Patek Philippe a commencé la production en série de chronographes à quantième perpétuel il y a soixante-dix ans maintenant… En 1941.
Depuis lors, ces garde-temps figurent parmi les montres-bracelets à Grande Complication de la manufacture les plus recherchées. Ils marient deux fonctions dont la mise au point exige de nombreuses interventions manuelles ne pouvant être exécutées que par les spécialistes les plus expérimentés –ce qui explique pourquoi des modèles si convoités ne peuvent être produits qu’en quantités limitées. La nouvelle référence 5270 n’échappe pas à la règle et allie déjà toutes les qualités d’un futur objet-culte… (à 120.730 euros)
Le cadran de la référence 5270 rappelle par sa disposition les exemples les plus célèbres de ce type de montres : jour et mois dans un double guichet à 12h, quantième à aiguille à 6h avec affichage des phases de lune intégré, petite seconde à 9h et compteur 30 minutes à 3h. C’est le visage classique d’un chronographe à quantième perpétuel Patek Philippe depuis sept décennies. Mais plusieurs particularités distinguent ce garde-temps de tous ses prédécesseurs.
Deux petits guichets ronds placés entre le quantième à aiguille et les cadrans auxiliaires permettent d’afficher, à gauche, l’indication jour/nuit et, à droite, le cycle des années bissextiles. De plus, la petite seconde et le compteur 30 minutes sont positionnés légèrement sous le centre du cadran –un indice montrant que derrière ce design traditionnel bat le nouveau mouvement chronographe à roue à colonnes et embrayage horizontal entièrement conçu et manufacturé par Patek Philippe.
Le nouveau calibre de chronographe à quantième perpétuel et remontage manuel porte la désignation CH 29-535 PS Q (Q pour Quantième perpétuel). Le système d’embrayage fonctionne de manière tout à fait classique à l’aide d’une roue entraîneuse de chronographe, d’une roue d’embrayage et d’une roue de chronographe. Mais au lieu de l’habituel profil triangulaire, les dents de ces trois roues présentent de nouveaux profils brevetés « qui réduisent l’usure, augmentent le rendement et évitent tout contact pointe contre pointe » assure la manufacture dans son communiqué.
Le réglage de la pénétration des engrenages ne s’effectue pas, comme à l’ordinaire, à l’aide d’un excentrique, mais grâce à un grand « chapeau excentrique » placé sur la roue à colonnes qui définit la position extrême du bec de la bascule d’embrayage –d’où un réglage plus précis.
Parmi les autres optimisations figurent notamment les marteaux de remise à zéro autoréglants pivotant « entre pierres », le système de synchronisation directe entre bascule d’embrayage et bloqueur ainsi que la came du compteur des minutes ajourée permettant d’amortir les chocs lors de la remise à zéro.
En 1925, Patek Philippe a présenté –sous le numéro 97 975– la première montre-bracelet au monde dotée d’un quantième perpétuel affichant la date, le jour et le mois, en tenant compte automatiquement des mois de 30 ou 31 jours, du 28 février et du 29 février des années bissextiles. Mais la production des quantièmes perpétuels de série a démarré en 1941, il y a exactement soixante-dix ans, avec la référence 1518. Il s’agissait de chronographes à quantième perpétuel, dotés -comme la nouvelle référence 5270- de guichets pour le jour et le mois et de poussoirs rectangulaires. Ces montres des années 1940-1950 atteignent régulièrement des prix très élevés lors des ventes aux enchères internationales, où elles ne cessent d’établir de nouveaux records.
Depuis lors, ces garde-temps figurent parmi les montres-bracelets à Grande Complication de la manufacture les plus recherchées. Ils marient deux fonctions dont la mise au point exige de nombreuses interventions manuelles ne pouvant être exécutées que par les spécialistes les plus expérimentés –ce qui explique pourquoi des modèles si convoités ne peuvent être produits qu’en quantités limitées. La nouvelle référence 5270 n’échappe pas à la règle et allie déjà toutes les qualités d’un futur objet-culte… (à 120.730 euros)
Le cadran de la référence 5270 rappelle par sa disposition les exemples les plus célèbres de ce type de montres : jour et mois dans un double guichet à 12h, quantième à aiguille à 6h avec affichage des phases de lune intégré, petite seconde à 9h et compteur 30 minutes à 3h. C’est le visage classique d’un chronographe à quantième perpétuel Patek Philippe depuis sept décennies. Mais plusieurs particularités distinguent ce garde-temps de tous ses prédécesseurs.
