’une aiguille des secondes chronographiques et du compteur 30 minutes en acier bleui, le cadran comporte six index ronds et six chiffres arabes en or gris 18 ct protégés par une glace saphir traitée antireflet.
En hommage à leurs propres traditions, les horlogers de Vacheron Constantin ont équipé le nouveau chronographe Malte en platine d’un mouvement à remontage manuel, le célèbre calibre 1141 – une construction dotée d’une roue à colonnes dont la conception a largement fait ses preuves. Dans le même esprit, sur le cadran, ils ont positionné le compteur 30 minutes et le sous-cadran des petites secondes dans l’axe 3h – 9h avec l’aiguille centrale des secondes chronographiques.
La glace saphir transparente au dos du boîtier permet de découvrir ses mécanismes complexes et la qualité de sa finition : surfaces décorées en côtes de Genève ou perlées, composants aux flancs méticuleusement « étirés » à la lime en stries parallèles, pièces d’acier chanfreinées et polies, têtes de vis polies une à une...
Le boîtier et le cadran en pur platine 950 du chronographe Malte affirment sa personnalité hors pair. Sa taille généreusement masculine aux proportions équilibrées, ses cornes en éventail et ses poussoirs ronds, sa couronne frappée d’une version stylisée du symbole « en croix de Malte » de la Maison ainsi que ses aiguilles « glaive » forment une composition parfaitement contemporaine.
Un peu d’histoire sur les chronographes
Destiné à mesurer, enregistrer et afficher avec précision la durée d’un événement, le chronographe possède le caractère le plus essentiellement « horloger » qui soit.
Montre-instrument par excellence, le chronographe de poche répondait aux besoins des milieux scientifiques, industriels et sportifs. Tous appelaient de leurs vœux un moyen précis et commode de déterminer la durée exacte de toutes sortes de phénomènes, procédés et prestations.
Les horlogers parvinrent enfin à mettre au point des moyens satisfaisants, inventant en cours de route nombre de composants inédits et de dispositifs ingénieux. Dès sa création, le chronographe bénéficia d’améliorations et de perfectionnements facilitant son maniement et augmentant ses capacités techniques.
Alors que les montres passaient du gousset au poignet, Vacheron Constantin se mit à concevoir ses propres modèles, lançant au cours des années 1930 ses premiers chronographes à deux poussoirs. Amélioration considérable, cette construction permettait de mesurer et d’enregistrer deux temps successifs sans remise du chronographe à zéro, opération inévitable avec un chronographe à simple poussoir dans le style des instruments de poche, c’est-à-dire avec poussoir dans l’axe de la couronne de remontoir.
Les chronographes passèrent bientôt de la simple mesure d’un événement donné à l’enregistrement de la durée de phénomènes spécifiques lue par l’aiguille des secondes chronographiques sur toute une série d’échelles spécialement calibrées inscrites sur le cadran: mesures tachymétriques, télémétriques, pulsométriques et même productométriques. Au cours des ans, Vacheron Constantin a évidemment conçu et réalisé toute une série de chronographes, certains dotés d’une ou même plusieurs échelles, jusqu’à son plus récent, le chronographe Malte à remontage manuel en platine, doté d’une échelle télémétrique en plus de l’habituelle échelle tachymétrique.
Montre-instrument par excellence, le chronographe de poche répondait aux besoins des milieux scientifiques, industriels et sportifs. Tous appelaient de leurs vœux un moyen précis et commode de déterminer la durée exacte de toutes sortes de phénomènes, procédés et prestations.
Les horlogers parvinrent enfin à mettre au point des moyens satisfaisants, inventant en cours de route nombre de composants inédits et de dispositifs ingénieux. Dès sa création, le chronographe bénéficia d’améliorations et de perfectionnements facilitant son maniement et augmentant ses capacités techniques.
Alors que les montres passaient du gousset au poignet, Vacheron Constantin se mit à concevoir ses propres modèles, lançant au cours des années 1930 ses premiers chronographes à deux poussoirs. Amélioration considérable, cette construction permettait de mesurer et d’enregistrer deux temps successifs sans remise du chronographe à zéro, opération inévitable avec un chronographe à simple poussoir dans le style des instruments de poche, c’est-à-dire avec poussoir dans l’axe de la couronne de remontoir.
Les chronographes passèrent bientôt de la simple mesure d’un événement donné à l’enregistrement de la durée de phénomènes spécifiques lue par l’aiguille des secondes chronographiques sur toute une série d’échelles spécialement calibrées inscrites sur le cadran: mesures tachymétriques, télémétriques, pulsométriques et même productométriques. Au cours des ans, Vacheron Constantin a évidemment conçu et réalisé toute une série de chronographes, certains dotés d’une ou même plusieurs échelles, jusqu’à son plus récent, le chronographe Malte à remontage manuel en platine, doté d’une échelle télémétrique en plus de l’habituelle échelle tachymétrique.
Le chronographe-bracelet chez Vacheron Constantin
C’est en 1914 déjà, à l’aube de la grande mutation qui allait mener la montre de gousset au poignet, que Vacheron Constantin produisit des chronographes 13’’’ monopoussoir.
