Cette nouvelle pièce maîtresse dans la collection de Haute Horlogerie de Girard-Perregaux se veut l’expression « d’un patrimoine unique », dont les origines remontent au milieu du 19ème siècle.
A cette époque, l’horloger chaux-de-fonnier Constant Girard-Perregaux mène des recherches dans le domaine de l’échappement à tourbillon.
En 1860, il crée une montre qui obtient un prix de première classe à l’Observatoire de Neuchâtel : son mouvement à tourbillon comporte trois ponts parallèles sous lesquels sont alignés le barillet, la roue de grande moyenne et le tourbillon.
L’horloger poursuit sa quête et dépose en 1884 une demande de brevet auprès du « United States Patent Office » pour protéger le dessin du mouvement sous trois ponts en forme de flèches et disposés en parallèle. Il concrétise ainsi un concept totalement innovant : le mouvement n’est plus seulement un élément technique et fonctionnel, mais aussi un élément de design à part entière.
En 1889, c’est la consécration : son Tourbillon sous trois Ponts d’or remporte une médaille d’or à l’Exposition Universelle de Paris. Un siècle plus tard, à la fin des années 1970, Girard-Perregaux décide de reprendre la réalisation de cette icône de la Haute Horlogerie suisse. C’est alors une entreprise courageuse, qui anticipe le succès retrouvé des montres mécaniques à complications. Le numéro un d’une série de vingt montres de poche est créé en 1981, après quelque 1.500 heures de travail.
Depuis, quelques rares pièces interprétant ce design dans des versions modernes naissent chaque année dans les ateliers de la Manufacture.
Le nouveau Tourbillon sous trois Ponts d’or imaginé pour 2010 présente une forme rare des trois ponts : celle de la montre primée par l’Observatoire de Neuchâtel en 1860. Ils ont été réinterprétés dans une version ajourée qui confère à la montre « une pureté très contemporaine » souligne la marque dans son communiqué. Leur réalisation est le fruit d’une préparation minutieuse : les ponts sont tout d’abord évidés puis soigneusement polis à la main. Sept jours entiers de travail sont nécessaires pour obtenir une finition impeccable.
Le tourbillon fait également l’objet d’une attention extrême : il faut des doigts de fée pour assembler les 72 composants, tenant au final dans un diamètre d’un centimètre. Il pèse 0,3 gramme, évoquant la légèreté d’une plume de cygne.
Il s’accompagne d’un système à remontage automatique breveté par la manufacture : une masse oscillante d’un petit diamètre, façonnée dans le platine, est installée dans l’espace au-dessous et autour du barillet. Elle laisse ainsi intactes la dimension et l’architecture du mouvement.
Quant au boîtier d’or, dont les proportions et courbes s’adaptent idéalement au poignet, il propose une nouvelle facette de la prestigieuse collection des Tourbillons sous trois Ponts d’or et perpétue ainsi sa merveilleuse histoire.
A cette époque, l’horloger chaux-de-fonnier Constant Girard-Perregaux mène des recherches dans le domaine de l’échappement à tourbillon.
En 1860, il crée une montre qui obtient un prix de première classe à l’Observatoire de Neuchâtel : son mouvement à tourbillon comporte trois ponts parallèles sous lesquels sont alignés le barillet, la roue de grande moyenne et le tourbillon.
L’horloger poursuit sa quête et dépose en 1884 une demande de brevet auprès du « United States Patent Office » pour protéger le dessin du mouvement sous trois ponts en forme de flèches et disposés en parallèle. Il concrétise ainsi un concept totalement innovant : le mouvement n’est plus seulement un élément technique et fonctionnel, mais aussi un élément de design à part entière.
En 1889, c’est la consécration : son Tourbillon sous trois Ponts d’or remporte une médaille d’or à l’Exposition Universelle de Paris. Un siècle plus tard, à la fin des années 1970, Girard-Perregaux décide de reprendre la réalisation de cette icône de la Haute Horlogerie suisse. C’est alors une entreprise courageuse, qui anticipe le succès retrouvé des montres mécaniques à complications. Le numéro un d’une série de vingt montres de poche est créé en 1981, après quelque 1.500 heures de travail.
Depuis, quelques rares pièces interprétant ce design dans des versions modernes naissent chaque année dans les ateliers de la Manufacture.
Le nouveau Tourbillon sous trois Ponts d’or imaginé pour 2010 présente une forme rare des trois ponts : celle de la montre primée par l’Observatoire de Neuchâtel en 1860. Ils ont été réinterprétés dans une version ajourée qui confère à la montre « une pureté très contemporaine » souligne la marque dans son communiqué. Leur réalisation est le fruit d’une préparation minutieuse : les ponts sont tout d’abord évidés puis soigneusement polis à la main. Sept jours entiers de travail sont nécessaires pour obtenir une finition impeccable.
Le tourbillon fait également l’objet d’une attention extrême : il faut des doigts de fée pour assembler les 72 composants, tenant au final dans un diamètre d’un centimètre. Il pèse 0,3 gramme, évoquant la légèreté d’une plume de cygne.
Il s’accompagne d’un système à remontage automatique breveté par la manufacture : une masse oscillante d’un petit diamètre, façonnée dans le platine, est installée dans l’espace au-dessous et autour du barillet. Elle laisse ainsi intactes la dimension et l’architecture du mouvement.
Quant au boîtier d’or, dont les proportions et courbes s’adaptent idéalement au poignet, il propose une nouvelle facette de la prestigieuse collection des Tourbillons sous trois Ponts d’or et perpétue ainsi sa merveilleuse histoire.
Spécificités techniques du Tourbillon sous trois Ponts d’Or Girard-Perregaux
Boîtier en or rose
Diamètre : 41 mm
Glace saphir
Fond fermé par 6 vis
Etanchéité : 30 mètres
Mouvement
Girard-Perregaux GP9600C
Mécanique à remontage automatique
Calibre : 32 mm
Fréquence : 21 600 alternances/heure (3 Hz)
Rubis : 30
Réserve de marche : minimum 48 heures
Fonctions : tourbillon, heure, minute, petite seconde sur le tourbillon
Bracelet en alligator avec boucle déployante
Edition limitée et numérotée de 50 pièces
Diamètre : 41 mm
Glace saphir
Fond fermé par 6 vis
Etanchéité : 30 mètres
Mouvement
Girard-Perregaux GP9600C
Mécanique à remontage automatique
Calibre : 32 mm
Fréquence : 21 600 alternances/heure (3 Hz)
Rubis : 30
Réserve de marche : minimum 48 heures
Fonctions : tourbillon, heure, minute, petite seconde sur le tourbillon
Bracelet en alligator avec boucle déployante
Edition limitée et numérotée de 50 pièces