Deux petits guichets ronds placés entre le quantième à aiguille et les cadrans auxiliaires permettent d’afficher, à gauche, l’indication jour/nuit et, à droite, le cycle des années bissextiles. De plus, la petite seconde et le compteur 30 minutes sont positionnés légèrement sous le centre du cadran –un indice montrant que derrière ce design traditionnel bat le nouveau mouvement chronographe à roue à colonnes et embrayage horizontal entièrement conçu et manufacturé par Patek Philippe.
Le nouveau calibre de chronographe à quantième perpétuel et remontage manuel porte la désignation CH 29-535 PS Q (Q pour Quantième perpétuel). Le système d’embrayage fonctionne de manière tout à fait classique à l’aide d’une roue entraîneuse de chronographe, d’une roue d’embrayage et d’une roue de chronographe. Mais au lieu de l’habituel profil triangulaire, les dents de ces trois roues présentent de nouveaux profils brevetés « qui réduisent l’usure, augmentent le rendement et évitent tout contact pointe contre pointe » assure la manufacture dans son communiqué.
Le réglage de la pénétration des engrenages ne s’effectue pas, comme à l’ordinaire, à l’aide d’un excentrique, mais grâce à un grand « chapeau excentrique » placé sur la roue à colonnes qui définit la position extrême du bec de la bascule d’embrayage –d’où un réglage plus précis.
Parmi les autres optimisations figurent notamment les marteaux de remise à zéro autoréglants pivotant « entre pierres », le système de synchronisation directe entre bascule d’embrayage et bloqueur ainsi que la came du compteur des minutes ajourée permettant d’amortir les chocs lors de la remise à zéro.
En 1925, Patek Philippe a présenté –sous le numéro 97 975– la première montre-bracelet au monde dotée d’un quantième perpétuel affichant la date, le jour et le mois, en tenant compte automatiquement des mois de 30 ou 31 jours, du 28 février et du 29 février des années bissextiles. Mais la production des quantièmes perpétuels de série a démarré en 1941, il y a exactement soixante-dix ans, avec la référence 1518. Il s’agissait de chronographes à quantième perpétuel, dotés -comme la nouvelle référence 5270- de guichets pour le jour et le mois et de poussoirs rectangulaires. Ces montres des années 1940-1950 atteignent régulièrement des prix très élevés lors des ventes aux enchères internationales, où elles ne cessent d’établir de nouveaux records.
L’ajout du quantième perpétuel au calibre de base chronographe à remontage manuel CH 29-535 PS a exigé le développement d’un nouveau mécanisme de calendrier. Avec une épaisseur de seulement 1,65 mm et 182 composants, ce dispositif traditionnel à came a nécessité deux ans de développement afin de s’intégrer parfaitement au chronographe.
Le quantième perpétuel de la référence 5270 « s’impose aujourd’hui comme le virtuose incontesté de ces mécanismes ultrasophistiqués mariant grande bascule, étoiles de dates, de jours, et de mois, came des années avec satellite des années bissextiles, ressorts-sautoirs et autres pièces complexes » souligne encore la marque dans son communiqué.
Les nombreuses fournitures acier du mouvement et du module de calendrier ne se distinguent pas seulement par leur perfection technique. Leurs finitions raffinées en font aussi de minuscules chefs-d’œuvre de bienfacture, avec flancs étirés à la main, surfaces adoucies et arêtes anglées et polies –l’anglage ne présentant pas le profil plat usuel à 45°, mais une légère courbure convexe typique de Patek Philippe.
Les roues et pignons en acier sont également terminés avec le plus grand souci et leurs dents polies une à une à la main sur une meule de bois dur. Ce travail de longue haleine ne répond pas seulement à des préoccupations esthétiques. Des surfaces parfaitement lisses contribuent à diminuer les frottements, à réduire l’usure et à optimiser la transmission d’énergie. Le possesseur d’une référence 5270 ne pourra pas admirer tous ces raffinements au service de la fiabilité, car ils sont en grande partie cachés sous le cadran. Mais il pourra en faire l’expérience –lui et les générations qui lui succéderont– en constatant qu’avec le temps, sa montre conservera toute sa valeur, quand elle ne l’accroîtra pas considérablement.
