Entre Girard-Perregaux et l’automobile, c’est une longue histoire. Une histoire de passions et une histoire d’hommes, notamment grâce aux anciens propriétaires, la famille Macaluso, grande amatrice de sport mécaniques. Aujoud’hui dans le groupe Kering, la marque poursuit cette route avec la création de cette Laureato Absolute Passion, une édition en rouge et noire limitée à 50 exemplaires.
On ne présente plus la Laureato de chez Girard-Perregaux. Cette montre, depuis une quarantaine d’années, a été revisitée de nombreuses fois et déclinée en différentes éditions, mais son design d’origine n’a jamais été altéré.
Elle revient cette année dans une version en rouge et noire (des couleurs très racing) plus particulièrement dédiée aux sports mécaniques. Cette pièce exclusive ne sera produite qu’à 50 exemplaires seulement.
D’un diamètre de 44 mm, son boîtier en titane à facettes (étanche à 300 mètres, ce qui est rare pour un chrono) arbore un traitement PVD noir et de nombreux accents rouges, un clin d’œil à l’utilisation de cette couleur sur les chronographes historiques de Girard-Perregaux (notamment ceux réalisés il y a des années avec Ferrari).
Côté moteur, cette GP embarque un calibre mécanique automatique -le GP03300-1058, 419 composants- fabriqué au sein de sa manufacture. Précisons que le pont de barillet présente à lui seul cinq finitions distinctes : gravure, côtes de Genève, anglage, polissage miroir et perlage. Sa réserve de marche est de 46h.
Le bracelet en caoutchouc, orné d’un insert et de surpiqûres rouges, s’intègre à la carrure de la montre, donnant l’impression d’une seule et même pièce. La boucle est pourvue d’un système de micro-ajustement qui contribue au confort de ce strap. Compter 13.500 euros.
On ne présente plus la Laureato de chez Girard-Perregaux. Cette montre, depuis une quarantaine d’années, a été revisitée de nombreuses fois et déclinée en différentes éditions, mais son design d’origine n’a jamais été altéré.
Elle revient cette année dans une version en rouge et noire (des couleurs très racing) plus particulièrement dédiée aux sports mécaniques. Cette pièce exclusive ne sera produite qu’à 50 exemplaires seulement.
D’un diamètre de 44 mm, son boîtier en titane à facettes (étanche à 300 mètres, ce qui est rare pour un chrono) arbore un traitement PVD noir et de nombreux accents rouges, un clin d’œil à l’utilisation de cette couleur sur les chronographes historiques de Girard-Perregaux (notamment ceux réalisés il y a des années avec Ferrari).
Côté moteur, cette GP embarque un calibre mécanique automatique -le GP03300-1058, 419 composants- fabriqué au sein de sa manufacture. Précisons que le pont de barillet présente à lui seul cinq finitions distinctes : gravure, côtes de Genève, anglage, polissage miroir et perlage. Sa réserve de marche est de 46h.
Le bracelet en caoutchouc, orné d’un insert et de surpiqûres rouges, s’intègre à la carrure de la montre, donnant l’impression d’une seule et même pièce. La boucle est pourvue d’un système de micro-ajustement qui contribue au confort de ce strap. Compter 13.500 euros.
