Portrait de David « La résilience »
Au premier coup d’œil, on est frappé par la noblesse du visage : le teint cuivré, la délicatesse des traits, l’arête fine du nez, ce regard sombre et franc lui viennent sans aucun doute de ses ancêtres incas. David est bien né au Pérou, mais son entrée dans l’existence n’a rien d’un conte de fées. Abandonné à sa naissance et trouvé par miracle dans la rue par des cantonniers de Lima, il est placé dans un orphelinat, puis dans une famille « d’accueil » qui exploite les petits enfants trouvés.
Maltraité, infirme après avoir contracté la poliomyélite qui le prive de l’usage de ses jambes, il est finalement recueilli par Terre des Hommes. C’est là qu’il reçoit le prénom de David. Adopté par une famille de Neuchâtel, entouré de frères et sœurs de toutes les couleurs, il suit l’école obligatoire puis travaille dans une usine de La Chaux-de-Fonds dès l’âge de 15 ans. A 17 ans, il décide d’acquérir une formation d’horloger à Bienne. David se marie à 24 ans, et il a aujourd’hui trois petites filles qui sont les soleils de sa vie.
David est un survivant. Le sort s’est acharné sur lui, il a enduré les pires souffrances, mais il est toujours là. Par sa force de caractère, il est remonté du fond du gouffre. Au lieu de le détruire, les malheurs qui ont jalonné sa vie l’ont rendu plus fort. Si David faisait naufrage au milieu de l’océan, il serait certainement le seul rescapé. Comme le souligne souvent Mathias Buttet, PDG de BNB Concept : « Il émane de David une formidable énergie qu’il transmet à ceux qui l’approchent. A son contact, je me sens revigoré ». En dehors de son métier et de sa famille, David a une grande passion: le mouvement Hip-Hop qui, dit-il, l’a accepté sans le juger. A l’occasion, il aime officier comme Disc-Jockey.
Sa montre : l’ADN de David est La résilience. La capacité à vivre et se développer en surmontant les chocs, les traumatismes et l’adversité. Le mécanisme qu’il a créé lui ressemble : lumineux et flamboyant au-dessus ; cicatrisé à l’aide de fil d’or, réparé avec des matériaux précieux, résistants, indestructibles au-dessous.
Lorsqu’on lui a proposé de faire partie de la Confrérie Horlogère, David n’a pas hésité une seconde, y voyant le moyen de prendre une revanche sur la vie. Ce n’est pas la rancœur qui l’anime, il veut simplement prouver que chaque être humain a le droit de saisir sa chance quand elle passe. Il n’est motivé ni par l’argent, ni par la gloire. Ce qu’il désire par-dessus tout, c’est que sa mère et ses filles soient fières de lui. Il dédie sa première pièce à tous les handicapés du monde, les minorités ethniques, les « latinos del mundo », les enfants de la rue, des bidonvilles, des orphelinats et à tous ceux qui n’ont pas survécu.
Maltraité, infirme après avoir contracté la poliomyélite qui le prive de l’usage de ses jambes, il est finalement recueilli par Terre des Hommes. C’est là qu’il reçoit le prénom de David. Adopté par une famille de Neuchâtel, entouré de frères et sœurs de toutes les couleurs, il suit l’école obligatoire puis travaille dans une usine de La Chaux-de-Fonds dès l’âge de 15 ans. A 17 ans, il décide d’acquérir une formation d’horloger à Bienne. David se marie à 24 ans, et il a aujourd’hui trois petites filles qui sont les soleils de sa vie.
David est un survivant. Le sort s’est acharné sur lui, il a enduré les pires souffrances, mais il est toujours là. Par sa force de caractère, il est remonté du fond du gouffre. Au lieu de le détruire, les malheurs qui ont jalonné sa vie l’ont rendu plus fort. Si David faisait naufrage au milieu de l’océan, il serait certainement le seul rescapé. Comme le souligne souvent Mathias Buttet, PDG de BNB Concept : « Il émane de David une formidable énergie qu’il transmet à ceux qui l’approchent. A son contact, je me sens revigoré ». En dehors de son métier et de sa famille, David a une grande passion: le mouvement Hip-Hop qui, dit-il, l’a accepté sans le juger. A l’occasion, il aime officier comme Disc-Jockey.
Sa montre : l’ADN de David est La résilience. La capacité à vivre et se développer en surmontant les chocs, les traumatismes et l’adversité. Le mécanisme qu’il a créé lui ressemble : lumineux et flamboyant au-dessus ; cicatrisé à l’aide de fil d’or, réparé avec des matériaux précieux, résistants, indestructibles au-dessous.