Il était naturel que pour le 70ème anniversaire de sa première montre-bracelet chronographe à quantième perpétuel, Patek Philippe présente un garde-temps rappelant ses illustres prédécesseurs. Cet air de famille se reconnaît au double guichet du jour et du mois à 12h ainsi qu’au cadran auxiliaire de quantième à aiguille à 6h avec affichage des phases de lune intégré – un mécanisme si précis qu’il lui faut 122 ans pour dévier d’un seul jour par rapport au véritable cycle lunaire.
La petite seconde, à gauche, et le compteur 30 minutes instantané, à droite, sont placés légèrement plus bas que le milieu du cadran – une caractéristique du nouveau calibre chronographe maison. Les aiguilles heures/minutes du temps civil en or oxydé noir reprennent la forme «feuille» de la référence 1518 de 1941, la trotteuse de chronographe se distingue par son style «flèche» avec contrepoids. Les index appliques des heures, de type «bâton» en or oxydé noir, sont encadrés par une minuterie et par l’échelle du chronographe.
Composante indispensable des quantièmes perpétuels modernes, deux petits guichets ronds permettent d’afficher l’indication jour/nuit entre 7h et 8h et le cycle des années bissextiles entre 4h et 5h. Le cadran opalin argenté d’un diamètre de 32,4 mm présente ces onze indications avec lisibilité et équilibre.
Ces deux chefs-d’oeuvre que sont le calibre CH 29-535 PS Q et le cadran de la référence 5270 se marient à un boîtier en or gris 18 ct de construction classique en trois parties. Le diamètre de 41 mm donne à cette pièce une élégance généreuse et contemporaine. La fabrication du boîtier s’effectue de manière traditionnelle dans les ateliers de la manufacture par étampage à froid à partir d’une barre d’or gris, à des pressions de plusieurs tonnes et à l’aide d’étampes (poinçons et matrices) d’une extrême précision. Viennent ensuite de longues heures de travail pour les divers perçages (couronne, poussoirs de chronographe, attaches du bracelet), pour l’ébavurage et pour le polissage –jusqu’à ce que le boîtier, avec sa lunette concave, soit terminé.
Les poussoirs de chronographe en or gris 18 carats présentent la même forme rectangulaire légèrement arrondie que les célèbres chronographes à quantième perpétuel des années 1940-1950. Les attaches légèrement évasées s’inspirent, elles aussi, du style classique des modèles historiques. D’esprit plus contemporain est le fond vissé avec verre saphir transparent. Cette vitrine permet d’admirer dans tout leur raffinement et en pleine action quelques-uns des plus beaux fleurons de la mécanique horlogère, tels le grand balancier Gyromax ou les leviers et roues du mécanisme de chronographe –avant de remettre au poignet le bracelet en alligator noir mat cousu main avec boucle déployante en or gris 18 carats.
Le quantième perpétuel de la référence 5270 « s’impose aujourd’hui comme le virtuose incontesté de ces mécanismes ultrasophistiqués mariant grande bascule, étoiles de dates, de jours, et de mois, came des années avec satellite des années bissextiles, ressorts-sautoirs et autres pièces complexes » souligne encore la marque dans son communiqué.
Les nombreuses fournitures acier du mouvement et du module de calendrier ne se distinguent pas seulement par leur perfection technique. Leurs finitions raffinées en font aussi de minuscules chefs-d’œuvre de bienfacture, avec flancs étirés à la main, surfaces adoucies et arêtes anglées et polies –l’anglage ne présentant pas le profil plat usuel à 45°, mais une légère courbure convexe typique de Patek Philippe.