Jusqu’en 1930 environ, les trois fonctions du chronographe – marche, arrêt, remise à zéro – s’opéraient par l’intermédiaire d’un poussoir unique fixé sur la carrure de la boîte, ou logé à l’intérieur de l’axe de la couronne. Cette dernière construction était déjà connue sur les chronographes de poche, mais présentait un inconvénient majeur dans le processus de mesure des temps courts : les trois actions fonctionnelles devaient obligatoirement se succéder chronologiquement en boucle, interdisant ainsi de procéder au redémarrage de la mesure chronographique après une interruption temporaire de la course de l’aiguille.
Dès les années trente, Vacheron Constantin propose donc des chronographes munis de deux poussoirs qui se répartissent les commandes : l’un commande deux fonctions (marche & arrêt), l’autre se charge de la troisième (remise à zéro).
Cette nouvelle disposition offre un avantage décisif dans la mesure : après l’arrêt de l’aiguille de chronographe, il n’est pas nécessaire de passer obligatoirement par la remise à zéro lors de son redémarrage pour l’addition d’un nouveau temps à celui qui a déjà été acquis.
Typologie des chronographes selon les informations portées sur leurs cadrans
L’Echelle tachymétrique permet de mesurer la vitesse d’un corps en mouvement sur une distance connue (soit base 1000, 200, 100 ou encore 1 mile).
L’Echelle télémétrique permet d’apprécier la distance séparant l’observateur d’un phénomène se manifestant simultanément d’une façon visible et audible (vitesse du son dans l’air : 340 mètres/seconde environ).
L’Echelle pulsométrique permet de déterminer sous calcul le nombre de pulsations à la minute (échelle usuellement graduée sur 30 – 20 – 15 pulsations).
L’Echelle asthmométrique permet de déterminer sous calcul le nombre de respirations à la minute (échelle : 15 –20- 25 respirations).
L’Echelle productométrique permet de calculer la production en série, à l’heure, à la condition que la production unitaire ne dépasse pas 60 secondes.
Les Echelles multiples permettent de nombreuses combinaisons. La plus classique : pulsomètre/télémètre/tachymètre.
Jusqu’en 1930 environ, les trois fonctions du chronographe – marche, arrêt, remise à zéro – s’opéraient par l’intermédiaire d’un poussoir unique fixé sur la carrure de la boîte, ou logé à l’intérieur de l’axe de la couronne. Cette dernière construction était déjà connue sur les chronographes de poche, mais présentait un inconvénient majeur dans le processus de mesure des temps courts : les trois actions fonctionnelles devaient obligatoirement se succéder chronologiquement en boucle, interdisant ainsi de procéder au redémarrage de la mesure chronographique après une interruption temporaire de la course de l’aiguille.
Dès les années trente, Vacheron Constantin propose donc des chronographes munis de deux poussoirs qui se répartissent les commandes : l’un commande deux fonctions (marche & arrêt), l’autre se charge de la troisième (remise à zéro).
Cette nouvelle disposition offre un avantage décisif dans la mesure : après l’arrêt de l’aiguille de chronographe, il n’est pas nécessaire de passer obligatoirement par la remise à zéro lors de son redémarrage pour l’addition d’un nouveau temps à celui qui a déjà été acquis.
Typologie des chronographes selon les informations portées sur leurs cadrans
L’Echelle tachymétrique permet de mesurer la vitesse d’un corps en mouvement sur une distance connue (soit base 1000, 200, 100 ou encore 1 mile).
L’Echelle télémétrique permet d’apprécier la distance séparant l’observateur d’un phénomène se manifestant simultanément d’une façon visible et audible (vitesse du son dans l’air : 340 mètres/seconde environ).
L’Echelle pulsométrique permet de déterminer sous calcul le nombre de pulsations à la minute (échelle usuellement graduée sur 30 – 20 – 15 pulsations).
L’Echelle asthmométrique permet de déterminer sous calcul le nombre de respirations à la minute (échelle : 15 –20- 25 respirations).
L’Echelle productométrique permet de calculer la production en série, à l’heure, à la condition que la production unitaire ne dépasse pas 60 secondes.
Les Echelles multiples permettent de nombreuses combinaisons. La plus classique : pulsomètre/télémètre/tachymètre.
Spécifités techniques
Références : 47120/000P-9216
Calibre : 1141, mécanique à remontage manuel
Épaisseur du mouvement : 5, 60 mm
Diamètre du mouvement : 27 mm, soit 12 lignes
Indications : Heures, minutes et secondes ; aiguille des secondes chronographiques et compteur 30 minutes
Fréquence : 18 000 a/h
Empierrage : 21 rubis
Réserve de marche : 48 heures
Boîtier : platine 950, Ø 41,50 mm
Cadran : platine 950 micro-billé; centre guilloché main
Étanchéité : 30 mètres
Bracelet : cuir d’alligator bleu foncé à écailles carrées
Fermoir : boucle ardillon en platine 950
Edition limitée : 75 exemplaires, numéro individuel gravé au dos
Calibre : 1141, mécanique à remontage manuel
Épaisseur du mouvement : 5, 60 mm
Diamètre du mouvement : 27 mm, soit 12 lignes
Indications : Heures, minutes et secondes ; aiguille des secondes chronographiques et compteur 30 minutes
Fréquence : 18 000 a/h
Empierrage : 21 rubis
Réserve de marche : 48 heures
Boîtier : platine 950, Ø 41,50 mm
Cadran : platine 950 micro-billé; centre guilloché main
Étanchéité : 30 mètres
Bracelet : cuir d’alligator bleu foncé à écailles carrées
Fermoir : boucle ardillon en platine 950
Edition limitée : 75 exemplaires, numéro individuel gravé au dos