Sur le cadran, un guichet à 12 h s’ouvre sur une rangée de trois symboles, tandis qu’une découpe à 6 h permet d’admirer le pont d’or et la cage du Tourbillon.
La magie du jeu opère en tirant le levier situé sur le côté droit du boîtier. Les trois rouleaux s’activent, puis s’arrêtent aléatoirement sur l’un des cinq symboles possibles, tandis qu’un minuscule marteau frappe un timbre, ce qui produit un joyeux tintement évoquant celui des machines présentes dans les casinos.
Sur les 125 combinaisons, une seule représente le jackpot : les trois cloches alignées.
La technique qui insuffle vie à ce garde-temps unique en son genre ne doit rien au hasard. Pour réaliser cette prouesse, les défis étaient multiples : associer l’art horloger et un mécanisme de machines à sous, réussir sa miniaturisation et combiner toutes les fonctions.
Loin de se satisfaire d’un ajout ludique à un mouvement existant, Girard-Perregaux a opté pour une création complète. Des mois de développement ont été nécessaires pour concevoir ce calibre entièrement intégré, GPFAY08 Jackpot Tourbillon. Tout le mécanisme de la machine à sous est commandé par une crémaillère, qui lance les rouleaux, les stoppe et active la sonnerie (voir explications dans l'encadré ci-dessous).
Pour cette montre destinée à quelques poignets privilégiés, l’attention portée aux détails impliquait un choix minutieux des symboles. Ils reproduisent ceux de la première machine à sous mécanique, la fameuse « Liberty Bell » inventée à la fin du XIXe siècle par Charles August Fay et nommée ainsi en référence à l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique. Sur les rouleaux d’or, évidés puis délicatement laqués, défilent les piques, les cœurs, les carreaux, les fers à cheval et les célèbres cloches.
Authentique prouesse de miniaturisation, le mouvement extrêmement complexe comprend 502 composants et requiert les horlogers les plus qualifiés pour être fabriqué. Un barillet complémentaire permet d’actionner le levier qui peut être actionné un nombre illimité de fois sans affecter les quatre jours de réserve de la montre. Le fond transparent permet d'observer la splendeur du mouvement.
La magie du jeu opère en tirant le levier situé sur le côté droit du boîtier. Les trois rouleaux s’activent, puis s’arrêtent aléatoirement sur l’un des cinq symboles possibles, tandis qu’un minuscule marteau frappe un timbre, ce qui produit un joyeux tintement évoquant celui des machines présentes dans les casinos.
Sur les 125 combinaisons, une seule représente le jackpot : les trois cloches alignées.
La technique qui insuffle vie à ce garde-temps unique en son genre ne doit rien au hasard. Pour réaliser cette prouesse, les défis étaient multiples : associer l’art horloger et un mécanisme de machines à sous, réussir sa miniaturisation et combiner toutes les fonctions.
Loin de se satisfaire d’un ajout ludique à un mouvement existant, Girard-Perregaux a opté pour une création complète. Des mois de développement ont été nécessaires pour concevoir ce calibre entièrement intégré, GPFAY08 Jackpot Tourbillon. Tout le mécanisme de la machine à sous est commandé par une crémaillère, qui lance les rouleaux, les stoppe et active la sonnerie (voir explications dans l'encadré ci-dessous).
Pour cette montre destinée à quelques poignets privilégiés, l’attention portée aux détails impliquait un choix minutieux des symboles. Ils reproduisent ceux de la première machine à sous mécanique, la fameuse « Liberty Bell » inventée à la fin du XIXe siècle par Charles August Fay et nommée ainsi en référence à l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique. Sur les rouleaux d’or, évidés puis délicatement laqués, défilent les piques, les cœurs, les carreaux, les fers à cheval et les célèbres cloches.
Authentique prouesse de miniaturisation, le mouvement extrêmement complexe comprend 502 composants et requiert les horlogers les plus qualifiés pour être fabriqué. Un barillet complémentaire permet d’actionner le levier qui peut être actionné un nombre illimité de fois sans affecter les quatre jours de réserve de la montre. Le fond transparent permet d'observer la splendeur du mouvement.
Comment ça marche ?
Le levier sur le côté du boîtier est connecté à une crémaillère.
En tirant ce levier, la crémaillère monte le long du mouvement.
Quand la crémaillère a atteint son plus haut point, et seulement là, (un mécanisme appelé « tout ou rien »), elle lance les rouleaux et revient lentement en position.
Quand elle a atteint approximativement deux tiers de son chemin, elle active les stoppeurs, qui arrêtent les rouleaux un à un, et active de façon synchrone le mécanisme de sonnerie.
En tirant ce levier, la crémaillère monte le long du mouvement.
Quand la crémaillère a atteint son plus haut point, et seulement là, (un mécanisme appelé « tout ou rien »), elle lance les rouleaux et revient lentement en position.
Quand elle a atteint approximativement deux tiers de son chemin, elle active les stoppeurs, qui arrêtent les rouleaux un à un, et active de façon synchrone le mécanisme de sonnerie.
Spécificités techniques de la Girard-Perregaux Vintage 1945 Jackpot Tourbillon
Boitier en or blanc
Dimensions: 43.00 x 43.95 mm
Epaisseur: 17.30 mm
Glace: saphir antireflet
Fond : saphir sécurisé par quatre vis
Etanchéité : 3 atm (30 mètres)
Mouvement :
GPFAY08, manuel
Calibre: 38.60 x 32.60 mm
Fréquence: 21,600 vib/h (3 Hz)
Rubis: 38
Réserve de Marche : min. 96 heures
Fonctions : tourbillon, heure, minute, machine à sous et mécanisme de sonnerie, petite seconde sur le tourbillon
Bracelet alligator avec boucle déployante
Dimensions: 43.00 x 43.95 mm
Epaisseur: 17.30 mm
Glace: saphir antireflet
Fond : saphir sécurisé par quatre vis
Etanchéité : 3 atm (30 mètres)
Mouvement :
GPFAY08, manuel
Calibre: 38.60 x 32.60 mm
Fréquence: 21,600 vib/h (3 Hz)
Rubis: 38
Réserve de Marche : min. 96 heures
Fonctions : tourbillon, heure, minute, machine à sous et mécanisme de sonnerie, petite seconde sur le tourbillon
Bracelet alligator avec boucle déployante