Lorsqu’on lui a proposé de faire partie de la Confrérie Horlogère, David n’a pas hésité une seconde, y voyant le moyen de prendre une revanche sur la vie. Ce n’est pas la rancœur qui l’anime, il veut simplement prouver que chaque être humain a le droit de saisir sa chance quand elle passe. Il n’est motivé ni par l’argent, ni par la gloire. Ce qu’il désire par-dessus tout, c’est que sa mère et ses filles soient fières de lui. Il dédie sa première pièce à tous les handicapés du monde, les minorités ethniques, les « latinos del mundo », les enfants de la rue, des bidonvilles, des orphelinats et à tous ceux qui n’ont pas survécu.
Portrait de Brigitte : « La face cachée »
Brigitte est une jolie jeune femme née en Alsace, en France, de parents d’origine portugaise. Ce sont eux qui lui ont donné ses grands yeux noirs et sa belle chevelure sombre. Elle effectue une partie de sa scolarité à Kingersheim, en Alsace, pour suivre ensuite une formation horlogère au Lycée Edgar Faure de Morteau, où elle obtient son bac professionnel. A 19 ans, elle débute sa vie professionnelle au sein de l’entreprise Patek-Philippe à Genève. En 2006, elle intègre BNB Concept à Nyon.
Au premier abord, Brigitte est une femme moderne : très soignée, coquette, elle arbore des tenues à la mode qui mettent en valeur sa silhouette. Ces signes extérieurs peuvent laisser supposer un esprit superficiel, narcissique et un caractère hautain. En la connaissant mieux, on décèle pourtant rapidement d’autres facettes d’elle, qui dévoilent une personnalité beaucoup plus complexe : son métier, dans lequel Brigitte fait preuve d’un grand sérieux et de beaucoup de créativité. Ses rapports avec ses collègues, envers lesquels elle démontre de l’écoute et qui savent qu’ils peuvent compter sur elle. Un manque de confiance en elle, qu’elle cherche à dissimuler en adoptant une attitude un peu supérieure.
La ferveur qui l’anime lorsqu’elle évoque sa grande passion : la danse, et plus particulièrement la salsa, qu’elle enseigne et qu’elle pratique avec assiduité depuis six ans. Elle a d’ailleurs obtenu le titre de Championne genevoise en 2007. En réalité, Brigitte se révèle être une personne modeste, très proche des autres et une véritable artiste dans son métier tout comme dans sa vie privée. Elle souffre de la fausse image que les autres se font d’elle.
Sa montre : l’ADN de Brigitte est La face cachée des choses. On n’est pas toujours ce que l’on paraît être ; une femme peut en cacher une autre ; la vie est pleine de découvertes inattendues.
Le mouvement réalisé par Brigitte renferme un secret : une apparence classique, traditionnelle, mais qui dévoile sa face cachée lorsque l’on actionne un mécanisme subtilement dissimulé. La première réaction de Brigitte lorsqu’elle a su qu’elle faisait partie de la Confrérie Horlogère a été le doute: « En serais-je capable ? ».
La perspective de pouvoir un jour créer sa marque et concevoir ses propres mouvements ne l’avait jamais effleurée. Comme elle le confesse, la peur d’échouer et d’être ridicule l’a souvent empêchée de prendre des décisions. Cette fois-ci, elle a choisi de courir le risque et d’accepter le défi. Elle s’est sentie soutenue et encadrée dans cette aventure par toute une équipe, et notamment par les six autres Confrères qui vivent la même expérience. Elle sait que quoi qu’il arrive, elle sortira enrichie de cette aventure, moralement et professionnellement.
Au premier abord, Brigitte est une femme moderne : très soignée, coquette, elle arbore des tenues à la mode qui mettent en valeur sa silhouette. Ces signes extérieurs peuvent laisser supposer un esprit superficiel, narcissique et un caractère hautain. En la connaissant mieux, on décèle pourtant rapidement d’autres facettes d’elle, qui dévoilent une personnalité beaucoup plus complexe : son métier, dans lequel Brigitte fait preuve d’un grand sérieux et de beaucoup de créativité. Ses rapports avec ses collègues, envers lesquels elle démontre de l’écoute et qui savent qu’ils peuvent compter sur elle. Un manque de confiance en elle, qu’elle cherche à dissimuler en adoptant une attitude un peu supérieure.
La ferveur qui l’anime lorsqu’elle évoque sa grande passion : la danse, et plus particulièrement la salsa, qu’elle enseigne et qu’elle pratique avec assiduité depuis six ans. Elle a d’ailleurs obtenu le titre de Championne genevoise en 2007. En réalité, Brigitte se révèle être une personne modeste, très proche des autres et une véritable artiste dans son métier tout comme dans sa vie privée. Elle souffre de la fausse image que les autres se font d’elle.
