Le Type 21 est le symbole d’un savoir-faire horloger de haute précision au service des forces armées. Instruments de navigation à part entière, ces chronographes ont été élaborés sur la base d’un cahier des charges draconien émanant du ministère de la Défense. Les qualités techniques du Type 21, associées à sa fiabilité, en ont fait un garde-temps reconnu et au caractère bien trempé.
Ces spécificités lui confèrent un style authentique et épuré, conservant à l’identique les lignes et la personnalité de la montre originale qui fit la fierté de générations de pilotes.
« Nous avons tout d’abord repris l’activité de maintenance et de vente de pièces de chronographes de bord Type 11 » précise Cédric Dodane. Et de préciser « nous avons aussi débuté la commercialisation des chronographes de bord TYPE 211 (hybride quartz/mécanique) dont nous avons finalisé le développement. Cette démarche nous a ensuite permis de relancer en 2005 une production de Type 21. Nous avons tenté de proposer un tarif pour la réédition résultant d’une contraction extrême de marge (d’où principalement une distribution directe par internet), au vue de la qualité du mouvement et de l’assemblage de la montre, car nous souhaitons réellement que cette première série soit destinée prioritairement aux passionnés de belles mécaniques horlogères. Ce chronographe est conçu en France et assemblé dans le Jura suisse dans le respect des traditions horlogères. De nouveaux développements sont maintenant à l’étude car il ne reste plus qu’une quarantaine de chrono sur la série limitée de 150 ». .../...
Ces spécificités lui confèrent un style authentique et épuré, conservant à l’identique les lignes et la personnalité de la montre originale qui fit la fierté de générations de pilotes.
« Nous avons tout d’abord repris l’activité de maintenance et de vente de pièces de chronographes de bord Type 11 » précise Cédric Dodane. Et de préciser « nous avons aussi débuté la commercialisation des chronographes de bord TYPE 211 (hybride quartz/mécanique) dont nous avons finalisé le développement. Cette démarche nous a ensuite permis de relancer en 2005 une production de Type 21. Nous avons tenté de proposer un tarif pour la réédition résultant d’une contraction extrême de marge (d’où principalement une distribution directe par internet), au vue de la qualité du mouvement et de l’assemblage de la montre, car nous souhaitons réellement que cette première série soit destinée prioritairement aux passionnés de belles mécaniques horlogères. Ce chronographe est conçu en France et assemblé dans le Jura suisse dans le respect des traditions horlogères. De nouveaux développements sont maintenant à l’étude car il ne reste plus qu’une quarantaine de chrono sur la série limitée de 150 ». .../...
L’unicité de chaque montre est garantie par l’existence, au sein même de la société Dodane 1857, d’un registre spécial répertoriant votre exemplaire, désormais objet de collection.
Les qualités intrinsèques de son mouvement permettent de proposer, sur commande spécifique, de faire homologuer le Type 21 comme instrument chronométrique auprès de l’observatoire officiel de contrôle et de mesure du temps de Besançon.
« Dès 1857, la manufacture Dodane s’est toujours démarquée par son esprit d’innovation et nos aïeux ont misé très tôt sur le développement de l’aviation » poursuite l’héritier Dodane. « C’est à la suite de nombreuses demandes que nous avons décidé de commercialiser une réédition de ce chronographe mythique en réactivant la marque Dodane 1857 afin de ne pas laisser s’éteindre le capital marque de notre nom patronymique en perpétuant le savoir-faire familial » (voir article Dodane : une histoire de famille, d'avions de chasse et de tradition horlogère).
Depuis sa création à la Rasse, près de Morteau dans le Haut Doubs en Franche Comté (à proximité de la Vallée de Joux, domaine de prédilection des fabrications horlogères suisses), la société est toujours restée indépendante.
Aujourd’hui, la cinquième génération de Dodane continue de fournir des chronographes de bord TYPE 211 et de poignet TYPE 21 qui, utilisés soit par l'armée, soit par les pilotes civils, sont reconnus par les professionnels comme des instruments irremplaçables du fait de leur extrême fiabilité.
Les qualités intrinsèques de son mouvement permettent de proposer, sur commande spécifique, de faire homologuer le Type 21 comme instrument chronométrique auprès de l’observatoire officiel de contrôle et de mesure du temps de Besançon.
