Quand, sur le circuit australien de Melbourne, les signaux lumineux rouges s’éteindront devant la nouvelle voiture de Mercedes AMG Petronas Formula One Team, donnant ainsi le signal de départ de la saison 2013, les millions de téléspectateurs ne seront pas les seuls à suivre la course avec passion.
Dans les coulisses, une équipe parfaitement rodée de techniciens et de stratèges aura les yeux rivés sur les écrans où s’afficheront de nouvelles données techniques toutes les secondes. Les paramètres techniques sont-ils corrects ? Les efforts fournis et les calculs effectués pendant des mois vont-ils payer ? La préparation d’un bolide de Formule 1 est un travail de haute précision.
En 2013, IWC va lancer un garde-temps qui soulignera l’engagement de la manufacture de Schaffhausen en tant qu’Official Engineering Partner de Mercedes AMG Petronas Formula One Team. De fait, le boîtier externe de la montre est réalisé en carbone. Rappelons qu’au début des années 1980, le recours aux fibres de carbone a révolutionné la fabrication des voitures de Formule 1.
Aucun autre matériau ne se prête aussi bien que le carbone à la fabrication de la cage de sécurité (monocoque) et de la carrosserie. Il est deux fois plus dur que l’acier, mais cinq fois plus léger. Le monocoque d’une voiture de Formule 1 compte jusqu’à douze couches de plaques en fibres de carbone et pèse moins de 60 kilos.
Ce matériau possédant une extrême rigidité, la cage de sécurité en carbone est pratiquement indestructible et joue un rôle clé dans le concept de sécurité de la Formule 1 moderne. Si le carbone est devenu caractéristique de la F1, il a aussi permis des innovations impressionnantes dans le domaine des matériaux. Aujourd’hui, même les volants des voitures de compétition sont principalement en carbone.
Il semble donc logique qu’à l’occasion de sa collaboration avec Mercedes AMG Petronas, IWC Schaffhausen présente un garde-temps habillé d’un boîtier en carbone baptisé Ingenieur Automatic Carbon Performance (réf. IW322401, réf. IW322402).
Dans les coulisses, une équipe parfaitement rodée de techniciens et de stratèges aura les yeux rivés sur les écrans où s’afficheront de nouvelles données techniques toutes les secondes. Les paramètres techniques sont-ils corrects ? Les efforts fournis et les calculs effectués pendant des mois vont-ils payer ? La préparation d’un bolide de Formule 1 est un travail de haute précision.
En 2013, IWC va lancer un garde-temps qui soulignera l’engagement de la manufacture de Schaffhausen en tant qu’Official Engineering Partner de Mercedes AMG Petronas Formula One Team. De fait, le boîtier externe de la montre est réalisé en carbone. Rappelons qu’au début des années 1980, le recours aux fibres de carbone a révolutionné la fabrication des voitures de Formule 1.
Aucun autre matériau ne se prête aussi bien que le carbone à la fabrication de la cage de sécurité (monocoque) et de la carrosserie. Il est deux fois plus dur que l’acier, mais cinq fois plus léger. Le monocoque d’une voiture de Formule 1 compte jusqu’à douze couches de plaques en fibres de carbone et pèse moins de 60 kilos.
Ce matériau possédant une extrême rigidité, la cage de sécurité en carbone est pratiquement indestructible et joue un rôle clé dans le concept de sécurité de la Formule 1 moderne. Si le carbone est devenu caractéristique de la F1, il a aussi permis des innovations impressionnantes dans le domaine des matériaux. Aujourd’hui, même les volants des voitures de compétition sont principalement en carbone.
Il semble donc logique qu’à l’occasion de sa collaboration avec Mercedes AMG Petronas, IWC Schaffhausen présente un garde-temps habillé d’un boîtier en carbone baptisé Ingenieur Automatic Carbon Performance (réf. IW322401, réf. IW322402).