Les roues et pignons en acier sont également terminés avec le plus grand souci et leurs dents polies une à une à la main sur une meule de bois dur. Ce travail de longue haleine ne répond pas seulement à des préoccupations esthétiques. Des surfaces parfaitement lisses contribuent à diminuer les frottements, à réduire l’usure et à optimiser la transmission d’énergie. Le possesseur d’une référence 5270 ne pourra pas admirer tous ces raffinements au service de la fiabilité, car ils sont en grande partie cachés sous le cadran. Mais il pourra en faire l’expérience –lui et les générations qui lui succéderont– en constatant qu’avec le temps, sa montre conservera toute sa valeur, quand elle ne l’accroîtra pas considérablement.
Il était naturel que pour le 70ème anniversaire de sa première montre-bracelet chronographe à quantième perpétuel, Patek Philippe présente un garde-temps rappelant ses illustres prédécesseurs. Cet air de famille se reconnaît au double guichet du jour et du mois à 12h ainsi qu’au cadran auxiliaire de quantième à aiguille à 6h avec affichage des phases de lune intégré – un mécanisme si précis qu’il lui faut 122 ans pour dévier d’un seul jour par rapport au véritable cycle lunaire.
La petite seconde, à gauche, et le compteur 30 minutes instantané, à droite, sont placés légèrement plus bas que le milieu du cadran – une caractéristique du nouveau calibre chronographe maison. Les aiguilles heures/minutes du temps civil en or oxydé noir reprennent la forme «feuille» de la référence 1518 de 1941, la trotteuse de chronographe se distingue par son style «flèche» avec contrepoids. Les index appliques des heures, de type «bâton» en or oxydé noir, sont encadrés par une minuterie et par l’échelle du chronographe.
Composante indispensable des quantièmes perpétuels modernes, deux petits guichets ronds permettent d’afficher l’indication jour/nuit entre 7h et 8h et le cycle des années bissextiles entre 4h et 5h. Le cadran opalin argenté d’un diamètre de 32,4 mm présente ces onze indications avec lisibilité et équilibre.
Ces deux chefs-d’oeuvre que sont le calibre CH 29-535 PS Q et le cadran de la référence 5270 se marient à un boîtier en or gris 18 ct de construction classique en trois parties. Le diamètre de 41 mm donne à cette pièce une élégance généreuse et contemporaine. La fabrication du boîtier s’effectue de manière traditionnelle dans les ateliers de la manufacture par étampage à froid à partir d’une barre d’or gris, à des pressions de plusieurs tonnes et à l’aide d’étampes (poinçons et matrices) d’une extrême précision. Viennent ensuite de longues heures de travail pour les divers perçages (couronne, poussoirs de chronographe, attaches du bracelet), pour l’ébavurage et pour le polissage –jusqu’à ce que le boîtier, avec sa lunette concave, soit terminé.
Les poussoirs de chronographe en or gris 18 carats présentent la même forme rectangulaire légèrement arrondie que les célèbres chronographes à quantième perpétuel des années 1940-1950. Les attaches légèrement évasées s’inspirent, elles aussi, du style classique des modèles historiques. D’esprit plus contemporain est le fond vissé avec verre saphir transparent. Cette vitrine permet d’admirer dans tout leur raffinement et en pleine action quelques-uns des plus beaux fleurons de la mécanique horlogère, tels le grand balancier Gyromax ou les leviers et roues du mécanisme de chronographe –avant de remettre au poignet le bracelet en alligator noir mat cousu main avec boucle déployante en or gris 18 carats.
Spécificités techniques de la Patek Philippe Chronographe à quantième perpétuel réf. 5270 en or gris
Mouvement : Calibre CH 29-535 PS Q
Mouvement mécanique à remontage manuel, chronographe avec roue à colonnes, aiguille de chronographe, compteur 30 minutes instantané et petite seconde. Quantième perpétuel avec jour, mois, année bissextile et indication jour/nuit par guichets et date par aiguille. Phases de lune.