Sa montre : l’ADN de Brigitte est La face cachée des choses. On n’est pas toujours ce que l’on paraît être ; une femme peut en cacher une autre ; la vie est pleine de découvertes inattendues.
Le mouvement réalisé par Brigitte renferme un secret : une apparence classique, traditionnelle, mais qui dévoile sa face cachée lorsque l’on actionne un mécanisme subtilement dissimulé. La première réaction de Brigitte lorsqu’elle a su qu’elle faisait partie de la Confrérie Horlogère a été le doute: « En serais-je capable ? ».
La perspective de pouvoir un jour créer sa marque et concevoir ses propres mouvements ne l’avait jamais effleurée. Comme elle le confesse, la peur d’échouer et d’être ridicule l’a souvent empêchée de prendre des décisions. Cette fois-ci, elle a choisi de courir le risque et d’accepter le défi. Elle s’est sentie soutenue et encadrée dans cette aventure par toute une équipe, et notamment par les six autres Confrères qui vivent la même expérience. Elle sait que quoi qu’il arrive, elle sortira enrichie de cette aventure, moralement et professionnellement.
Portrait de Ken « racines japonaises »
Ken est né à Genève de père japonais et de mère suissesse. Considérant son port altier, la sobriété de ses gestes, la rigueur de sa mise, le sérieux de son visage qui laisse transparaître peu d’émotions, un mot vient immédiatement à l’esprit : samouraï.
Le père de Ken, décédé il y a neuf ans, était originaire de Kagoshima, une ville du sud du Japon restée très attachée aux traditions nippones. Il exerçait la fonction de Sensei, c’est-à-dire maître d’arts martiaux, en l’occurrence judo et aïkido.
Ken a lui-même assidûment pratiqué ces disciplines, pour atteindre le grade de ceinture noire de judo. Ken n’a jamais vécu au Japon, mais y a passé ses vacances en famille. Il a suivi des études scientifiques à Genève avant de se décider pour un apprentissage d’horloger chez Patek-Philippe. Son diplôme en poche, il a travaillé un an dans sa société formatrice avant de rallier BNB Concept le 1er juin 2007.
Sa montre : l’ADN de Ken est Ses racines japonaises. La perfection / la pensée Zen / la beauté dans la sobriété. Le mouvement imaginé par Ken est à son image, sobre et puissant. Côté cadran, une élégance dépouillée. Côté ponts, une innovation technique spectaculaire, ainsi que le rappel des origines de Ken, en particulier ses armoiries, que lui-même porte tatouées sur l’épaule.
Ken a été le premier Confrère choisi. Il n’en croyait pas ses oreilles. Même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait pu imaginer qu’on lui offre la possibilité de créer une montre sous son propre nom, de pouvoir s’exprimer par la création d’un produit qui lui corresponde, avec une totale liberté dans ses choix esthétiques et techniques.
Il est conscient que mener à bien la création d’une marque de A à Z va lui permettre de découvrir le monde de l’horlogerie sous de multiples aspects, dont certains lui sont totalement étrangers, tels la promotion, le marketing, etc. Il sait aussi qu’il va être amené à faire une multitude de nouvelles rencontres : personnes, cultures, milieux sociaux différents, qui vont contribuer à parfaire son enseignement personnel.
Le père de Ken, décédé il y a neuf ans, était originaire de Kagoshima, une ville du sud du Japon restée très attachée aux traditions nippones. Il exerçait la fonction de Sensei, c’est-à-dire maître d’arts martiaux, en l’occurrence judo et aïkido.
Ken a lui-même assidûment pratiqué ces disciplines, pour atteindre le grade de ceinture noire de judo. Ken n’a jamais vécu au Japon, mais y a passé ses vacances en famille. Il a suivi des études scientifiques à Genève avant de se décider pour un apprentissage d’horloger chez Patek-Philippe. Son diplôme en poche, il a travaillé un an dans sa société formatrice avant de rallier BNB Concept le 1er juin 2007.
Sa montre : l’ADN de Ken est Ses racines japonaises. La perfection / la pensée Zen / la beauté dans la sobriété. Le mouvement imaginé par Ken est à son image, sobre et puissant. Côté cadran, une élégance dépouillée. Côté ponts, une innovation technique spectaculaire, ainsi que le rappel des origines de Ken, en particulier ses armoiries, que lui-même porte tatouées sur l’épaule.
Ken a été le premier Confrère choisi. Il n’en croyait pas ses oreilles. Même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait pu imaginer qu’on lui offre la possibilité de créer une montre sous son propre nom, de pouvoir s’exprimer par la création d’un produit qui lui corresponde, avec une totale liberté dans ses choix esthétiques et techniques.