« Dès 1857, la manufacture Dodane s’est toujours démarquée par son esprit d’innovation et nos aïeux ont misé très tôt sur le développement de l’aviation » poursuite l’héritier Dodane. « C’est à la suite de nombreuses demandes que nous avons décidé de commercialiser une réédition de ce chronographe mythique en réactivant la marque Dodane 1857 afin de ne pas laisser s’éteindre le capital marque de notre nom patronymique en perpétuant le savoir-faire familial » (voir article Dodane : une histoire de famille, d'avions de chasse et de tradition horlogère).
Depuis sa création à la Rasse, près de Morteau dans le Haut Doubs en Franche Comté (à proximité de la Vallée de Joux, domaine de prédilection des fabrications horlogères suisses), la société est toujours restée indépendante.
Aujourd’hui, la cinquième génération de Dodane continue de fournir des chronographes de bord TYPE 211 et de poignet TYPE 21 qui, utilisés soit par l'armée, soit par les pilotes civils, sont reconnus par les professionnels comme des instruments irremplaçables du fait de leur extrême fiabilité.
Fonctions
Le chronographe est une montre de grande précision qui indique les heures, minutes et secondes. Il est doté d'un mécanisme spécial permettant la mesure de temps déterminés avec opérations continues ou interrompues. Cette fonction permet la mise en marche, l'arrêt et le retour à zéro d'une aiguille centrale marquant les secondes divisées au 1/5ème, ainsi que des aiguilles totalisatrices des minutes et des heures.
Le départ de la fonction chronographe est donné par pression sur le premier poussoir (A). Par une deuxième pression sur ce même poussoir on obtient l'arrêt de l'aiguille centrale. Une troisième pression (sur ce même poussoir) remet l'aiguille chronographe en marche. Ceci permet d'interrompre une observation et de la reprendre au point où elle a été arrêtée.
La remise à zéro des aiguilles des secondes, minutes et heures est obtenue par pression sur le deuxième poussoir (B).
La fonction « retour en vol » autorise la remise à zéro instantanée par une pression sur le deuxième poussoir (B) pendant la marche du chronographe, sans avoir à assurer auparavant l'arrêt par le premier poussoir (A). En maintenant la pression sur le deuxième poussoir, l'aiguille reste à zéro et ne repart que lorsque la pression cesse.
Ce dispositif permet à un pilote d’avion ou à un commandant de navire de suivre des instructions, de changer de cap selon un programme prédéfini. Dès qu'une séquence est écoulée, la pression sur le poussoir déclenche la séquence suivante.
La lunette tournante complète les totalisateurs des minutes et des heures en faisant office de compte à rebours horaire. Pour un vol de 4 h, le pilote met le chiffre « 4 » en face de l'aiguille d'heure du cadran principal, et fait démarrer le chronographe : lorsque l'aiguille d'heure sera en face du repère lumineux « 0 » , les quatre heures seront écoulées.
Le rehaut tachymétrique permet de connaître la vitesse de l’avion lors d’un décollage sur une piste courte. En effet, si le pilote n’a pas atteint une accélération suffisante pour décoller par rapport à une distance prédéfinie, il choisira d’inverser la poussée des moteurs afin de tenter un décollage en toute sécurité.
Le départ de la fonction chronographe est donné par pression sur le premier poussoir (A). Par une deuxième pression sur ce même poussoir on obtient l'arrêt de l'aiguille centrale. Une troisième pression (sur ce même poussoir) remet l'aiguille chronographe en marche. Ceci permet d'interrompre une observation et de la reprendre au point où elle a été arrêtée.
La remise à zéro des aiguilles des secondes, minutes et heures est obtenue par pression sur le deuxième poussoir (B).
La fonction « retour en vol » autorise la remise à zéro instantanée par une pression sur le deuxième poussoir (B) pendant la marche du chronographe, sans avoir à assurer auparavant l'arrêt par le premier poussoir (A). En maintenant la pression sur le deuxième poussoir, l'aiguille reste à zéro et ne repart que lorsque la pression cesse.
Ce dispositif permet à un pilote d’avion ou à un commandant de navire de suivre des instructions, de changer de cap selon un programme prédéfini. Dès qu'une séquence est écoulée, la pression sur le poussoir déclenche la séquence suivante.
La lunette tournante complète les totalisateurs des minutes et des heures en faisant office de compte à rebours horaire. Pour un vol de 4 h, le pilote met le chiffre « 4 » en face de l'aiguille d'heure du cadran principal, et fait démarrer le chronographe : lorsque l'aiguille d'heure sera en face du repère lumineux « 0 » , les quatre heures seront écoulées.
