Terminé le beau stand Hermès tout recouvert de feuillages au premier étage de la Foire de Bâle, à la sortie des escalators. En effet, La Montre Hermès vient d’annoncer dans un récent article du quotidien helvétique Le Temps, sa décision de participer, à partir de l’année prochaine, au SIHH de Genève qui se tient traditionnellement au mois de janvier.
Un déménagement qui intervient alors que les deux salons sont de plus en plus en concurrence. De fait, il y a encore quelques années, le SIHH concernait majoritairement les marques du groupe Richemont, avec en plus Audemars Piguet et Parmigiani Fleurier. Puis on a vu l’ouverture d’un espace dédié aux horlogers indépendants (un passionnant Carré des horlogers), le retour de Girard-Perregaux après quelques années d’absence et l’arrivée d’Ulysse Nardin… L’année prochaine, c’est donc Hermès* qui s’inscrira au sein de ce luxueux salon.
On assiste clairement à une montée en puissance du SIHH depuis quelques temps. Parallèlement, Baselworld est souvent critiqué pour ses tarifs exorbitants, surtout dans cette période où l’industrie horlogère est mise à mal. D’ailleurs, pour l’édition 2017, sur 200 exposants qui ne sont pas revenus, on comptait une soixantaine de marques de montres.
Dernier point et non des moindres : depuis cette année, le SIHH à l’origine réservé aux professionnels de l’industrie (marques, fournisseurs, détaillants et journalistes), s’est ouvert le temps d’une journée au grand public. Une opération couronnée de succès qui sera renouvelée l’année prochaine à n’en pas douter.
Naturellement, ces deux rendez-vous restent incontournables, mais incontestablement, le SIHH affirme de plus en plus sa puissance pendant que la Foire de Bâle perd certains de ses fleurons. Certes, des marques prestigieuses et totalement incontournables comme Rolex, Patek Philippe, Chopard, Breitling, Bulgari, Chanel, etc. restent à Baselworld, mais manifestement, un vent nouveau souffle sur Genève pour les années à venir.
*Rappelons qu’Hermès possède un quart de la manufacture horlogère Vaucher.
Un déménagement qui intervient alors que les deux salons sont de plus en plus en concurrence. De fait, il y a encore quelques années, le SIHH concernait majoritairement les marques du groupe Richemont, avec en plus Audemars Piguet et Parmigiani Fleurier. Puis on a vu l’ouverture d’un espace dédié aux horlogers indépendants (un passionnant Carré des horlogers), le retour de Girard-Perregaux après quelques années d’absence et l’arrivée d’Ulysse Nardin… L’année prochaine, c’est donc Hermès* qui s’inscrira au sein de ce luxueux salon.
On assiste clairement à une montée en puissance du SIHH depuis quelques temps. Parallèlement, Baselworld est souvent critiqué pour ses tarifs exorbitants, surtout dans cette période où l’industrie horlogère est mise à mal. D’ailleurs, pour l’édition 2017, sur 200 exposants qui ne sont pas revenus, on comptait une soixantaine de marques de montres.
Dernier point et non des moindres : depuis cette année, le SIHH à l’origine réservé aux professionnels de l’industrie (marques, fournisseurs, détaillants et journalistes), s’est ouvert le temps d’une journée au grand public. Une opération couronnée de succès qui sera renouvelée l’année prochaine à n’en pas douter.
Naturellement, ces deux rendez-vous restent incontournables, mais incontestablement, le SIHH affirme de plus en plus sa puissance pendant que la Foire de Bâle perd certains de ses fleurons. Certes, des marques prestigieuses et totalement incontournables comme Rolex, Patek Philippe, Chopard, Breitling, Bulgari, Chanel, etc. restent à Baselworld, mais manifestement, un vent nouveau souffle sur Genève pour les années à venir.
*Rappelons qu’Hermès possède un quart de la manufacture horlogère Vaucher.