Une première édition spéciale de l’Aquatimer Chronographe « Cousteau Divers » lancée en 2006 avait déjà contribué à sauver la « Calypso »…
De fait, en ce moment même, le légendaire navire de recherche de Jacques-Yves Cousteau se trouve dans un bassin de radoub, où sa restauration a débuté.
Cette nouvelle édition limitée de la montre de plongée d’IWC (groupe Richemont), présentée à Genève en avril dernier, au SIHH, se propose d’aider à parachever l’œuvre.
Pour des centaines de milliers d’être humains du monde entier, la « Calypso » est et reste aujourd’hui encore une bonne vieille connaissance –même si elle a pris sa retraite il y a longtemps.
Cet ancien dragueur de mines, avec lequel le commandant Cousteau, l’homme au bonnet rouge, a sillonné les mers du globe et organisé ses expéditions de plongée, est devenu le symbole le plus connu de la protection des océans de notre planète.
C’est à bord de ce bateau que Cousteau, depuis les années 50 (il portait alors une Blancpain Fifty Fathoms), a fait découvrir à des millions de gens émerveillés les paradis des fonds marins. Mais, après qu’elle ait coulé par suite d’une collision, en 1996, dans le port de Singapour puis ait été renflouée et acheminée au Musée Maritime de La Rochelle, son destin est resté incertain durant de longues années...
De fait, en ce moment même, le légendaire navire de recherche de Jacques-Yves Cousteau se trouve dans un bassin de radoub, où sa restauration a débuté.
Cette nouvelle édition limitée de la montre de plongée d’IWC (groupe Richemont), présentée à Genève en avril dernier, au SIHH, se propose d’aider à parachever l’œuvre.
Pour des centaines de milliers d’être humains du monde entier, la « Calypso » est et reste aujourd’hui encore une bonne vieille connaissance –même si elle a pris sa retraite il y a longtemps.
Cet ancien dragueur de mines, avec lequel le commandant Cousteau, l’homme au bonnet rouge, a sillonné les mers du globe et organisé ses expéditions de plongée, est devenu le symbole le plus connu de la protection des océans de notre planète.
C’est à bord de ce bateau que Cousteau, depuis les années 50 (il portait alors une Blancpain Fifty Fathoms), a fait découvrir à des millions de gens émerveillés les paradis des fonds marins. Mais, après qu’elle ait coulé par suite d’une collision, en 1996, dans le port de Singapour puis ait été renflouée et acheminée au Musée Maritime de La Rochelle, son destin est resté incertain durant de longues années...
Cependant, la Cousteau Society, qui gère l’héritage du regretté commandant, a toujours été d’accord avec son partenaire de coopération suisse IWC sur ce point : la « Calypso » ne doit pas mourir. Elle doit rester vivante comme musée et monument flottant qui encourage l’humanité à traiter avec égard les trésors des fonds marins. Et ce n’est pas une mince affaire !
Ainsi, en octobre 2007, une opération minutieusement préparée l’a amenée de La Rochelle au port breton de Concarneau, où la « Calypso » va être maintenant, intégralement remise en état dans un chantier naval spécialisé.
« C’est grâce à l’édition spéciale Aquatimer Chronographe « Cousteau Divers » qu’IWC a lancée en 2006, et dont une partie du produit de la vente a permis de financer les premières étapes du sauvetage de la « Calypso », qu’il a été possible de renflouer le navire en très mauvais état et de l’amener jusqu’au chantier naval » souligne la marque dans son communiqué. Le fond de la montre renfermait alors, en hommage au légendaire navire de recherche, un authentique petit fragment de bois de la coque de la « Calypso ».
Ce sont les travaux de restauration qui viennent de débuter et la motorisation du bateau qui vont, cette fois-ci, être pris en charge par IWC, qui met au service de cette bonne cause une nouvelle montre de plongée « humanitaire ».
Plus concrètement, l’Aquatimer Chronographe « Cousteau Divers » se distingue de son ainée par un cadran d’une couleur différente : un très beau bleu marine, un jaune « signal » et du noir forment une combinaison cohérente aussi bien sur le plan stylistique que fonctionnel et représentent les couleurs de l’espoir pour la « Calypso ».
La restauration complète qui permettra de nouveau au bâtiment d’affronter la haute mer va, cette fois aussi, être financée avec une partie du produit de la vente des montres de plongée dont le nombre est limité à 2.500 exemplaires. Afin que cette icône de 42 mètres de long à l’histoire ponctuée de nombreux aléas puisse être préservée pour les générations futures.
Ainsi, en octobre 2007, une opération minutieusement préparée l’a amenée de La Rochelle au port breton de Concarneau, où la « Calypso » va être maintenant, intégralement remise en état dans un chantier naval spécialisé.