Le rehaut tachymétrique permet de connaître la vitesse de l’avion lors d’un décollage sur une piste courte. En effet, si le pilote n’a pas atteint une accélération suffisante pour décoller par rapport à une distance prédéfinie, il choisira d’inverser la poussée des moteurs afin de tenter un décollage en toute sécurité.
Le passé militaire de cette montre
Les montres militaires ont une histoire : elles reflètent d’intenses campagnes de recherche de précision et d’authenticité. La montre devait en effet être à même de suppléer la défaillance des appareils de bord en servant d’instrument de navigation aux pilotes.
Tout en conservant leur précision, ces chronographes supportaient déjà des contraintes extrêmes en termes d’accélération, de vibration, de variations de températures et de résistance aux effets magnétiques.
Sur commande officielle de l’Etat-major français, la Maison Dodane a développé le chronographe TYPE 21 à partir des années 1950. Le ministère de la Défense a alors imposé un cahier des charges rigoureux pour des chronographes utilisés au sein de l’armée.
Les exigences des différents commanditaires, en particulier la marine et les armées de l'air, ont obligé les maîtres horlogers à aller toujours plus loin dans la précision, dans la fiabilité, ainsi que dans la complication.
Première de ces conditions : posséder la fonction « retour en vol », c'est-à-dire la possibilité de mettre à zéro et de faire ensuite immédiatement repartir la fonction chronographique.
Le commandement de l'Armée de l'Air a imposé cette condition dans la mesure où elle était d'une importance vitale pour les aviateurs, lorsqu'ils passaient au-dessus d'une balise ou lorsqu'ils devaient atterrir en se basant sur les temps indiqués par la tour de contrôle.
Une telle exigence peut aujourd'hui faire sourire si l'on pense à l'évolution et à la sophistication des équipements électroniques actuels. Reste qu'à l'époque, la fiabilité de l'industrie horlogère de précision pouvait être tout simplement une question de vie ou de mort et la montre était devenue un instrument de navigation, à même de suppléer la défaillance des appareils de bord.
Parmi les autres conditions imposées par le cahier des charges du ministère français de la Défense: une autonomie supérieure à 35 heures et un écart maximal de 8 secondes par 24 heures. L'écart étant réduit à 0,2 secondes par minute et 0,5 secondes par demi-heure pour les chronographes. De plus, le chronographe devait être capable de fonctionner un minimum de 300 mises en marche, arrêts et remises à zéro consécutives.
Déjà utilisé par l’armée de l’air ainsi que dans d’autres corps, il fut fourni à l’OTAN dans le cadre de missions délicates. Dans les années 1990, les chronographes Dodane Type 21 exerçaient toujours leur talent dans l'aviation légère de l'Armée de Terre.
Tout en conservant leur précision, ces chronographes supportaient déjà des contraintes extrêmes en termes d’accélération, de vibration, de variations de températures et de résistance aux effets magnétiques.
Sur commande officielle de l’Etat-major français, la Maison Dodane a développé le chronographe TYPE 21 à partir des années 1950. Le ministère de la Défense a alors imposé un cahier des charges rigoureux pour des chronographes utilisés au sein de l’armée.
Les exigences des différents commanditaires, en particulier la marine et les armées de l'air, ont obligé les maîtres horlogers à aller toujours plus loin dans la précision, dans la fiabilité, ainsi que dans la complication.
Première de ces conditions : posséder la fonction « retour en vol », c'est-à-dire la possibilité de mettre à zéro et de faire ensuite immédiatement repartir la fonction chronographique.
Le commandement de l'Armée de l'Air a imposé cette condition dans la mesure où elle était d'une importance vitale pour les aviateurs, lorsqu'ils passaient au-dessus d'une balise ou lorsqu'ils devaient atterrir en se basant sur les temps indiqués par la tour de contrôle.
Une telle exigence peut aujourd'hui faire sourire si l'on pense à l'évolution et à la sophistication des équipements électroniques actuels. Reste qu'à l'époque, la fiabilité de l'industrie horlogère de précision pouvait être tout simplement une question de vie ou de mort et la montre était devenue un instrument de navigation, à même de suppléer la défaillance des appareils de bord.
