Quant à la parka, elle n’est apparue dans le vocabulaire qu’au début des années soixante. Il s’agit d’une veste ¾ matelassée et à capuche qui fit la une du catalogue d’hiver de l’armée américaine lors de la guerre de Corée.
Pratique et chaude, la parka est particulièrement destinée à tous ceux qui pratiquent la marche en raquettes, le scooter des neiges ou encore la chasse dans des régions très froides.
Les meilleures parkas et les plus authentiques sont celles fabriquées par la maison Tenson, une marque distribuée en France par la boutique Le Petit Matelot, avenue de la Grande Armée à Paris (sinon disponible en ligne sur le site de la marque).
Pratique et chaude, la parka est particulièrement destinée à tous ceux qui pratiquent la marche en raquettes, le scooter des neiges ou encore la chasse dans des régions très froides.
Les meilleures parkas et les plus authentiques sont celles fabriquées par la maison Tenson, une marque distribuée en France par la boutique Le Petit Matelot, avenue de la Grande Armée à Paris (sinon disponible en ligne sur le site de la marque).
Le modèle Himalaya (300 euros) avec une grande capuche réglable, des poches de manche, deux vastes poches plaquées et des chauffes mains, est parfait pour affronter les froids les plus intenses. Les Canadiens, les Suédois, les Finlandais et les Anglais ont tous adopté la Tenson.
Précisons qu’à cette époque, la Canadian Goose n’était pas encore sortie des écoles de marketing. En France, Moncler dès 1952 et Eider à partir de 1963, proposeront aux amateurs de neige des vêtements adaptés à leur sport.
Alors que sur certaines photographies d’avant-guerre, on pouvait voir des skieurs équipés de canadiennes ou même de gros manteaux en lainage, ces deux fabricants ont su proposer des vêtements pratiques, efficaces et élégants et aussi, préserver au fil des années une image de tradition en adoptants des matériaux contemporains. Principalement hydrofuge comme le Gore-tex.
Précisons qu’à cette époque, la Canadian Goose n’était pas encore sortie des écoles de marketing. En France, Moncler dès 1952 et Eider à partir de 1963, proposeront aux amateurs de neige des vêtements adaptés à leur sport.
Alors que sur certaines photographies d’avant-guerre, on pouvait voir des skieurs équipés de canadiennes ou même de gros manteaux en lainage, ces deux fabricants ont su proposer des vêtements pratiques, efficaces et élégants et aussi, préserver au fil des années une image de tradition en adoptants des matériaux contemporains. Principalement hydrofuge comme le Gore-tex.
L’ère du Gore-Tex
C’est ainsi qu’au coton et à la popeline des débuts ont succédé les polyamides, les microfibres, le cordura et l’inévitable Gore-tex. Heureusement, la plume d’oie et de canard sont encore là pour garnir les vestes en duvet d’un matériau naturel léger et chaud.
Lors de l’achat d’un anorak, l’aspect pratique du vêtement et sa résistance aux conditions climatiques sont prioritaires ; on doit y trouver tous les équipements d’un bon vêtement de montagne : réglage de la taille et du bas par un cordon réglable, fermeture des poignets, fermeture éclair à double curseur, capuche intégrée dans le col, poches à rabats, poches intérieurs fermées et empiècements renforcées pour les parties exposées à l’usure.
Après des années de couleurs criardes (ne pas oublier néanmoins que le rouge est une couleur prioritaire lorsque l’on pratique l’alpinisme et les courses à ski de haute montagne en étant bien visibles pour les secouristes) et d’imprimés impossibles à porter, une certaine sobriété semble être désormais de mise.
Les skieurs de randonnée n’ayant pas envie d’être trempé à la moindre tempête de neige. C’est l’alpiniste français Lionel Terray qui en 1950 fit fabriquer à l’occasion de la première expédition française à l’Himalaya, des vêtements spécifiques.
C’est ainsi qu’au coton et à la popeline des débuts ont succédé les polyamides, les microfibres, le cordura et l’inévitable Gore-tex. Heureusement, la plume d’oie et de canard sont encore là pour garnir les vestes en duvet d’un matériau naturel léger et chaud.
Lors de l’achat d’un anorak, l’aspect pratique du vêtement et sa résistance aux conditions climatiques sont prioritaires ; on doit y trouver tous les équipements d’un bon vêtement de montagne : réglage de la taille et du bas par un cordon réglable, fermeture des poignets, fermeture éclair à double curseur, capuche intégrée dans le col, poches à rabats, poches intérieurs fermées et empiècements renforcées pour les parties exposées à l’usure.
Après des années de couleurs criardes (ne pas oublier néanmoins que le rouge est une couleur prioritaire lorsque l’on pratique l’alpinisme et les courses à ski de haute montagne en étant bien visibles pour les secouristes) et d’imprimés impossibles à porter, une certaine sobriété semble être désormais de mise.
Les skieurs de randonnée n’ayant pas envie d’être trempé à la moindre tempête de neige. C’est l’alpiniste français Lionel Terray qui en 1950 fit fabriquer à l’occasion de la première expédition française à l’Himalaya, des vêtements spécifiques.
Moncler, une maison qui fabriquait des sacs de couchage, eut l’idée de les utiliser pour concevoir des vêtements adaptés aux températures extrêmes. La « doudoune » était née. Elle devint pendant une trentaine d’année la joie des alpinistes frileux.
Grâce à un enthousiasme fébrile de la presse féminine, la doudoune conquis ainsi la ville il y a quelques années rejointe ensuite par la parka. Deux vêtements pratiques et indispensables dans le vestiaire d’un sportif mais totalement incongrus et inélégants en ville.
A défaut, on prendra soin de s’équiper d’un vêtement authentique. L’authenticité étant la marque première de l’élégance. En ville, un manteau de type Chesterfield en laine peignée est l’idéal. A défaut, un bon vieux trench-coat Burberrys ou Aquascutum avec sa doublure en poil de chameau fera aussi l’affaire.
Et ne pas oublier le principe de base de l’élégance : l’authenticité de ce que l’on porte. La parka oui, mais pas en ville !
Joël Chassaing-Cuvillier
*l’anorak traditionnel était fabriqué en boyaux de phoque
Quelques adresses :
Le Vieux Campeur, rue des Ecoles 75006 Paris
Le Petit Matelot, 27 av de la Grande Armée 750116 Paris
Grâce à un enthousiasme fébrile de la presse féminine, la doudoune conquis ainsi la ville il y a quelques années rejointe ensuite par la parka. Deux vêtements pratiques et indispensables dans le vestiaire d’un sportif mais totalement incongrus et inélégants en ville.
A défaut, on prendra soin de s’équiper d’un vêtement authentique. L’authenticité étant la marque première de l’élégance. En ville, un manteau de type Chesterfield en laine peignée est l’idéal. A défaut, un bon vieux trench-coat Burberrys ou Aquascutum avec sa doublure en poil de chameau fera aussi l’affaire.
Et ne pas oublier le principe de base de l’élégance : l’authenticité de ce que l’on porte. La parka oui, mais pas en ville !
Joël Chassaing-Cuvillier
*l’anorak traditionnel était fabriqué en boyaux de phoque
Quelques adresses :
Le Vieux Campeur, rue des Ecoles 75006 Paris
Le Petit Matelot, 27 av de la Grande Armée 750116 Paris