Le boîtier externe en trois parties est réalisé selon le même principe que le monocoque d’une voiture de course : les plaques en fibres imprégnées de résine époxydique sont mises en forme et cuites à haute température et à haute pression, puis la résine est durcie. En regardant le tissu de plus près, on peut voir chacune des fibres, cinq fois plus mince qu’un cheveu.
Quant au cadran noir de la montre, il est revêtu d’un tissu en fibres de carbone à armure sergé. C’est-à-dire que chaque faisceau de fibres de la chaîne passe alternativement deux fois au-dessus et deux fois au-dessous du faisceau de fibres de la trame. Cela donne le dessin caractéristique qui orne le volant de la voiture de Formule 1 Mercedes AMG Petronas.
Le look technique de cette montre est accentué par cinq vis imposantes qui fixent le boîtier externe et la monture du verre en carbone au boîtier interne étanche en titane. Les têtes de vis réinterprètent le style du célèbre designer horloger Gérald Genta. C’est en effet lui qui conçut la légendaire Ingenieur SL (réf. 1832) dans un boîtier sport en acier, qu’IWC lança sur le marché en 1976 et qui compte aujourd’hui encore parmi les grandes réalisations de l’industrie horlogère en termes de design.
S’inspirant des casques de plongeur, Gérald Genta disposa les vis et les perforations indispensables à la construction de la montre bien en vue sur la lunette au lieu de les cacher. Les perforations de la monture du verre de l’Ingenieur SL, tout comme le logo sous forme d’éclair, sont devenus l’emblème de cette famille de montres.
Si, à l’époque, Gérald Genta s’inspira de l’équipement des plongeurs, les designers d’IWC trouvèrent de nombreuses idées dans la Formule 1. Pour ce modèle, ils se sont référer aux matériaux couramment utilisés pour les voitures de Formule 1 : le carbone pour le boîtier et le cadran, la céramique pour la couronne, sa protection et les têtes de vis, le titane pour les vis et enfin le caoutchouc pour le bracelet incrusté de textile. Ce dernier est cousu avec un fil jaune vif ou rouge qui rappelle les bandes latérales jaunes des pneus slicks tendres ou rouges des pneus slicks super tendres de Formule 1.
Le choix des pneus est d’une importance stratégique dans cette discipline et les bandes de couleur permettent aux spectateurs d’en reconnaître plus aisément le type, parmi les six sortes à disposition. Les coutures du bracelet, jaunes ou rouges selon le modèle sont assorties aux chiffres des secondes sur le réhaut du cadran. La masse oscillante, que l’on peut voir en action à travers le fond transparent en verre saphir, rappelle les pistons d’une voiture de Formule 1, le moteur étant, dans ce cas, le mouvement mécanique calibre 80110 de manufacture IWC à remontage automatique Pellaton. Réserve de marche de 44 heures.
Quand un pilote de Formule 1 fonce sur le circuit à 300 km/h, il subit de puissants coups et vibrations. Dans les virages, la force centrifuge à laquelle le corps est soumis est cinq fois plus forte que l’attraction terrestre. Sans une solide musculature et une suspension efficace de la voiture, ce ne serait pas supportable. Dans ce garde-temps, c’est le système d’absorption des chocs qui remplit cette fonction, « faisant du calibre 80110 l’un des mouvements d’IWC les plus robustes et les plus souvent testés lors de simulations de tout ce qui peut arriver dans la vie d’une montre, en situation normale ou exceptionnelle » assure la marque dans son communiqué.
En effet, comme en Formule 1, un programme de qualification est prévu pour les montres IWC. Ce terme recouvre un programme de tests très rudes durant plusieurs mois. Seuls les garde-temps qui ont passé avec succès les tests de résistance aux chocs, d’usure et de corrosion, ainsi que les tests climatiques, les tests UV et les tests en situation peuvent prendre part à la compétition que se livrent les acteurs de la Haute Horlogerie.