Parmi les autres conditions imposées par le cahier des charges du ministère français de la Défense: une autonomie supérieure à 35 heures et un écart maximal de 8 secondes par 24 heures. L'écart étant réduit à 0,2 secondes par minute et 0,5 secondes par demi-heure pour les chronographes. De plus, le chronographe devait être capable de fonctionner un minimum de 300 mises en marche, arrêts et remises à zéro consécutives.
Déjà utilisé par l’armée de l’air ainsi que dans d’autres corps, il fut fourni à l’OTAN dans le cadre de missions délicates. Dans les années 1990, les chronographes Dodane Type 21 exerçaient toujours leur talent dans l'aviation légère de l'Armée de Terre.
Extrait du programme technique (1956)
La Maison Dodane fut la seule entreprise française à avoir été homologuée pour la fabrication des chronographes altimétriques permettant aux parachutistes le saut de nuit à ouverture retardée. Elle mis également au point le compteur au 100ème de seconde destiné au contrôle des sièges éjectables utilisés par l’Aérospatiale.
La maîtrise technologique de l’électronique permit à la Maison Dodane d'être choisie en 1983 par l'Armée allemande pour développer un instrument chronographique de bord totalement nouveau et révolutionnaire: le type 211. Ce chronographe fut intégré au tableau de bord des hélicoptères franco-allemands Tigre, des avions Mirages 2000 et Rafales.
La maîtrise technologique de l’électronique permit à la Maison Dodane d'être choisie en 1983 par l'Armée allemande pour développer un instrument chronographique de bord totalement nouveau et révolutionnaire: le type 211. Ce chronographe fut intégré au tableau de bord des hélicoptères franco-allemands Tigre, des avions Mirages 2000 et Rafales.
Spécifités techniques Type 21 Dodane 1827
Chronographe trois totalisateurs (heure, minute, seconde) au 1/5éme de seconde
Étanchéité 100 m (10 bars)
Mouvement 57 rubis, chronographe automatique Dubois-Depraz 42021 sur base ETA 2892A2 Swiss-made
Assortiment chronométrique et finition côtes de Genève
Mécanisme « Retour en vol » (Flyback)
Réserve de marche 42 heures
Boîtier acier inoxydable, diamètre 41,5 mm hauteur : 13,7 mm
Lunette tournante unidirectionnelle avec cliquet anti-retour
Aiguilles et chiffrage luminescents superluminova
Verre supérieur saphir et verre inférieur minéral trempé.
Bracelet cuir ou acier à boucle déployante
Tarification du Type 21 Dodane 1827
bracelet cuir : 2 490 €
Bracelet métal aviateur : 485 €
Homologation chronométrique auprès de l’observatoire de contrôle du temps de Besançon : 250 €
Transport Colissimo suivi avec assurance : Inclus
Transporteur express (UPS) avec assurance : 50 €
DODANE 1857 (Anode)
2 Chemin des Barbizets
F.25870 Châtillon Le Duc
Tel : (+33) (0)3 81 58 88 02
Fax : (+33) (0)3 81 58 92 27
E-mail : info@dodane1857.com
Site Internet : www.dodane1857.com
Étanchéité 100 m (10 bars)
Mouvement 57 rubis, chronographe automatique Dubois-Depraz 42021 sur base ETA 2892A2 Swiss-made
Assortiment chronométrique et finition côtes de Genève
Mécanisme « Retour en vol » (Flyback)
Réserve de marche 42 heures
Boîtier acier inoxydable, diamètre 41,5 mm hauteur : 13,7 mm
Lunette tournante unidirectionnelle avec cliquet anti-retour
Aiguilles et chiffrage luminescents superluminova
Verre supérieur saphir et verre inférieur minéral trempé.
Bracelet cuir ou acier à boucle déployante
Tarification du Type 21 Dodane 1827
bracelet cuir : 2 490 €
Bracelet métal aviateur : 485 €
Homologation chronométrique auprès de l’observatoire de contrôle du temps de Besançon : 250 €
Transport Colissimo suivi avec assurance : Inclus
Transporteur express (UPS) avec assurance : 50 €
DODANE 1857 (Anode)
2 Chemin des Barbizets
F.25870 Châtillon Le Duc
Tel : (+33) (0)3 81 58 88 02
Fax : (+33) (0)3 81 58 92 27
E-mail : info@dodane1857.com
Site Internet : www.dodane1857.com