Au sein de ces enchères horlogères haut de gamme comprenant comme toujours, plusieurs centaines de lots, un volet thématique de 43 pièces, la « collection Picciotto », s’est démarqué, attirant une nouvelle vague de collectionneurs. Il s’agissait de fait de la « première vente dédiée à la collection personnelle d’un détaillant » mais également de la première vente « couvrant l’absolue totalité de sa collection », une vente qui comportait « une part élevée de pièces uniques et personnelles », mais aussi « des lots accompagnés de raretés horlogères dont certaines elles aussi uniques ». Au final, des résultats qui ont dépassé de 63% les premiers pronostics.
Ce 31 mai, le fondateur de Chronopassion à Paris s’est donc séparé de l’intégralité de ses pièces. « Pour repartir à zéro » selon Laurent Picciotto. L’homme reste le « trendsetter » qui a façonné une large part de l’univers horloger de ces trente dernières années (notamment dans l’horlogerie d’avant-garde) mais souhaite, aujourd’hui, reconstruire une nouvelle collection avec de nouveaux objectifs.
Sa notoriété personnelle, notamment sur les réseaux sociaux, est un fait unique dans l’industrie horlogère et a considérablement contribué au succès de la vente Philipps. La vente fut également une première dans l’univers horloger. De fait, parmi les 43 lots proposés, beaucoup furent uniques : prototypes, pièces numérotées 001, réalisations sur-mesure.
Certaines montres étaient convoitées depuis des années par certains collectionneurs et leur mise sur le marché a provoqué l’emballement de nombreux amateurs, à l’instar d’un chronographe split-second tourbillon en titane signé Richard Mille, le seul et unique jamais réalisé par la manufacture et qui s’est adjugé à près de 365.000 dollars. Au total, les lots se sont arrachés entre les 45 pays représentés sur place, venant de cinq continents. Les seules enchères en ligne ont attiré dix fois plus de collectionneurs que de lots disponibles, avec plus de 450 connexions individuelles enregistrées.
Enfin, la vente « Laurent Picciotto » fut également une première en termes de format, avec la proposition, en sus des pièces, de nombreux lots additionnels –goodies- représentant tous des séquences uniques de la vie de la haute horlogerie de ces trois dernières décennies : maquettes, dédicaces, plans, ouvrages et même une guitare « Richard Mille » unique.
« C’est la combinaison de ces différents facteurs qui a rendu cette vente tout à fait exceptionnelle », résume Laurent Picciotto. « Bien au-delà du catalogue traditionnel, j’ai personnellement passé cinq jours avant-vente à rencontrer un à un tous les collectionneurs qui, venus du monde entier, ont marqué leur intérêt pour cette occasion. Nous avons agrégé non seulement des amateurs d’horlogerie contemporaine mais également des collectionneurs de vintage qui ont tout de suite saisi le caractère historique de cette vente qui proposait, au final, les collectors de demain. Nous avons travaillé plus d’un an pour ce résultat et l’engagement total de Phillips et de l'inégalable Aurel Bacs à mes côtés a été déterminant ».
On ne présente plus Laurent Picciotto. Tout le monde le connait dans l’univers des montres de luxe. C’est lui qui a fondé l’enseigne Chronopassion. C’est lui aussi qui ouvrit la toute première boutique Audemars Piguet en France en 1997 puis ensuite, la toute première boutique Hublot en 2007.
Il est l’un des supporters de la toute première heure des horlogers indépendants. On peut affirmer, sans trop se tromper, que le monde de l’horlogerie actuelle ne serait probablement pas tout à fait le même sans ses investissements, sans sa clairvoyance, sans son intervention, sans son aide et sans son support. On le sait peu, mais il fut par exemple, au tout début associé à Richard Mille lors du lancement de la marque. Et d’autres grands noms comme MB&F, Urwerk ou encore HYT lui doivent également beaucoup.
Ce 31 mai, le fondateur de Chronopassion à Paris s’est donc séparé de l’intégralité de ses pièces. « Pour repartir à zéro » selon Laurent Picciotto. L’homme reste le « trendsetter » qui a façonné une large part de l’univers horloger de ces trente dernières années (notamment dans l’horlogerie d’avant-garde) mais souhaite, aujourd’hui, reconstruire une nouvelle collection avec de nouveaux objectifs.
Sa notoriété personnelle, notamment sur les réseaux sociaux, est un fait unique dans l’industrie horlogère et a considérablement contribué au succès de la vente Philipps. La vente fut également une première dans l’univers horloger. De fait, parmi les 43 lots proposés, beaucoup furent uniques : prototypes, pièces numérotées 001, réalisations sur-mesure.
Certaines montres étaient convoitées depuis des années par certains collectionneurs et leur mise sur le marché a provoqué l’emballement de nombreux amateurs, à l’instar d’un chronographe split-second tourbillon en titane signé Richard Mille, le seul et unique jamais réalisé par la manufacture et qui s’est adjugé à près de 365.000 dollars. Au total, les lots se sont arrachés entre les 45 pays représentés sur place, venant de cinq continents. Les seules enchères en ligne ont attiré dix fois plus de collectionneurs que de lots disponibles, avec plus de 450 connexions individuelles enregistrées.
Enfin, la vente « Laurent Picciotto » fut également une première en termes de format, avec la proposition, en sus des pièces, de nombreux lots additionnels –goodies- représentant tous des séquences uniques de la vie de la haute horlogerie de ces trois dernières décennies : maquettes, dédicaces, plans, ouvrages et même une guitare « Richard Mille » unique.
« C’est la combinaison de ces différents facteurs qui a rendu cette vente tout à fait exceptionnelle », résume Laurent Picciotto. « Bien au-delà du catalogue traditionnel, j’ai personnellement passé cinq jours avant-vente à rencontrer un à un tous les collectionneurs qui, venus du monde entier, ont marqué leur intérêt pour cette occasion. Nous avons agrégé non seulement des amateurs d’horlogerie contemporaine mais également des collectionneurs de vintage qui ont tout de suite saisi le caractère historique de cette vente qui proposait, au final, les collectors de demain. Nous avons travaillé plus d’un an pour ce résultat et l’engagement total de Phillips et de l'inégalable Aurel Bacs à mes côtés a été déterminant ».
On ne présente plus Laurent Picciotto. Tout le monde le connait dans l’univers des montres de luxe. C’est lui qui a fondé l’enseigne Chronopassion. C’est lui aussi qui ouvrit la toute première boutique Audemars Piguet en France en 1997 puis ensuite, la toute première boutique Hublot en 2007.
Il est l’un des supporters de la toute première heure des horlogers indépendants. On peut affirmer, sans trop se tromper, que le monde de l’horlogerie actuelle ne serait probablement pas tout à fait le même sans ses investissements, sans sa clairvoyance, sans son intervention, sans son aide et sans son support. On le sait peu, mais il fut par exemple, au tout début associé à Richard Mille lors du lancement de la marque. Et d’autres grands noms comme MB&F, Urwerk ou encore HYT lui doivent également beaucoup.