Depuis sa naissance en 1833, la manufacture Jaeger-leCoultre n’a eu de cesse de créer et produire des garde-temps d’une qualité irréprochable.
Années après années, les horlogers, ingénieurs et designers ont ainsi donné vie à des pièces d’exception, contribuant au développement d’un patrimoine horloger complexe, riche et dense, dont les archives des possesseurs se perdent parfois dans les méandres du temps.
Depuis le printemps 2010, Jaeger-LeCoultre propose aux collectionneurs et aux amateurs de beaux objets un tout nouvel Extrait d’Archives, de « très belle facture » et au contenu étoffé.
Plus concrètement, ce document officiel retrace l’origine des garde-temps confectionnés dans les ateliers de Jaeger-LeCoultre. Fragment de l’histoire de la Grande Maison, il reproduit les parties des archives relatives à la fabrication du garde-temps qu’il décrit : modèle, calibre, fonctions, habillage, date de production, caractéristiques particulières.
Le nouvel Extrait d’Archives Jaeger-LeCoultre a pour vocation d’offrir une véritable plus value aux objets qu’il accompagne. Inspiré de l’esthétique des titres de la manufacture au 19ème siècle, chaque Extrait d’Archives est fabriqué en papier précieux, embelli de motifs imprimés en argent à chaud ou gravés au laser, et protégé par une chemise assemblée à la main. Chaque Extrait est signé par l’expert en horlogerie ancienne de Jaeger-LeCoultre, et porte le sceau officiel du Patrimoine.
Deux voies conduisent à ce sésame : la partie contact du site internet www.jaeger-lecoultre.com ou la voie classique du Service Clients. Une somme de 300 francs suisses est perçue pour couvrir les frais de recherche et d’établissement du document. Pour entreprendre les investigations nécessaires, l’expert en horlogerie ancienne doit disposer de photographies de la montre ou de la pendule, de son mouvement ainsi que des numéros du boîtier et du calibre.
Le premier Extrait d’Archives, dans sa nouvelle version, a été consacré –à tout seigneur, tout honneur– au célèbre chronomètre Geophysic de 1958 qui a accompagné à l’automne 2009 la première ascension du Mont Antoine LeCoultre, un sommet encore vierge de l’Himalaya. Mis en vente par Jaeger- LeCoultre au profit de l’UNESCO, cette montre ancienne en acier a dépassé le seuil des 20.000 francs suisses.
Années après années, les horlogers, ingénieurs et designers ont ainsi donné vie à des pièces d’exception, contribuant au développement d’un patrimoine horloger complexe, riche et dense, dont les archives des possesseurs se perdent parfois dans les méandres du temps.
Depuis le printemps 2010, Jaeger-LeCoultre propose aux collectionneurs et aux amateurs de beaux objets un tout nouvel Extrait d’Archives, de « très belle facture » et au contenu étoffé.
Plus concrètement, ce document officiel retrace l’origine des garde-temps confectionnés dans les ateliers de Jaeger-LeCoultre. Fragment de l’histoire de la Grande Maison, il reproduit les parties des archives relatives à la fabrication du garde-temps qu’il décrit : modèle, calibre, fonctions, habillage, date de production, caractéristiques particulières.
Le nouvel Extrait d’Archives Jaeger-LeCoultre a pour vocation d’offrir une véritable plus value aux objets qu’il accompagne. Inspiré de l’esthétique des titres de la manufacture au 19ème siècle, chaque Extrait d’Archives est fabriqué en papier précieux, embelli de motifs imprimés en argent à chaud ou gravés au laser, et protégé par une chemise assemblée à la main. Chaque Extrait est signé par l’expert en horlogerie ancienne de Jaeger-LeCoultre, et porte le sceau officiel du Patrimoine.
Deux voies conduisent à ce sésame : la partie contact du site internet www.jaeger-lecoultre.com ou la voie classique du Service Clients. Une somme de 300 francs suisses est perçue pour couvrir les frais de recherche et d’établissement du document. Pour entreprendre les investigations nécessaires, l’expert en horlogerie ancienne doit disposer de photographies de la montre ou de la pendule, de son mouvement ainsi que des numéros du boîtier et du calibre.
Le premier Extrait d’Archives, dans sa nouvelle version, a été consacré –à tout seigneur, tout honneur– au célèbre chronomètre Geophysic de 1958 qui a accompagné à l’automne 2009 la première ascension du Mont Antoine LeCoultre, un sommet encore vierge de l’Himalaya. Mis en vente par Jaeger- LeCoultre au profit de l’UNESCO, cette montre ancienne en acier a dépassé le seuil des 20.000 francs suisses.