Il est conscient que mener à bien la création d’une marque de A à Z va lui permettre de découvrir le monde de l’horlogerie sous de multiples aspects, dont certains lui sont totalement étrangers, tels la promotion, le marketing, etc. Il sait aussi qu’il va être amené à faire une multitude de nouvelles rencontres : personnes, cultures, milieux sociaux différents, qui vont contribuer à parfaire son enseignement personnel.
La Confrérie horlogère
Depuis un certain temps déjà, Mathias Buttet, fondateur et président de BNB CONCEPT S.A., était taraudé par une question : « Que pourrait-on faire pour permettre aux jeunes horlogers talentueux de se surpasser en donnant libre cours à la passion qui les anime dans un métier d’exception ? Quel serait leur rêve le plus fou ? Comment les aider à le réaliser ? »
Une idée s’est alors imposée à lui : donner à cette nouvelle génération d’horlogers accomplis l’opportunité de créer des mouvements totalement inédits, sortis de leur imagination, imprégnés de leur personnalité, de leur vécu, de leurs tripes pourrait-on dire, qu’ils puissent signer de leur nom.
C’est ainsi qu’est née la Confrérie Horlogère, sous le patronage de BNB CONCEPT. Ce leader mondial des mouvements horlogers à complications très haut de gamme, prête en effet son infrastructure industrielle et logistique à la Confrérie Horlogère afin de servir de cadre à son développement. C’est parmi ses 200 employés que seront choisis chaque année sept Compagnons Horlogers parmi les artisans les plus chevronnés. Ceux-ci pourront librement mettre au point une montre et un mouvement qui leur ressemblent, en accord avec les principes de la Charte de la Confrérie Horlogère
.
La moyenne d’âge des collaborateurs de BNB CONCEPT est de 27 ans. Cette jeunesse est un atout majeur pour l’entreprise : elle est synonyme d’enthousiasme, de fraîcheur et d’audace. La notion qui prédomine au sein de BNB CONCEPT est le respect qui se manifeste à tous les niveaux : respect des personnes (clients et employés), respect des métiers de l’horlogerie, respect de la tradition mais également de la technologie contemporaine qui permet d’aller toujours plus loin dans la créativité. Ici, pas de travail à la chaîne, chaque mécanicien, chaque horloger accomplit sa tâche de A à Z, ce qui leur procure une fierté bien légitime lors de la livraison de leur mouvement terminé.
« Une nouvelle ère horlogère voit le jour actuellement et il est bon qu’apparaissent de nouvelles marques portant le nom des personnes qui exécutent réellement les mouvements de leurs collections. Nos jeunes horlogers d’aujourd’hui sont avides de nouveautés technologiques et tournés vers le futur, tout en éprouvant un profond respect pour leurs anciens, dont ils perpétuent l’enthousiasme et l’ouverture d’esprit » conclut Mathias Buffet.
Une idée s’est alors imposée à lui : donner à cette nouvelle génération d’horlogers accomplis l’opportunité de créer des mouvements totalement inédits, sortis de leur imagination, imprégnés de leur personnalité, de leur vécu, de leurs tripes pourrait-on dire, qu’ils puissent signer de leur nom.
C’est ainsi qu’est née la Confrérie Horlogère, sous le patronage de BNB CONCEPT. Ce leader mondial des mouvements horlogers à complications très haut de gamme, prête en effet son infrastructure industrielle et logistique à la Confrérie Horlogère afin de servir de cadre à son développement. C’est parmi ses 200 employés que seront choisis chaque année sept Compagnons Horlogers parmi les artisans les plus chevronnés. Ceux-ci pourront librement mettre au point une montre et un mouvement qui leur ressemblent, en accord avec les principes de la Charte de la Confrérie Horlogère
.
La moyenne d’âge des collaborateurs de BNB CONCEPT est de 27 ans. Cette jeunesse est un atout majeur pour l’entreprise : elle est synonyme d’enthousiasme, de fraîcheur et d’audace. La notion qui prédomine au sein de BNB CONCEPT est le respect qui se manifeste à tous les niveaux : respect des personnes (clients et employés), respect des métiers de l’horlogerie, respect de la tradition mais également de la technologie contemporaine qui permet d’aller toujours plus loin dans la créativité. Ici, pas de travail à la chaîne, chaque mécanicien, chaque horloger accomplit sa tâche de A à Z, ce qui leur procure une fierté bien légitime lors de la livraison de leur mouvement terminé.
« Une nouvelle ère horlogère voit le jour actuellement et il est bon qu’apparaissent de nouvelles marques portant le nom des personnes qui exécutent réellement les mouvements de leurs collections. Nos jeunes horlogers d’aujourd’hui sont avides de nouveautés technologiques et tournés vers le futur, tout en éprouvant un profond respect pour leurs anciens, dont ils perpétuent l’enthousiasme et l’ouverture d’esprit » conclut Mathias Buffet.