La marque Claude Meylan, suisse et indépendante (installée à L'abbaye avec Breguet pour voisin), reste relativement méconnue sur le marché français et c’est bien dommage car elle propose des pièces très horlogères à des prix extrêmement bien placés…
Parmi ses modèles en catalogue, ces trois nouveautés aux boitiers ronds de 35 mm (étanche à 30 mètres) en acier 316L qui abritent un calibre à remontage manuel entièrement squeletté d’une réserve de marche de 42h.
Avant d’entrer dans le détail de ces pièces, rappelons que le squelettage d’un calibre consiste à ôter le maximum de matière dans un mouvement afin de le rendre léger, aérien et le plus « transparent » possible.
Parmi ses modèles en catalogue, ces trois nouveautés aux boitiers ronds de 35 mm (étanche à 30 mètres) en acier 316L qui abritent un calibre à remontage manuel entièrement squeletté d’une réserve de marche de 42h.
Avant d’entrer dans le détail de ces pièces, rappelons que le squelettage d’un calibre consiste à ôter le maximum de matière dans un mouvement afin de le rendre léger, aérien et le plus « transparent » possible.
Tout ceci, bien évidemment, sans nuire à la résistance ni à l’efficacité des composants ! Un exercice de style délicat mené par des horlogers et des artisans chevronnés.
Dans un monde qui a tendance à gommer les genres, ces trois pièces, graciles et légères, revendiquent clairement leur féminité. En effet, en plus du squelettage (avec beau travail de gravure), ces Lionnes Dentelles* arborent des tonalités d’aquarelles : du rose, du lilas ou encore du bleu ciel. Trois couleurs pastel que l’on retrouve souvent dans les toiles de Jouy.
Au centre, le mouvement mécanique heures et minutes (base Peseux 7001) est squeletté. Un art horloger dont Claude Meylan est dépositaire et qui donne à ces nouvelles montres, leur légèreté et leur élégance. C’est justement autour de ce calibre suisse que se déploie ce ton pastel frais et rare en horlogerie dénommé « gris Marie-Antoinette ».
Dans un monde qui a tendance à gommer les genres, ces trois pièces, graciles et légères, revendiquent clairement leur féminité. En effet, en plus du squelettage (avec beau travail de gravure), ces Lionnes Dentelles* arborent des tonalités d’aquarelles : du rose, du lilas ou encore du bleu ciel. Trois couleurs pastel que l’on retrouve souvent dans les toiles de Jouy.
Au centre, le mouvement mécanique heures et minutes (base Peseux 7001) est squeletté. Un art horloger dont Claude Meylan est dépositaire et qui donne à ces nouvelles montres, leur légèreté et leur élégance. C’est justement autour de ce calibre suisse que se déploie ce ton pastel frais et rare en horlogerie dénommé « gris Marie-Antoinette ».
À l’origine, il s’agissait d’un blanc obtenu avec de la céruse de plomb. Mais, selon sa teneur, la teinte originelle pouvait se colorer de ce gris tendre, discret et lumineux, dont s’est inspiré Claude Meylan sur le réhaut, qui habille les mouvements lilas et rose.
Quant au bleu ciel, le réhaut est blanc pour souligner les nuances de bleus (ciel) et de blancs (neige) si présents en Vallée de Joux.
Ces montres se portent au choix sur un bracelet en mailles d’acier, en satin technologique ou encore, en Alcantara (notre préféré avec le satin).
*La Lionne est le nom de la rivière qui prend sa source à l’Abbaye, terre horlogère natale de Claude Meylan, où la maison est sise depuis le XVIIIe siècle.
Quant au bleu ciel, le réhaut est blanc pour souligner les nuances de bleus (ciel) et de blancs (neige) si présents en Vallée de Joux.
Ces montres se portent au choix sur un bracelet en mailles d’acier, en satin technologique ou encore, en Alcantara (notre préféré avec le satin).
*La Lionne est le nom de la rivière qui prend sa source à l’Abbaye, terre horlogère natale de Claude Meylan, où la maison est sise depuis le XVIIIe siècle.