Ce « bolide » high-tech est limité à 100 exemplaires pour chacun des modèles, avec chiffres des secondes et coutures du bracelet jaunes ou rouges. L’inscription « ONE OUT OF 100» est gravée sur l’anneau du fond du boîtier.
Quant au cadran noir de la montre, il est revêtu d’un tissu en fibres de carbone à armure sergé. C’est-à-dire que chaque faisceau de fibres de la chaîne passe alternativement deux fois au-dessus et deux fois au-dessous du faisceau de fibres de la trame. Cela donne le dessin caractéristique qui orne le volant de la voiture de Formule 1 Mercedes AMG Petronas.
Le look technique de cette montre est accentué par cinq vis imposantes qui fixent le boîtier externe et la monture du verre en carbone au boîtier interne étanche en titane. Les têtes de vis réinterprètent le style du célèbre designer horloger Gérald Genta. C’est en effet lui qui conçut la légendaire Ingenieur SL (réf. 1832) dans un boîtier sport en acier, qu’IWC lança sur le marché en 1976 et qui compte aujourd’hui encore parmi les grandes réalisations de l’industrie horlogère en termes de design.
S’inspirant des casques de plongeur, Gérald Genta disposa les vis et les perforations indispensables à la construction de la montre bien en vue sur la lunette au lieu de les cacher. Les perforations de la monture du verre de l’Ingenieur SL, tout comme le logo sous forme d’éclair, sont devenus l’emblème de cette famille de montres.
Si, à l’époque, Gérald Genta s’inspira de l’équipement des plongeurs, les designers d’IWC trouvèrent de nombreuses idées dans la Formule 1. Pour ce modèle, ils se sont référer aux matériaux couramment utilisés pour les voitures de Formule 1 : le carbone pour le boîtier et le cadran, la céramique pour la couronne, sa protection et les têtes de vis, le titane pour les vis et enfin le caoutchouc pour le bracelet incrusté de textile. Ce dernier est cousu avec un fil jaune vif ou rouge qui rappelle les bandes latérales jaunes des pneus slicks tendres ou rouges des pneus slicks super tendres de Formule 1.
Le choix des pneus est d’une importance stratégique dans cette discipline et les bandes de couleur permettent aux spectateurs d’en reconnaître plus aisément le type, parmi les six sortes à disposition. Les coutures du bracelet, jaunes ou rouges selon le modèle sont assorties aux chiffres des secondes sur le réhaut du cadran. La masse oscillante, que l’on peut voir en action à travers le fond transparent en verre saphir, rappelle les pistons d’une voiture de Formule 1, le moteur étant, dans ce cas, le mouvement mécanique calibre 80110 de manufacture IWC à remontage automatique Pellaton. Réserve de marche de 44 heures.
Quand un pilote de Formule 1 fonce sur le circuit à 300 km/h, il subit de puissants coups et vibrations. Dans les virages, la force centrifuge à laquelle le corps est soumis est cinq fois plus forte que l’attraction terrestre. Sans une solide musculature et une suspension efficace de la voiture, ce ne serait pas supportable. Dans ce garde-temps, c’est le système d’absorption des chocs qui remplit cette fonction, « faisant du calibre 80110 l’un des mouvements d’IWC les plus robustes et les plus souvent testés lors de simulations de tout ce qui peut arriver dans la vie d’une montre, en situation normale ou exceptionnelle » assure la marque dans son communiqué.
En effet, comme en Formule 1, un programme de qualification est prévu pour les montres IWC. Ce terme recouvre un programme de tests très rudes durant plusieurs mois. Seuls les garde-temps qui ont passé avec succès les tests de résistance aux chocs, d’usure et de corrosion, ainsi que les tests climatiques, les tests UV et les tests en situation peuvent prendre part à la compétition que se livrent les acteurs de la Haute Horlogerie.
Ce « bolide » high-tech est limité à 100 exemplaires pour chacun des modèles, avec chiffres des secondes et coutures du bracelet jaunes ou rouges. L’inscription « ONE OUT OF 100» est gravée sur l’anneau du fond du boîtier.