Diamètre : 32 mm
Hauteur : 7 mm (mécanisme de quantième perpétuel: 1,65 mm)
Nombre de composants : 456 (dont 182 pour le mécanisme de quantième perpétuel)
Nombre de rubis : 33
Balancier : Gyromax
Fréquence : 28 800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Breguet
Réserve de marche : 65 heures
Fonctions :
Couronne à deux positions :
- poussée: remontage du mouvement
- tirée: mise à l’heure et stop seconde
Affichages :
Aiguilles des heures et des minutes au centre
Aiguille de chronographe (trotteuse) au centre
Cadrans auxiliaires :
- compteur 30 minutes entre 3h et 4h
- petite seconde entre 8h et 9h
- date à 6h
Guichets :
- jour et mois à 12h en ligne
- phases de lune à 6h
- indication jour/nuit entre 7h et 8h
- année bissextile entre 4h et 5h
Boutons correcteurs :
- correction du jour entre 1h et 2h
- correction du mois entre 12h et 1h
- correction de la phase de lune entre 6h et 7h
- correction de la date entre 11h et 12h
Livrée avec un crayon correcteur en ébène incrusté d’or gris 18 carats
Poussoirs :
- mise en marche et arrêt du chronographe à 2h
- remise à zéro du chronographe à 4h
Signe distinctif : Poinçon Patek Philippe
Habillage
Boîtier : or gris 18 carats, verre saphir, fond transparent en verre saphir vissé
Etanche à 30 mètres
Dimensions du boîtier : 41 mm
Epaisseur : 12,40 mm
Entrecornes : 21 mm
Cadran : Opalin argenté
Douze index appliques de type « bâton » en or oxydé noir
Aiguilles des heures et des minutes de type « feuille » en or oxydé noir
Aiguille de chronographe au centre de type « flèche » avec contrepoids
Cadrans auxiliaires excentrés avec motif azuré :
- petite seconde entre 8h et 9h: aiguille de type «feuille» en or oxydé noir
- compteur 30 minutes entre 3h et 4h: aiguille de type «feuille» en or oxydé noir
Bracelet : Alligator écailles carrées, cousu main, noir mat, boucle déployante en or gris 18 carats
Mouvement mécanique à remontage manuel, chronographe avec roue à colonnes, aiguille de chronographe, compteur 30 minutes instantané et petite seconde. Quantième perpétuel avec jour, mois, année bissextile et indication jour/nuit par guichets et date par aiguille. Phases de lune.
Diamètre : 32 mm
Hauteur : 7 mm (mécanisme de quantième perpétuel: 1,65 mm)
Nombre de composants : 456 (dont 182 pour le mécanisme de quantième perpétuel)
Nombre de rubis : 33
Balancier : Gyromax
Fréquence : 28 800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Breguet
Réserve de marche : 65 heures
Fonctions :
Couronne à deux positions :
- poussée: remontage du mouvement
- tirée: mise à l’heure et stop seconde
Affichages :
Aiguilles des heures et des minutes au centre
Aiguille de chronographe (trotteuse) au centre
Cadrans auxiliaires :
- compteur 30 minutes entre 3h et 4h
- petite seconde entre 8h et 9h
- date à 6h
Guichets :
- jour et mois à 12h en ligne
- phases de lune à 6h
- indication jour/nuit entre 7h et 8h
- année bissextile entre 4h et 5h
Boutons correcteurs :
- correction du jour entre 1h et 2h
- correction du mois entre 12h et 1h
- correction de la phase de lune entre 6h et 7h
- correction de la date entre 11h et 12h
Livrée avec un crayon correcteur en ébène incrusté d’or gris 18 carats
Poussoirs :
- mise en marche et arrêt du chronographe à 2h
- remise à zéro du chronographe à 4h
Signe distinctif : Poinçon Patek Philippe
Habillage
Boîtier : or gris 18 carats, verre saphir, fond transparent en verre saphir vissé
Etanche à 30 mètres
Dimensions du boîtier : 41 mm
Epaisseur : 12,40 mm
Entrecornes : 21 mm
Cadran : Opalin argenté
Douze index appliques de type « bâton » en or oxydé noir
Aiguilles des heures et des minutes de type « feuille » en or oxydé noir
Aiguille de chronographe au centre de type « flèche » avec contrepoids
Cadrans auxiliaires excentrés avec motif azuré :
- petite seconde entre 8h et 9h: aiguille de type «feuille» en or oxydé noir
- compteur 30 minutes entre 3h et 4h: aiguille de type «feuille» en or oxydé noir
Bracelet : Alligator écailles carrées, cousu main, noir mat, boucle déployante en or gris 18 carats