« C’est grâce à l’édition spéciale Aquatimer Chronographe « Cousteau Divers » qu’IWC a lancée en 2006, et dont une partie du produit de la vente a permis de financer les premières étapes du sauvetage de la « Calypso », qu’il a été possible de renflouer le navire en très mauvais état et de l’amener jusqu’au chantier naval » souligne la marque dans son communiqué. Le fond de la montre renfermait alors, en hommage au légendaire navire de recherche, un authentique petit fragment de bois de la coque de la « Calypso ».
Ce sont les travaux de restauration qui viennent de débuter et la motorisation du bateau qui vont, cette fois-ci, être pris en charge par IWC, qui met au service de cette bonne cause une nouvelle montre de plongée « humanitaire ».
Plus concrètement, l’Aquatimer Chronographe « Cousteau Divers » se distingue de son ainée par un cadran d’une couleur différente : un très beau bleu marine, un jaune « signal » et du noir forment une combinaison cohérente aussi bien sur le plan stylistique que fonctionnel et représentent les couleurs de l’espoir pour la « Calypso ».
La restauration complète qui permettra de nouveau au bâtiment d’affronter la haute mer va, cette fois aussi, être financée avec une partie du produit de la vente des montres de plongée dont le nombre est limité à 2.500 exemplaires. Afin que cette icône de 42 mètres de long à l’histoire ponctuée de nombreux aléas puisse être préservée pour les générations futures.
Rappelons qu’historiquement, elle a pris la mer en 1942 en tant que dragueur de mines américain J-826 avant d’être cédée à la Grande-Bretagne et mise en service en Méditerranée. En 1950, le brasseur irlandais Guinness achète le bateau et en fait cadeau à Cousteau, qui le transforme en navire de plongée et de recherche.
Le fond du nouveau modèle de l’Aquatimer Chronographe au boîtier en acier fin de 44 mm arbore cette fois-ci une peinture sous verre de la « Calypso » en mer. Une œuvre cernée par l’inscription « Tribute to Calypso » et un numéro de 1 à 2.500. Comme toutes les montres de la famille Aquatimer, celle-ci possède la lunette tournante intérieure pratique qui permet de régler le début de la plongée et de consulter le temps de plongée. Elle se commande par le biais de la « couronne de remise à zéro » bifonctionnelle.
Cela signifie que cet élément de commande sert simultanément de couronne pour la lunette tournante et de touche de remise à zéro pour le chronographe. En tant que montre de plongée, l’Aquatimer avec mouvement de chronographe automatique, résiste à une pression maximale de 12 bars.
Le fond du nouveau modèle de l’Aquatimer Chronographe au boîtier en acier fin de 44 mm arbore cette fois-ci une peinture sous verre de la « Calypso » en mer. Une œuvre cernée par l’inscription « Tribute to Calypso » et un numéro de 1 à 2.500. Comme toutes les montres de la famille Aquatimer, celle-ci possède la lunette tournante intérieure pratique qui permet de régler le début de la plongée et de consulter le temps de plongée. Elle se commande par le biais de la « couronne de remise à zéro » bifonctionnelle.
Cela signifie que cet élément de commande sert simultanément de couronne pour la lunette tournante et de touche de remise à zéro pour le chronographe. En tant que montre de plongée, l’Aquatimer avec mouvement de chronographe automatique, résiste à une pression maximale de 12 bars.
Spécificités techniques de l’Aquatimer Chronographe « Cousteau Divers » Ref. IW3782
Mouvement de chronographe mécanique avec remontage automatique, lunette tournante intérieure, affichage de la date et du jour de la semaine, petite seconde avec dispositif d’arrêt, fond du boîtier avec verre imprimé et gravure spéciale, edition limitée à 2500 exemplaires
Mouvement à remontage automatique
Calibre 79320
Alternances 28 800/h / 4 Hz
Rubis 25
Réserve de marche 44 h
Boîtier
Acier fin
Verre saphir, bombé, antireflet de chaque côté
Etanchéité 12 bars
Diamètre 44mm
Hauteur 16mm
Poids 146 g
Montre en acier fin avec bracelet en caoutchouc noir
Prix public conseillé : 5.150 euros
Mouvement à remontage automatique
Calibre 79320
Alternances 28 800/h / 4 Hz
Rubis 25
Réserve de marche 44 h
Boîtier
Acier fin
Verre saphir, bombé, antireflet de chaque côté
Etanchéité 12 bars
Diamètre 44mm
Hauteur 16mm
Poids 146 g
Montre en acier fin avec bracelet en caoutchouc noir
Prix public conseillé : 5.150 euros